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 J'aime les plats épicés. [PV CHIBI]

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MessageSujet: J'aime les plats épicés. [PV CHIBI]   J'aime les plats épicés. [PV CHIBI] Icon_minitimeVen 19 Mar - 16:53

"J'aime les plats épicés."
Avec Kleenex et Chiibii-Chan.
J'aime les plats épicés. [PV CHIBI] Sanstitre-3-1J'aime les plats épicés. [PV CHIBI] Sanstitre-3-1



    Glasgow, 2004

    « A ce qui paraît, maintenant que je sais écrire, il faut que je fasse un journal. Ils ont dit que c’était juste pour moi, qu’ils ne regarderaient pas. Ils doivent penser que je suis stupide. Genre, t’es pas du touuuuut une expérience. Donc ce que je vais faire, c’est que, comme ça à quand même l’air fun, leur histoire, y’en aura un pour eux, et un pour moi. Je suis pas con, j’le connais, l’angle mort de la caméra. Par contre, eux, depuis le temps que c’est là, pas foutu de remarquer que y’en a un. J’me demande ce que je devrais bien écrire là-dedans. On écrit quoi, d’habitude ? On raconte sa vie, non ? Ils m’ont dit que je pouvais écrire comment je ressens ce qu’il m’arrive. A côté, ils m’ont aussi affirmé que je ne ressentais rien, que je n’avais pas d’émotions. Ils savent pas ce qu’ils disent.
    Moi, je sais ce que suis. Y’a des légendes, sur des trucs qu’ont appelle vampire. Et ben c’est ce que je suis, sauf que je le suis pas. Y’a aussi des trucs qu’on appelle demi-vampire. Moi, on met dans cette classe là, les Demis, sauf que je le suis qu’à un quart. Je sais que les Demis sont nés d’expérience truc muche, je connais pas tous les détails. Un truc de gènes. Et bien moi, je suis le résultat d’un Demi avec un humain. Les vampires peuvent peut-être pas avoir de gosses, mais les Demis, si. Apparemment, j’me rapproche plus du vampire que du Demi, parce que je suis stérile. J’peux faire les mêmes choses qu’eux, sauf que je vieillis. Trop vite, même. C’est simple : j’ai deux ans, j’en parais dix de plus. Naturellement, j’ai besoin de sang extérieur. Sauf que moi, c’est assez chelou, comme système. Ils m’ont dit que si je buvais du sang cent pourcent humain, ou vampire, j’crevais. Donc on m’fait des piqûres, dès que j’vomis du sang. Ils m’ont dis que mon côté humain rejetait mon côté vampire, un truc dans ce goût-là. Les Demis ont pas ce problème là. J’sais pas pourquoi. Ils ont pas besoin de sang non plus. Ils ont pas d’émotions non plus. Pas de libre arbitre. On s’en sert comme des objets pour tuer, pour des bidules et des machins. Moi, j’suis différente : j’en ais, des émotions. L’ai lu, dans le dictionnaire. Eux, ils pensent que j’en ais pas. Mais ils préfèrent me surveiller. Je crois que, au fond, ils savent pas ce que je suis. Moi non plus.

    Enfin, je me plains pas. Même si je suis surveillée de près, ils me laissent sortir dehors. De toute façon, y’a pas grand chose, à dix kilomètres de Glasgow. C’est la cambrousse. J’vais pas souvent en ville : y’a trop de vampires, à Glasgow, et ils aiment pas les Demis. Ils trouvent que ça pue, alors moi… »

    ~

    Glasgow, 2010


    - Kyyyyyaaaaaaa ! Y’a un garçon qui regarde !

    Et pam, pam, pam ! Un gel douche par la tronche, un shampoing, et une canette. Il ne faut pas se demander pourquoi, ô pourquoi les nanas de cette salle de gym avaient une canette dans leurs douches. Fanchon tomba de son perchoir, une poubelle destinée à la monter jusqu’à la petite fenêtre donnant sur la salle.

    - Je suis pas un garçon…

    Se lança-t-elle à elle-même. Oui, elle matait les filles dans les douches. Ben quoi ? C’est joli, une fille. Des formes généreuses, un p’tit cul bien roulé. Ca faisait bien monter la température de les imaginer dans certaines positions. Non, pas lesbienne : bisexuelle. Un gars à poil aussi, c’est beau. Quoiqu’il en soit, elle était en ville. A Glasgow. Et elle venait de gagner un gel douche et un shampoing. Elle était ici parce que le professeur avait un ami à voir. Un ami professeur, qui voulait également la voir. Elle l’avait déjà vu. Elle ne l’aimait pas. Il s’amusait à la tripoter, ce vieux pervers, pendant qu’il lui faisait passer ses p’tits examens. Bien sûr, ça pense que ça n’a pas d’émotions.
    Pour une expérience, on lui laissait bien sa liberté. Il n’avait pas peur qu’elle s’enfuit, puisqu’elle avait besoin de ses piqûres, et que, de toute manière, elle n’avait pas de volonté propre. On lui disait « Va te prendre l’air ». C’était juste une question de santé. Sauf que, elle avait un libre arbitre, mais bon. Elle avait vraiment besoin de ses piqûres, et ça, c’était une évidence.

    Fanchon avait certains inconvénients que les vampires ont. Le bois, non merci, et la lumière, moins y’en a, mieux elle se porte. Et comme le soleil était magnifique aujourd’hui, elle restait le plus possible bien dissimulée, à l’ombre. C’est ainsi que, lunettes de soleil on, cheveux sous la casquette, elle alla chercher un nouveau jardin d’Eden : allons voir si c’est plus beau chez les garçons. La demoiselle, bien posée dans ses baskets se fit une joie de déplacer sa grande complice madame Poubelle, vers la fenêtre qui donnait sur les douches de ces messieurs. Bon, techniquement, ce n’est pas vrai. C’est MONSIEUR Poubelle qui avait inventer la poubelle. D’ailleurs, expliquez-moi une chose : pourquoi, alors que c’est un mâle qui a inventer cette chose puante mais tellement pratique, on dit « une ». Hein ? C’est pas normal. C’est pourquoi, en vertu de mes pouvoirs, toujours auto-conférés, cela va sans dire, j’ai décidé que ce ne serait plus UNE poubelle, mais bien UN poubelle. Voilà.

    C’est donc avec son estrade bien-aimée postée devant la petite vitrine, qu’elle décida de jeter un œil, voire combien ces monsieurs sont beaux. Son seul regret sera qu’elle n’avait aucune attirance pour les hommes musclés, mais ne soyons pas négatifs : y’a pas que les Mister Univers, qui font des haltères.


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MessageSujet: Re: J'aime les plats épicés. [PV CHIBI]   J'aime les plats épicés. [PV CHIBI] Icon_minitimeVen 19 Mar - 18:14

    1560

    - Alice?

    Elle n’est pas là? Étrange… Je soupire. Cela fait plus d’une heure que je la cherche. Qui est-elle? La seule personne pour qui j’éprouve de la gentillesse. Je suis généralement froid, méchant et dragueur envers les filles mais Alice… c’est différent. Je l’aime. En tant que vampire, je ne ressens pas grand-chose envers les autres…je ne devrais pas du moins. C’est pour cela que je garde ses sentiments enfouis en moi car je ne veux pas devenir un pseudo-humain comme mon frère Ian. D’ailleurs il a disparut lui aussi… J’avance donc vers le fond du jardin de ma somptueuse demeure. J’attends du bruit… Mes longs cheveux sont noirs comme le jais, mes yeux de la même couleur. Je suis assez grand, pas vraiment musclé ais vraiment très beau. Et je le sais et je le dis. La seule personne capable de me remettre à ma place est Alice… c’est pour ça que je l’aime. Elle connait notre secret bien qu’elle ne soit pas une des notre. Elle fut acceptée parmi nous… Je compte l’épouser et par la même occasion, la transformer en vampire. Elle pourra vivre éternellement à mes côtés. Elle sera… pour toujours avec moi. Je m’avance toujours dans le jardin… j’entends des voix. Figé, je tends l’oreille.

    - Ian, voyons. Ce n’est pas toi que j’aime. J’aime Loth.
    C’est Alice.
    - Pourquoi lui? C’est un idiot froid, narcissique et cruel. Moi, j’ai un cœur.
    Ian. Idiot.
    - C’est pour ça que je l’aime. Fait Alice. C’est un méchant garçon, c’est le genre de chose que me font de l’effet.
    - Il va te transformer en vampire.
    - Je l’espère bien!
    - Quoi? Tu veux être maudite?
    - Non. –un rire cristallin- je veux passer l’éternité avec lui.
    - Pourquoi pas avec moi?
    - J’aime les méchants garçons moi…
    - Tu veux que j’sois méchant?! J’vais le devenir, tu sais quoi, si tu veux pas d’moi, mon frère t’aura certainement pas.

    On entend un crissement des feuilles, un gémissement féminin. Je me précipite derrière l’arbre. Mon frère est en train de mordre Alice?! Je le pousse violement de sur elle et sort les crocs. Dans mon regard d’ébène dansent de violentes flammes noires. Je me jette sans ménagement sur mon frère blond, oui, nous sommes des jumeaux très différents. Enfin… Je cours vers lui et, en une feinte plante mes crocs dans son cou. Il me repousse. Il a perdu du sang je le vois bien. Alors qu’il s’acharne sur moi avec des coups d’humains je me penche et ramasse une branche de bois. Le simple contact avec ma main me brûle. Je souris. Parfait, j’irais m’occuper d’Alice ensuite. Je lève le bout de boit et le rentre dans l’épaule de mon frère qui s’effondre. J’ai toujours été le plus fort des deux. Le plus malin aussi. J’attends. Je retire le bout de bois… pour le lui planter dans l’autre épaule. Puis, je sillonne son visage de la branche, y dessinant le signe de notre dynastie, celle dans laquelle il n’a jamais voulu entrer. « Ara » est maintenant inscrit sur son front. Notre nom de famille. Je souris. En murmurant « Au revoir Petit Frère… » Je lui plante le bois dans le cœur. Je me retourne vers Alice, la prends dans mes bras… je sais bien qu’il n’y a rien à faire. Les larmes coulent doucement sur mes joues. Je soupire. Si je prenais le risque de lui faire boire mon sang… elle deviendrait à coup sur entre l’humain et le vampire… simplement immortelle, sans âme.

    - Alice non… Tu ne peux pas me faire ça.

    - Comme si j’avais le choix… Embrasse moi idiot, c’est la dernière chose dont je veux me rappeler dans ce monde : toi.

    Je m’exécute. Mes lèvres sur celle d’Alice, je la serre dans mes bras alors qu’elle respire de plus en plus faiblement. Je pleure. Ce n’est pas dans mes habitudes, mais Alice je l’aime. Elle est mon unique. Celle que personne ne pourra remplacer, jamais. J’ignore combien de temps ce moment à duré. Certainement pas assez. Car alors que je tiens Alice dans mes bras, que je lui murmure des mots doux à l’oreille… Elle devient inerte après m’avoir murmuré un dernier je t’aime. Je ne m’attacherais plus jamais. De toute façon, je ne trouverais jamais une autre fille comme Alice. Elle est la seule, l’unique qui aura pris mon cœur… Et elle l’a emporté avec elle dans l’au-delà. J’ai envie de mourir aussi. Mais je ne peux pas, Alice n’aurait jamais voulu que je meurs pour elle. Je ne le ferrais donc pas. Je vais vivre, son sourire flottant toujours dans ma mémoire, son air naïf dans mes pensées. Je ne l’oublierais jamais. C’est ainsi, pleurant entre deux cadavres, en ayant un dans les bras, que je lance une dernière prière aux dieux qui m’ont surement abandonnés : « Puisses-tu reposer en paix, Alice. Je t’aime. Je t’aimerais toujours. Et si un jour je te rejoins, puisse-tu vouloir encore de moi. »

    2010

    Changeons le narrateur! *O* Je sais que vous vous ennuyez à mourir avec Loth alors ne vous inquiétez pas, je suis de retour avec des remarque perverses et des demandes en mariage! //ZBAAAAFF// Bon, bon d’accord, je commence. Ainsi, sonna 9h. Du matin. Loth se leva péniblement, ferma le cadran de manière plutôt violent, mais totalement sexy, et replaça les couvertures sur son lit. Il se dirigea d’un pas endormi vers la salle de bain, et s’aspergea le visage d’eau pour tenter de se réveiller… Une fois un peu plus éveillé, il se dirigea vers son placard pour prendre une paire de pantalon jeans noir et un chandail de la même couleur. Il faut avouer que c’était la couleur qui lui allait le mieux, qui le rendait, si c’est possible, encore plus sexy que d’habitude. Wow, j’arrête le Rp toute suite, personne d’autre que moi ne t’aura Loth //ZBAAAFF// xD Enfin bon, il avait un seul but dans la journée : aller à la salle de sport... pour draguer le plus de filles possible. Quoi, vous pensiez qu’il voulait se muscler? Non voyons, s’il pouvait aller se trouver une ou deux jolie humaine à trainer dans son lit… euh, pas les deux en même temps j’espère… pourquoi pas? Euh, enfin bref.

    Une fois présentable, bien qu’il le soit toujours, notre Casanova se dirigea vers la porte de son loft. Je dois vous rappeler qu’il vit seul, avec l’argent de ses parents? Ahh lala, donc, vêtu de vêtements noirs de marques prestigieuses et d’un sac de vêtement toujours aussi classe mais de sport, Loth se dirigea vers le gym du coin. En une séance d’entrainement d’environ une heure, il réussi à amassé six numéro de téléphone de filles et un de mec… qu’il a jeté aussitôt. Je crois qu’il est inutile de mentionner que Loth est à 200% hétérosexuel. Enfin… Bon, ainsi, il était dans les douche avec les autres mecs alors qu’on entendit une fille –les douches des filles étant juste de l’autre côté du mur- crier qu’un garçon mate.

    - C’est étrange, pour une fois c’est pas Loth. Fit un des garçons.
    - Moi j’me cache pas, j’entre et je me fais même pas jeter dehors. Se moqua notre prince noir.
    - Mouais…

    Et puis, c’est à ce moment, que Loth remarque quelqu’un qui les observait, une jolie fille… cachée dans une poubelle qui les regardait. Il sourit et passa une serviette autour de sa taille avant de se diriger d’un pas gracieux vers l’endroit une se cache la jeune fille. Il se passa la main dans les cheveux avant de sourire. Il faut avouer qu’ainsi, torse-nu caché par un simple bout de tissu et la peau encore lustré par l’eau des douches il avait vraiment un air séduisant, et puis, avec le sourire arrogant qu’il avait… c’était disons, vraiment sexy. Enfin bon, ses longs cheveux de jais plaqués à son corps par l’eau chaude, ses muscles présents mais non surdéveloppés lustré par l’eau c’était… Rawr. Disons que toute jeune fille rationnelle se serait jetée sur lui en faisant « SQUEEEEEEEEE! » ou « Je vais le violer! ». Moi c’est ce que j’aurais fait en tout cas. Enfin donc, notre prince noir, notre beau ténébreux se dirigeait d’un pas nonchalant vers la cachette de la mateuse. Les mecs allaient souvent regarder les filles dans les douches mais une nana qui matte… c’est assez innovateur. Ainsi il sourit et lança un regard moquer –et totalement craquant- à la jeune fille.

    - Tu sais, si tu veux une meilleure vue je crois que ça ne dérangera personne si tu viens.
    Fit-il en riant.
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MessageSujet: Re: J'aime les plats épicés. [PV CHIBI]   J'aime les plats épicés. [PV CHIBI] Icon_minitimeVen 19 Mar - 18:42

    Jolie fille, jolie fille. C’était à voir. Le pauvre vampire avait du être trompé par son joli petit nez et ses lunettes de soleil, puisqu’on ne voyait pas grand-chose d’autre, par la petite vitrine. Mais comme on dit, à joli nez, joli minois. Ok, c’est pas vrai, ça ne se dit pas. Mais de jolies lunettes ne peuvent pas être trompeuses, n’est-ce pas ? Il était sûr que Fanchon était la cuteness incarnée, et qu’on la boufferait volontiers toute crue. Sans sous-entendus par contexte, bien sûr. Oui, oui. J’vous vois venir, là, avec vos trucs genre « Ah ! Mais oui, comme l’autre c’est un vampire, et tatati, et tatata ». Mais non ! Rien à voir ! J’vous ais bien eu ! Ah ! Mais faute d’être une « jolie fille », ou un canon de beauté, elle avait ses charmes. Non négligeables, puis qu’elle n’avait jamais à faire de l’autostop bien longtemps. La Demi était mignonne. Un bout de maturité mixé avec une candeur craquante : le mélange explosif indétrônable, plus attirant qu’une bouteille de vodka. Vous ne connaissez pas, l’appel ensorcelant de la vodka ? Tant pis pour vous. Un ventre creusé, du fait de ses vomissements réguliers, une peau blafarde, et un manque de poitrine flagrant. Elle semblait constamment malade, sous son manque d’expression, bien que agrémenté de quelques sourires et rougissements pervers. Constamment malade, parce qu’elle l’était, d’une maladie unique. Mais on s’y habitue, et on apprend à faire comme s’il n’y avait rien. Mignonne, petite, frêle, mais pas moins avantagée : force physique hors normes, guérison instantanée, vue nocturne, et surtout, bien qu’elle n’y soit pas autorisée, elle pouvait tout à fait boire le sang d’un sujet quelconque. Fanchon les avait, les crocs de vampire.

    Mais de quoi suis-je en train de parler ? Et bien, pendant qu’elle matait ces messieurs, il faut bien raconter quelque chose. Et je pensais qu’une description s’imposait. Elle ne fit pas immédiatement attention au très beau et demandé monsieur-fille (les cheveux longs, ça porte un nom) qui quittait les douches. Il serait mentir de dire qu’elle n’avait pas bavé, lorsqu’il avait jeté un œil vers elle. Ce qui était bien, chez les garçons, c’était qu’il ne kyataient pas, lorsqu’on regardait. En tout cas, lui, il n’avait pas kyater. Il fallait avouer que l’image de ce gars s’indignant d’être dévoré par un regard vicieux était beaucoup moins sexy. Bien malheureusement, il avait fini sa douche, et il partait. Loin, très loin, et plus jamais elle ne le reverrait. Dommage. Tant pis. Y’avait tout un tas de jolis corps à détailler.
    Mademoiselle continua donc son entrevue avec la vitre. Bonjour, comment allez vous ? Bien, et vous ? Toujours aussi dépravée. Et notre amie poubelle, sous vos pieds ? Toujours complice. Quelle vie passionnante, mes amis. Conversation chuchotée avec la vitre, pour que ces messieurs n’entendent pas. Oui oui, elle parlait vraiment. Ca l’amuse, ça la détend. Elle aime.

    - Tu sais, si tu veux une meilleure vue je crois que ça ne dérangera personne si tu viens.

    Fanchon tourna la tête machinalement. « Oh putain, ce beau gosse ! » fut sa première pensée. Il était encore mieux en vrai. En vrai, puisque regarder à travers une vitre lui donnait toujours l’impression d’être devant la télévision. Elle baissa ses lunettes un instant. La serviette lui allait à ravir. Et l’eau aussi. Et puis d’abord, moi aussi, j’ai le droit de baver sur ton perso 8D. Quoiqu’il en soit, notre perverse aguerrie eu une jolie montée de chaleur, imaginant volontiers le monsieur-fille entouré d’un halo de lumière divine. Elle n’allait pas lui sauter dessus. L’image qu’elle avait présentement était amplement suffisante, à la faire rougir au point de s’en brûler les oreilles. Fanchon avait beaucoup de culture. En matière de films pornographiques, je veux dire. Et elle n’avait absolument aucune difficulté à imaginer ce garçon-là dans un de ses favoris. Obscene Madness, que ça s’appelle. Sacrée imagination, va. Elle le voyait, là, de plus en plus rapide. Ca, c’était de l’image. Non, elle n’était pas passée sur sa remarque. Elle n’y répondait pas, certes, mais avait tout à fait compris. L’art d’être elle-même, c’était de l’analyser sans gênes, en restant rouge comme le rideau de sa chambre, complètement perdue dans ses rêveries pour adultes. A ça n’a que huit ans. Certes, elle en faisait seize. Son corps avait fini sa croissance, et elle ressemblait à une gamine, alors que quelques années plus tôt, elle faisait dix ans de plus que son âge. Si ce n’était pas merveilleux ? Le pire, dans tout cela, c’était que scientifiquement parlant, elle avait pris un rythme de vieillissement plus lent. Un peu plus élevé que la normale, mais plus lent. Grosso modo, elle devrait faire dans la vingtaine. Et ben non ! Gamine un jour, gamine toujours. Mais elle s’en contentait.

    Son âge, on s’en moquait. Pour l’instant, l’important, c’était le temps qu’elle mettait à simplement balayer de haut en bas le corps du jeune homme. Et enfin, après une bonne durée de réflexion, elle décida de sauter de sa poubelle. Quelques pas en avant, sous ses airs candides. Une marche originale, un pas devant l’autre. Levait sa jambe tendue à l’horizontale, les mains dans le dos, et s’approchait doucement du monsieur-fille, histoire de voir le héros de film X de plus près. Pas d’expressions. Voulait-elle lui répondre ? Le voir juste de plus près ? Rougir encore ? Enfin balancer un mot ? D’une grande foulée à une autre, elle atteint l’aussi grand que fantasmagorique canon qui l’avait découverte, elle, la dépravée en chef. Fanchon avait une idée derrière la tête. Est-ce que cela se voyait ? Non. Il faudrait lire dans les esprits pour s’en rendre compte. Et même là, les pare-feu étaient durs à cracker. La demoiselle, du haut de son mètre soixante, du lever la tête vers lui, pour le dévisager. Une personne. Ce n’était pas qu’un corps. C’était un visage, des émotions, un cœur. Une personne, ce n’était pas qu’un objet sexuel. Une personne, c’était tellement plus. Comment était-elle censée le savoir, elle, la poupée de verre ? Le pantin de sucre, dirigée par des fils de fer, utilisé pour la science. Le spécimen. L’expérience. Le jouet. Un corps, une vie. Sentiments, ressentiments.

    Mon cul, tiens !

    Après de si belles pensées, un discours tenu à elle-même sur l’importance d’une vie humaine, elle tira sur la serviette, et la balança un peu plus loin, laissant le prince sans son pagne, nu comme un ver, avant d’étirer ses lèvres perverses. Ca, ca veut dire : « j’ai déjà la meilleure vue possible. »
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MessageSujet: Re: J'aime les plats épicés. [PV CHIBI]   J'aime les plats épicés. [PV CHIBI] Icon_minitimeSam 20 Mar - 9:18

    Un mot. Il n’existe qu’un seul mot capable de décrire Loth. Je vous entends tous, vous essayer de le trouver, ce mot. Plusieurs dirait arrogant, méchant, narquois d’autres beau, magnifique, sexy. Mais bon, je vais vous le dire, quel est le mot pour décrire notre prince noir. Ce n’est ni beauté ni cruauté. C’est un adjectif en fait. Moi, j’ai toujours détesté ces trucs, les adjectifs. Ils sont supposé embellir une phrase mais dans tous les travaux à l’école, tu ne peux pas en utiliser parce que tu as un nombre de mots trop restreins. Oui, oui, j’vous jure. Les adjectifs ça ne serre à rien. Et donc, je déclare, ce n’est plus une classe de mots. Euh… bon, j’en étais où? Enfin donc, le mot que vous cherchez est tout simplement « insaisissable ». Je sens que je vous épate. Vous voulez savoir pourquoi? Parce que, depuis la mort de sa chère Alice, Loth n’est plus humain, c’est un vampire à part entière, il n’a plus de cœur. Enfin, c’est ce qu’il essaie de se faire croire. En fait, c’est justement le problème. Il est disons... changeant. Un jour, il va être sympa le lendemain, chanceux seront ceux qui croiseront son regard sans finir vider de leur sang… Vous voyez le genre? C’est bien pour ça que je l’aime.

    Bon, bon, c’est bien jolie cette mise en situation mais ça nous mène où? Loth, toujours dans le vestiaire des hommes qui se dirige vers la sorti et s’arrête devant une jeune fille, caché dans une poubelle qui matait les mecs. Assez spécial non? Donc, il s’arrête devant elle en sortant de la douche la détaillant légèrement en un regard. Bref, alors que la jeune demoiselle sort de sa poubelle, oui j’vous jure, elle a eu l’audace de sortir, Loth esquisse un sourire à la limite du vieux cochon en regardant la demoiselle le regarder. Il avait disons, l’aire de dire : « Tu m’regarde, j’ai l’droit aussi » bien qu’elle eut une meilleure vue sur lui qu’il avait sur elle, pourquoi dieux du ciel avait-elle ses vêtements? Enfin bon, il faut que je vous rappelle que Loth était trèeees beau, on pourrait dire qu’il offrait beaucoup de support visuel. Et puis donc, il souriait en regardant la jeune fille aux joues rosées qui semblait se faire des films. Pour s’imaginer le mieux alors qu’il serait certainement consentant à ce que ce soit vrai… Loth, obsédé! Jeuh t’aime! ♥️ xD Enfin donc, il la regardait avec un sourire totalement obsédé et puis quoi encore, elle qui le matait depuis quelques minutes c’était as grave? Ah non! Ça ce joue à deux c’est choses là!

    Et puis ensuite, l’inimaginable se produit, la jeune fille tira volontairement sur la serviette de Loth et l’envoya plus loin, au tapis. Et puis, ensuite, elle jeta à Loth un regard encore plus pervers que le sien si c’est possible. Et bien oui… ça se joue à deux ces choses là… Donc, notre prince noir était nu devant une jeune fille et je dois vous rappeler que la situation était plutôt étrange car habituellement, la situation était dans l’autre sens : Loth était habitué à déshabiller et non à se faire déshabiller… Euh besoin de plus de clarté? C’est bien ce que je pensais… Alors donc, Loth avait levé un sourcil avec amusement et se rapprochait désormais de la jeune fille, réduisant certainement la visibilité de cette dernière. Il lui lança un sourire amusé doté de crocs de chats fins, délicats, recourbés puis saisit le menton de la jeune fille entre deux doigts avant de passer son autre main dans le dos de la demoiselle. Il passa ses lèvres à l’oreille de Fanchon en souriant. Un sourire dérangé, mi-psychopathe, mi-obsédé. Enfin… peut-être plutôt un quart psychopathe et un quart obsédé… euh… sa reste à voir. Enfin, il passa ses lèvres près de l’oreille de la jeune fille donc.

    - Tu sais c’est le genre de choses qui se jouent à deux. Murmura-t-il d’une voix caressante, douce, perverse xD

    Ah ah! Je n’étais pas la seule à le penser donc! Je le savais! Euh… Enfin donc, enfin, mon cher ténébreux est avancé vers la jeune femme mais à une distance toujours respectueuse… plus pour très longtemps je m’en doute mais bon! On fait avec ce qu’on a que je dis! Et puis quoi, si Loth était à côté de vous, vous ne vous colleriez même pas un petit peu? Moi oui, et plus qu’un petit peu je crois. //ZBAAAFF// Et puis comme de fait, notre (oui, oui notre) prince d’ombre enleva le chandail à la jeune fille pour, toujours avec son sourire hentei, passer sa main dans le dos de la dame. Il faut aussi mentionner qu’il tenait toujours le visage de la jeune fille vers le sien grâce à deux doigts. Et puis zut tiens, elle a ce qu’elle mérite cette obsédée! Je dis ça mais en fait Loth s’amusait bien, il avait disons… réaliser que la jeune fille était une partie vampire, sinon il n’aurait pas montré les crocs. Il n’était toute fois pas au courant que la personne qui touchait en ce moment était une hybride étrange… OO Enfin donc, j’en étais où? Ah oui, il planifiait de dénuder Fanchon et il avait déjà un bon départ!
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MessageSujet: Re: J'aime les plats épicés. [PV CHIBI]   J'aime les plats épicés. [PV CHIBI] Icon_minitimeDim 21 Mar - 16:51

    Un bon départ. C’est lorsque que l’on est visiblement bien parti. Malheureusement, le dictionnaire ne donnait pas de définitions pour les groupes nominaux. Fanchon était une fervente adoratrice de ces ouvrages pédagogiques-là. C’est utile, un bon p’tit Larousse. Que ferait-elle, sans ce bouquin ? C’était une bonne question. Peut-être serait-elle encore plus dans l’ignorance qu’elle ne l’était aujourd’hui. Car il fallait avouer que niveau éducation, on ne lui apprenait que ce que l’on voulait bien lui apprendre. Tout son enseignement était basé sur un conditionnement et une sélection des informations rigoureux. Mais elle se laissait volontiers dériver sur les pages d’un journal, et surtout, surtout, sur les définitions du dico’. Après tout, le savoir est la plus grande richesse de l’Homme, n’est-ce pas ?
    Et lui ? Il savait comment ça s’appelait, les petits sourires de ces situations ? Elle avait étudié les réactions, s’était instruites des réactions d’autrui. Puisqu’elle ne comprenait pas, ne connaissait pas. Bouleversée, malheureuse, amusée, heureuse. Elle savait les définitions par cœur, reconnaissaient ces choses-là d’un œil sur le visage de n’importe qui. Mais lorsque les choses en venaient à elle, à comprendre ces vagues, ces nœuds, ces réactions. Non, elle ne comprenait pas. Elle savait. Mais ne comprenait pas. Et lui, il savait ? Il comprenait ? Que ressentent les vampires ? Souffrance ? Malheur ? Rage ?

    Fanchon ne discernait même pas le bien du mal. Tout ce qu’elle comprenait, c’était qu’elle aimait certaines choses plus que d’autres. L’odeur du liquide vaisselle, de la fumée de cigarette, les fleurs d’orangers, le poulet rôti, et surtout, surtout, elle aimait sentir l’excitation monter lorsqu’une jolie personne jouait au docteur avec un camarade, nue devant une caméra. Ou qu’une jolie personne se montre devant elle en tenue d’Adam, pour le coup.
    Fanchon profita de la vue… panoramique, sur l’équipement de son confrère. Ou demi-confrère. Plutôt quart-confrère. Quoiqu’il en soit, sur son ami vampire. Oh, elle les avait bien vus, ses jolis crocs. Fanchon laissa le damoiseau se faire plaisir, et ne bougea pas un cil, alors qu’il bloquait son menton et réduisait la distance qui les séparait, notamment en amenant une main sur son dos. Habitude d’être insensible, et de ne faire qu’obéir stupidement, faisait d’elle quelqu’un de froid et particulièrement inexpressif. Elle avait peur de savoir ce que l’on ferait d’elle, si elle ne faisait pas semblant de n’être qu’un pantin. Manque de pot, elle était grillée par ce monsieur-fille, puisqu’elle ne matterait sans doute pas, si elle n’avait pas eu d’émotions. A moins qu’il ne fasse pas le rapprochement. Ces choses-là se faisaient à deux ? Vraiment ? Toujours rouge comme une tomate, Fanchon avisa en conséquence.

    Elle n’avait pas envie de le faire à deux. Elle serait seule à profiter de la nudité de son compagnon. Elle avait envie d’être… comment dit-on, déjà ? Ah, oui. Egoïste. Son plan à lui ne la branchait pas. Elle le laissa retirer son haut, et l’aida même, en laissant sa caquette tomber sur le sol sagement. Elle avait une belle allure, une fois le tissu tombé au sol. Les lunettes de soleil tordues, les cheveux légèrement électriques. La vie est belle, mes amis. Elle portait encore des soutiens-gorges de gamines, avec de jolies fleurs roses, dessus. Adorable, n’était-il pas ?
    Mais c’est qu’il se plaisait à lui caresser le dos, le petit pervers. Fanchon décida de gentiment reprendre la situation en main. Elle prit doucement le poignet du vampire, lui sommant ainsi de lâcher son menton. Il était propre, et tenait très bien sur son visage tout seul, merci. Elle se débarrassa ensuite des encombrantes lunettes, les posant donc sur le nez de son compère dépravé. Gentil. Fais ce que je te dis, tu verras, tout ira bien. Elle chercha une bretelle de son soutien-gorge, fixant toujours le damoiseau, tira dessus sèchement, et la brisa donc. Soutien-gorge ne tenant plus que d’un côté, elle protégea cependant sa vertu en saisissant à nouveau le poignet du garçon, et le menant jusqu’à son sein. Il tenait donc le petit vêtement en place. Mais il fallait voir la scène : ce cher monsieur se rendait-il compte, qu’il avait une main saisissant pleinement la poitrine d’une jeune demoiselle qui paraissait bien innocente. D’autant qu’il était complètement à poil. Imaginez un peu. C’était trompeur, n’est-ce pas ?

    Fanchon se rendit larmoyante, une petite technique développée en solitaire, prit une grande inspiration, et…

    - KYAAAA ! AIDEZ-MOI ! UN PERVERS !

    Elle gueula de tout son souffle, avant de le jeter un œil sur le visage du monsieur-fille. Un vampire, c’était plutôt synonyme de danger, non ? Oui, même pour elle.
    Crier servait. Qu’une alerte pareille n’atteigne personne, et ce serait un scandale. D’autant qu’ils n’étaient pas loin de la fenêtre ouverte des vestiaires de ces demoiselles. Elle tourna la tête en direction de la petite vitrine, y chercher un œil curieux, qu’elle trouva. Le temps que ça se passe le mot, que ça rapplique ici. Qu’allait-il faire ? S’enfuir ? Il n’allait tout de même pas s’exposer à une troupe de furies sensibles. Surtout au sujet du viol. Ah ! La solidarité féminine. Une belle conception, n’est-ce pas ? Personnellement, Fanchon ne se sentait pas plus sympathique ou compatissante pour une fille que pour un garçon. Certaines personnes marchaient comme ça. Elle s’en servait juste. Alors, alors, monsieur le pervers ? Monsieur le dépravé ? Comment trouvez-vous sa voix ? Adorable, n’est-ce pas ? La première fois qu’il l’entendait. Et sûrement la dernière. Et l’écoute qu’il en eu aura été des plus désagréable.
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MessageSujet: Re: J'aime les plats épicés. [PV CHIBI]   J'aime les plats épicés. [PV CHIBI] Icon_minitimeDim 21 Mar - 19:43

    Silence… Aucune réponse de la part de la jeune fille. Il faut croire qu’elle était muette. Loth sourit de manière inquiétante ou peut-être obsédé avant de retirer le chandail de la jeune fille. Et puis, contre toute attente, le garçon vit la demoiselle l’aider à retirer ses vêtements. La plupart des jeunes filles, même sous l’effet de Loth, aurait attendu plus d’intimidé avant de se dénuder devant Loth. Enfin, ce n’était guère surprenant vu le fait que la demoiselle avait elle-même dénudé Loth… Ne fut pas la surprise de ce dernier face à la réaction qu’elle avait eu plus tôt. Aucune autre personne n’aurait osé arracher sa serviette à notre beau ténébreux. Alors qu’elle retirait sa casquette et la laissait tomber au sol, le jeune homme sourit à nouveau. Puis, elle retira ses lunettes fumées pour les poser sur le nez de notre prince noir. Il faut avouer que les lunettes, même féminines, lui donnaient un look. Enfin, il les retira et les envoya valser au sol, il voulait une bonne vue sur la demoiselle. Et puis, si elle voulait une vue, il avait le droit aussi non? Enfin, il profitait de la vue mais restait tout de même déçu devant le manque flagrant de poitrine de la jolie jeune fille. Face à Alice et son bonnet D elle ne faisait pas le poids, surtout avec ses soutifs de gamine. Pour des sous-vêtements, la dentelle est toujours bien non? Et les jarretelles aussi d’ailleurs. En fait, les jeunes filles en sous-vêtements, ça plaisait bien à notre ténébreux, surtout quand il pouvait leur retirer.
    Et puis voilà qu’elle s’y remettait, la charmante petite. Tenant d’une main le poignet de Loth, elle arrachait une brettelle de son soutif de l’autre. Elle tenait vraiment à faire cela, en plein milieu d’un couloir? C’est un fantasme comme un autre. Personnellement, j’entrainerais plus Loth dans un chambre, ça permet de faire durer le plaisir /ZBAF/. Les femmes sont parfois étranges… Et puis, encore plus surprenant, elle mit la main de Loth sur son sein. Désolé ma mignonne, si ça, c’est supposé être une poitrine… Enfin bon, il lui lança un regard moqueur dans le genre : tu crois que ça m’impressionne? Non mais franchement, elle avait beau avoir un joli minois, une mine toute innocente, elle n’avait pas un corps que les pervers comme monsieur Ara aimait. Mais bon, si elle s’offrait a lui comme cela, était-il seulement en mesure de dire non? Effectivement, elle se déshabillait alors… Loth allait faire avec ce qu’il avait. Il sourit devant la scène et écarquilla les yeux quand demoiselle –oui pas dame, une fille avec des sous-vêtements de gamine, ce n’est pas une dame. Oui Loth attache une grande importance aux dessous /ZBAF/- se mit à crier de toutes ses forces qu’elle se faisait attaquer par un pervers.
    Aussitôt dit, aussitôt fait. Une dizaine de jeunes filles apparurent, le regard haineux posé sur la main de Loth. Il souriait, c’était des filles qui étaient apparus et il savait comment la situation allait terminer. Ici, toutes les filles ne pouvaient résister au sex-appeal légendaire de Loth. Et puis quoi encore? Mais à les regarder, elles semblaient prêtes à tuer le pervers qui s’attaquait à cette pauvre petite sans défense. Enfin, elle finir par détacher leurs yeux de Fanchon, pour regarder le fautif. Aussitôt, leurs regards passèrent de l’indignation et de la rage à la jalousie. Elles regardèrent Loth, la jeune fille, Loth… Loth. Et bien quoi, c’est rare que notre bel apollon se promène nu devant autant de filles… ou alors c’est rare… si loin de sa chambre. Et puis, je sais que vous en rêvez mais je ne suis pas du genre à raconter les aventures nocturnes de mes personnages donc… je crois que je vais mon concerter sur les furies qui regardaient Fanchon, accusatrices. Elles semblaient prêtes à lui sauter dessus au moindre instant. Et puis, comme si elles obéissaient à un signal muait, les huit jeunes filles –je les ais comptées- commencèrent à parler, toutes en même temps.


    - Quoi? Salope! Comment oses-tu te faire violer par Loth?!
    - Si c’est ça moi aussi je veux qu’il me déshabille!
    - En plus, j’ai de plus gros seins qu’elles!
    - Et puis d’abord t’as quoi à chialer si le mec qui veut te violer est aussi sexy que Loth!?
    - Waw Loth est tout nu! *O*


    Et Loth disparut sous une masse bruyante de Fangirls qui, déchaînées, lui demandaient pourquoi il leur préférait Fanchon. Quand finalement, il les rassura et qu’elles consentirent enfin à retourner près de la demoiselle, il lui lança un regard amusé. Tiens ma mignonne, voilà ce qui ce passe quand on se frotte à Loth. Quoi qu’à l’habitude, il se « frottait » différemment aux jeunes filles si vous voyez ce que je veux dire… Enfin bref, alors qu’il ne restait que deux des jeunes filles, leurs regards fâchés posés sur Fanchon, Loth réprima un rire. Il lança un regard en biais à la jolie gamine… ou la fille avec les sous-vêtements de gamine, non mais tu vas nous laissez tranquilles avec les sous-vêtements?! Et puis l’air de dire « tu vois ce qui en résulte de vouloir se frotter à Loth. » - et la je parle de tenter de le battre à son propre jeu, je ne parle pas de sport qui se pratiquent à l’horizontale – notre beau ténébreux recula d’un pas, redonnant à la jeune fille la « meilleure vue possible ».

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MessageSujet: Re: J'aime les plats épicés. [PV CHIBI]   J'aime les plats épicés. [PV CHIBI] Icon_minitimeLun 22 Mar - 14:15

    Fanchon les vit arriver… et elle ne fut pas déçue du voyage. Et ben écoutez. Je vais vous dire. Fanchon n’était pas du genre à se sentir vexée, ou humiliée. C’était des choses auxquelles elle ne prêtait tout simplement pas attention. Si ça ne marchait pas, ça ne marchait. Elle pensait que ça marcherait. Et bien que voulez-vous ? On ne peut pas tout savoir. Elle gagnait juste de nouvelles informations : le coup de la tentative de viol ne marchait plus. Il y avait plus tracassant, dans cette histoire. Beaucoup, beaucoup plus tracassant. Voire même carrément déroutant. Ca veut dire quoi, « salope » ? Ce mot lui faisait largement penser à de la viande. Ca ressemblait à « escalope ». Vous ne trouvez pas ? Pourtant ! Salope, escalope. Salope, escalope. Pourquoi lui disait-on qu’elle était une escalope ? Même si « salope » ne voulait pas dire littéralement « escalope », il devait y avoir une origine. Du moins, peut-être. Manque de pot, elle n’avait pas son dictionnaire sous le bras. Elle aurait bien aimé. Mais non. On lui disait qu’elle était une viande ? Elle cuisait sur une poêle, on la salait, on la retournait. Cannibales ? Je suis désolée, mesdemoiselles, mais Fanchon était certainement mieux placée que vous dans la chaîne alimentaire. Si l’un devait manger l’autre, elles ne seraient pas l’un. Peut-être que c’était vrai, qu’elle ressemblait aux abeilles qui meurent après avoir piqué, et que si elle les vidait de leur sang, elle en paierait de sa vie. Rien n’était moins sûr. Après tout, on le lui avait juste dit, mais lorsqu’elle écoutait son instinct, parfois, c’était un tout autre discours qu’elle entendait. Lorsqu’elle pouvait sentir le liquide, chaud, qui coulaient dans le cou du professeur. Ca sentait si bon.

    Ce mot semblait avoir une signification aussi forte que futile, dans la bouche de la jeune fille qui l’avait dit. Elle les écoutait attentivement, et trouvait leurs regards menaçants idiots. Elles n’avaient pas vu les crocs, elles. Fanchon avait une petite idée de la manière dont ce « Loth », se servait de sa beauté, et de l’effet magnétique qu’il avait sur les demoiselles. N’est-ce pas dans la nature du Vampire, d’attirer, pour se nourrir ? Les hommes font pareils, avec les pipeaux. Ils imitent un cri pour attirer, pour tuer, et manger. La chasse. Une activité primaire. Enfin de compte, tous les êtres vivants respectaient une seule et même règle : manger, et être mangé. Tout était question de chaîne alimentaire. Chaîne dont elle ne faisait pas partie. Elle n’était pas non plus, de ces filles-là, futiles. La Demi n’était pas aussi volage. Elle était perverse. Nuance. Elle matait en silence, et profitait d’une agréable vue en toute dignité, et ne se rabaissait certainement au moindre service du premier beau mec qui passe. Aussi canon soit-il, et il fallait avouer que celui-ci atteignait des sommets.

    Fanchon le fixa, alors qu’il lui renvoyait le retour de sa tentative ratée. Un regard moqueur. Et bien rit. Elle aura tout de même atteint son objectif, soit, assurer sa sécurité. Sait-on jamais. De toute manière, elle n’allait pas rester ici indéfiniment. Et bien oui, souvenez-vous, elle a un mot à chercher dans le dictionnaire. Elle irait à la bibliothèque, et ensuite, se ferait un plaisir de trouver une autre salle de sport où elle pourrait mater sans être interrompue par une créature aussi sexy qu’indésirable. Fanchon se libéra des regards fâchés des deux demoiselles. Elle se débarrassa premièrement de son soutien-gorge cassé, plus gênant qu’autre chose. Oui, oui, elle l’enlève. Ecoutez hein ! Y’a des gens qui voient plus par l’utilité que par la pudeur. Et beh Fanchon faisait partie de ces gens-là.
    Elle alla ensuite chercher son haut qui traînait dans l’herbe, avant de le remettre. Elle n’allait pas le laisser là. Semblerait de plus que la nudité en publique soit punie par la loi, et elle ne devait pas faire entendre d’elle. Elle récupéra également sa casquette, et ses lunettes qu’elle reposa sur son nez. Oui, monsieur. Elle s’en va. Mais elle ne va pas partir comme cela, non. Fanchon est généreuse, et elle a un petit cadeau pour monsieur Loth. Un très joli cadeau. En plus, cela tombait bien, il était nu. Elle s’approcha donc de lui et se colla contre son buste, avant d’y déposer un baiser passionné. Puis elle laissa ses mains glisser vers le bas, glisser, jusqu’à… euh… disons l’oiseau du monsieur-fille. Elle se servit d’une main pour l’enserrer violemment. Non, non, non. La gâterie, ce n’est pas pour tout de suite. Elle attrapa l’engin et le serra de toute sa force, n’oubliant pas d’y planter ses ongles pour le moins affûtés.

    Et si là, ça ne lui fait pas mal, elle ne s’appelait plus Fanchon. Elle continua de le presser comme une orange, et lorsqu’elle jugea avoir assez fait, elle se tourna vers les deux demoiselles parfaitement… choquées. Voire, traumatisées.

    - Il est tout à vous. Prenez-en soin.

    La « gamine » resta de marbre. Le seul sourire qu’elle pouvait afficher était pervers, et elle ne savait pas bien exprimer la fierté. Elle n’exprima donc tout simplement… rien. Elle donna une tape sur les fesses de Loth, avant de démarrer, et de chercher la rue qui menait à la bibliothèque. Gauche ou droite ? Hmmm… Disons… Gauche ! Et advienne que pourra.
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MessageSujet: Re: J'aime les plats épicés. [PV CHIBI]   J'aime les plats épicés. [PV CHIBI] Icon_minitimeLun 22 Mar - 18:30

    La plupart des fangirls c’étant dissipées, Loth observait maintenant mademoiselle la gamine avec un sourire moqueur. Et puis quoi encore, elle ne semblait même plus le regarder. En effet, le regard de la mateuse c’était posé sur les deux jeunes filles restées là. Quoi? Il était quand même plus canon qu’elles non? Enfin, elle les regardait de la même manière qu’il avait l’habitude de regarder les jeunes humaines : dans le genre, je vous déshabille du regard. Mais il devait rêver non? Quoi que deux nanas qui s’amuse ensemble, c’est toujours agréable à regarder non? Enfin, qui sait si Fanchon ne faisait que regarder? Loth, lui-même était plutôt du genre action, il aimait être dans le feu de l’action, et le feu, c’est bien vrai car ces situations-là, elles sont toujours chaudes non? /ZBAAAF/ Enfin bref, notre prince ténébreux, pour le moment toujours nu, regarda la jeune fille, et décida de lui faire une blague, ou il était sérieux? Je n’en ai aucune idée. J’ai beau avoir créé Loth c’est tout de même dur de comprendre ce qui se passe dans sa petite tête. Oui, oui c’est vrai! Loth est quelqu’un de franchement incompréhensible, un instant il peut être froid tandis que l’autre il fait des remarques obscènes… Ou fait-il ce genre de proposition tout le temps.
    Le fait est que Loth s’avança d’un pas vers Fanchon, et se pencha contre son oreille. Il hésita un instant puis se décida. La fille l’avait fait rire, il allait la récompenser. Non pas en l’entrainant dans son lit mais plutôt en l’emmenant dans un endroit qu’il fréquentait beaucoup, et puis quoi, du haut de ses 22 ans il était correct non? Et bien si vous ne l’aviez pas deviné, Loth allait inviter sa nouvelle amie –depuis quand ils étaient amis, aucune idée mais bon, c’est Loth alors…- aux danseuses. Il affectionnait particulièrement cet endroit à la température élevée. Bah oui, forcément des filles à moitié nues qui se trémoussent devant nous, ya de quoi faire monter la température. La seule chose c’est qu’à part sourire, Loth n’était pas « chaud ». Bah oui quoi, c’était un vampire donc peu de différence. Et rougir, c’était la dernière chose qu’il aurait fait : sa peau pâle le reste, peu importe ce qu’il y ferait, mais bon ça c’est les vampires.
    Et puis Fanchon elle, comment pourrait-elle entrer là-bas? Je vous rappelle que ce sont des endroits dix-huit ans et plus. Enfin, la jeune fille avait tellement l’air jeune. Quel âge avait-elle au juste? En temps que vampire et pouvait être vielle comme le monde. Sauf qu’elle n’était pas totalement vampire, il y avait de l’humain en elle. Et puis, les demi-vampires n’avaient pas d’émotions. Toutefois, la jeune fille était toute rouge de plaisir, et ça c’était une émotion très plaisante non? Enfin, notre prince noir s’avança vers elle et tassa une mèche de cheveux de son visage avant de lui murmurer son invitation à l’oreille, mentionnant son adresse pour qu’elle vienne le retrouver le soir. N’attendant aucune réponse, c’était plutôt évidant qu’elle n’accepterait pas non? Il fit la jeune fille enlever son soutien-gorge. Il n’y avait franchement rien sur quoi s’exciter… Bah quoi? C’était la poitrine qu’aurait pu avoir une gamine de onze ans et Loth n’était pas du genre pédophile… enfin, c’était que la petite devait avoir un faible pour les vieux parce que, du haut de ces quinze ans, gros maximum, enfin, en apparence, elle embrassa Loth avant de poser sa main à un autre endroit.
    Ah non! Ces cochonneries là, ça ce fait pas dans les couloirs à côté de deux autres filles! Enfin, si les autres filles participent, on peut s’en reparler. Dans les films pornos ça fini pas toujours à trois? Enfin, à quatre dans ce cas-ci. Et puis, n’es ce pas le fantasme de tous les hommes d’avoirs trois filles canons –deux sur trois dans ce cas ci, remarque que Fanchon avait ses charmes- qui veillait au bon fonctionnement de leur système reproductif? Euh… probablement, ils ne veulent juste pas l’avouer. Et puis quoi, je suis sure que Loth l’a déjà réalisé, ce fantasme! QUOUA? Loth, c’est l’heure d’une discussion mère-fils. Je m’autoproclame mère de Loth, ou alors mère adoptive… euh finalement non, je pourrais plus le violer sinon /ZBAF/. Bon, bon, le fait est que la jeune fille n’avait pas l’intention de s’amuser avec les bijoux de famille de Loth.
    C’est alors que la jeune fille se mit à presser fortement l’entrejambe de notre prince ténébreux… non mais! À croire qu’elle ne savait pas que ce n’était pas come ça qu’on en faisait sortir du jus. Et puis elle entrait ses ongles, la salope! Elle voulait le rendre stérile ou quoi?! Il ne voulu pas reculer, de un à cause de la douleur et de deux par peur de perdre ce qui faisait de lui un homme. Elle continua un long moment et Loth pensa qu’il serait chanceux s’il n’avait pas de cicatrice. Il grimaçait alors que les deux autres filles tentaient de tasser Fanchon en criant des trucs dans le genre « arrête tu vas le briser! ». Mais Loth n’attendait rien sauf lui-même qui criait à Fanchon de se tasser. Il était pas comme certain lui, la douleur ne l’excitait pas sauf si elle venait d’une jolie jeune fille qu’il mordait au cou. Quand Fanchon le relâcha finalement et parti en disant aux autres filles de s’en occuper il grimaça : son égo en avait pris un bon coup.
    Il se maudissait d’avoir donné son adresse à cette folle, elle allait peut-être aller chez lui pour finir le travail? Elle aurait pus lui arracher bon sang! Il congédia les autres filles qui essayaient de l’aider. Elles partirent en parlant de la folle qui avait tenté d’enlever ses capacités de mâle à Loth. Ce dernier ramassa sa serviette et la mit autour de sa taille de manière à ce que personne n’aperçoive le travail de madame la folle et se dirigea en boitant vers le vestiaire des hommes : c’est qu’il n’avait pas mal qu’à son égo.
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MessageSujet: Re: J'aime les plats épicés. [PV CHIBI]   J'aime les plats épicés. [PV CHIBI] Icon_minitimeMar 6 Avr - 16:43

    Bien sûr, qu’elle viendrait. Comment pourrait-elle refuser une offre si généreusement proposée. Ce serait tout à fait idiot de sa part, et de plus, particulièrement fâcheux pour la suite de notre histoire. Après tout, si la petite Fanchon ne rencontrait pas à nouveau le beau Loth, l’histoire finirait sur une trop courte note, aussi comique soit-elle. Mais nous en voulons plus. C’est si intéressant. Si magnifique, si fort. Que l’on risquerait même de pleurer toutes les larmes de notre corps une fois le scénario terminé. Mais inutile de s’inquiétait. Nos protagonistes ont encore une longue route à faire. Des histoires de danseuses, et apparemment de placard, huh. Voilà pourquoi la Demi se devait de répondre aux avances du vampire, et accepter son rendez-vous. Et, plus Rpgiquement parlant, elle y trouvait un grand intérêt, et se sentait curieuse de savoir ce qu’il pouvait bien mijoter. De toute évidence, cela tenait toujours, qu’elle l’ai quasiment émasculé ou pas. Qu’il tienne un peu ses engagements, que diable !

    Mais peu nous importe. Fanchon n’avait jamais eu l’intention de les arracher. Pas vraiment attirée par ce type-là de trophée. D’autant qu’il était sans aucun doute mieux avec. Puis qui sait ? Peut-être pourrait-elle l’aider à soigner cette pauvre petite chose, quand viendra le soir. Plus j’écris, plus je me dis que « monosyllabique » est un mot réellement difficile à replacer. Bref. Je disais donc. Au soir. Elle savait parfaitement comment échapper aux caméras de surveillance qui recouvraient le manoir où elle coucherait la nuit. Timing parfait : elle restait encore deux jours à Glasgow, en comptant celui-ci, chez l’ami du professeur. L’après lendemain matin elle était repartie pour sa charmante campagne. Et la ville ne lui manquera certainement pas. Ou tout du moins, l’ami du professeur, le pédophile insatisfait. Elle se demandait bien, tout de même, pourquoi ce « Loth » l’invitait. Peut-être était-il lui aussi un pédophile insatisfait ? Il y en avait tant de nos jours.

    La petite demoiselle échafaudait son plan, sur le chemin de la bibliothèque, qu’elle avait supposée à gauche. Elle n’aurait aucun soucis à sortir : l’autre pionçait comme un ours en hibernation devant les écrans de surveillance, elle connaissait les angles mort. Quand à celle qui surveillait l’entrée, il se pourrait qu’elle subisse un dysfonctionnement momentané. Le porte-monnaie n’était pas difficile à trouver. C’était vraiment ce qu’il y avait de plus simple. A vrai dire, elle ne savait que penser de cette sortie. Fanchon était prudente, et il ne faisait pas bon traîner la nuit dans Glasgow. Les pervers, les fous, les criminels. Et surtout, certains monstres rôdent dans l’ombre, et c’était ce qui l’effrayait le plus. Son instinct de survie était assez développé, il fallait avouer. Bon, et cette bibliothèque ? Elle commençait à être introuvable ! Peut-être bien que… beh, elle n’avait peut-être pas pris le bon chemin. Remarquez qu’elle marchait depuis tout juste cinq minutes, et qu’elle s’étonnait. Elle reconnu cependant une rue, grâce à laquelle elle trouverait sans doute.

    Vingt minutes plus tard… Ah. Aurais-je oublié de le mentionner ? Fanchon avait un sens de l’orientation absolument pitoyable. Aussi, elle était rendue au même point : toujours pas de Bibliothèque. Ce fut alors que lui vint une merveilleuse idée : consulter un passant. Et tout de suite, c’était plus simple. Bonjour Monsieur, joli cul Monsieur, où est la bibliothèque Monsieur, merci Monsieur. Et voilà. Elle avait un plan détaillé : droite, gauche, droite. C’était tout simple, et à deux minutes d’elle. Fanchon arriva donc rapidement entre les immenses rayons remplis de bouquins en tout genre. On s’en fout un peu, des péripéties de la demoiselle. Mais non, on ne s’en fout pas. Certainement chose sont intéressante. Certaines conversations également. Comme celle-ci :

    - « Han », c’est monosyllabique ?
    - Oui, c’est monosyllabique.
    - Et « monosyllabique », ça veut dire que y’a qu’une seule syllabe ?
    - Oui, « monosyllabique » : qu’à qu’une seule syllabe.

    Ou, la méthodologie de comment réussir un défi le plus simplement du monde. Monosyllabique. Quel mot, mes amis, quel mot. Mais non pas aussi intéressant que « salope », appartenant tout de même au champ lexical de la viande, dans le vocabulaire de notre héroïne. Aussi chercha-t-elle le premier dictionnaire qui passa par-là, sois, celui qui lui tomba sur la tronche, accompagné de ses amies les encyclopédies en vingt volumes de cinquante kilos chaque. Car voyez-vous, lorsque l’on voit une énorme pile de livres qui attendent d’être rangés, et qu’un dictionnaire prend place à la base de cette même pile, le saisir entraîne automatiquement la chute des autres ouvrages. Sauf que, la pauvre petite ne calculait pas toujours tout. Et ça, elle ne l’avait pas calculé.
    Et étrangement, « salope » était une insulte. Oh. Et bien, elle allait l’enregistrer dans un coin de son crâne.

    Puis, arriva le soir. Fanchon avait pris deux bonnes heures pour rentrer au bercail. Et ce qui lui restait de temps servit à ses examens. Vous savez, ces examens, où le docteur vous demande de vous déshabiller, et d’écarter les jambes, avant de retirer sa ceinture ? Où peut-être était-elle seule à devoir subir ça, lorsqu’elle venait à Glasgow. Le Professeur ne faisait pas cela. Et pour tout dire, il valait mieux. Pauvre corps abusé. Ne l’ai-je pas déjà dit ? C’est un pantin.
    Mais place ! Il y a tellement plus important à décrire. Comme, dehors.
    La demoiselle traînassait, habillée de la même manière, lunettes et casquette en moins. La nuit était agréable. Après tout, elle était dans son élément, non ? Elle aussi, était une créature de la nuit. Bien évidemment, elle n’arriva pas immédiatement à l’adresse que le vampire lui avait donnée. Voyons, voyons. Elle l’avait parfaitement retenue, avec une très bonne mémoire, mais de là à trouver où, il ne fallait pas rêvé, mes chers. Elle finit par trouver, certes. Après une très longue heure. Mais elle finit par trouver. Après s’être chaleureusement mangé une merde de chien par la tronche.

    Vous ne rêvez pas. J’ai bien dit : merde de chien. Fanchon s’entrava dans ses lacets traînant, et splash. Oh, elle ne trouvait pas cela dégoûtant. Elle s’en moquait un peu. Bien que cela ne sente pas la rose et soit techniquement assez peu conseillé pour se présenter devant qui que ce soit. Enfin, si elle s’arrêtait à ce genre de chose… Mais non, il fallait qu’elle trouve cette adresse, et finit par la trouver, la tronche merveilleusement décorée. Et c’est ainsi qu’elle alla sonner chez son bel ami. Et lorsqu’il ouvrit… Tadaa ! Fanchon avait eu une idée. Tant d’intelligence… Ah, je l’en jalouse. Tant de grâce. En fait, jamais vous ne verrez une écossaise danser aussi bien le French Cancan que Dame Fanchon. Les mains bien posées sur les hanches, on lève une jambe, on la pose, on lève l’autre. Et ainsi de suite. Puis, après quelque temps, elle s’arrêta, ouvrit ses bras, tout en fixant notre cher et tendre Loth :

    - Salope.
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MessageSujet: Re: J'aime les plats épicés. [PV CHIBI]   J'aime les plats épicés. [PV CHIBI] Icon_minitimeVen 18 Juin - 17:03

    Il faut commencer un post d’une certaine manière, ainsi, je crois que je vais simplement y aller ainsi : monsieur le prince était rétabli de la blessure donnée par l’idiote de plus tôt. Enfin, apparemment rétabli, car en lui, il avait toujours très mal. Mais d’une douleur non physique. Je veux dire, son égo en avait pris un coup. Bah oui quoi, c’est pas tous les jours qu’une gamine tente de vous arracher votre masculinité. Enfin, passons. Je n’ai nullement envie de faire revivre à Loth le traumatisme de cette expérience. Donc, l’important, c’est qu’au moins, Loth était entier et rétabli. Pour évacuer sa colère, il allait souper avec un fille rencontré au gym. Mais bon, il faut que peu plus que des paroles adorables pour séduire une fille. Des paroles adorables, vous voyez le genre? « J’ai su que je t’aimais dès que nos yeux se sont croisés. » : Le seul problème, c’est que toi tu regardais mes yeux alors que moi, je matais tes seins. Ou encore « Le temps passait tellement lentement avant que je t’ai trouvé, désormais il est comme arrêté, et je profite de chaque secondes. » : C’est encore plus barbant depuis que tu es arrivé, au lui de t’écouter parler je te préférerais dans mon lit. Donc, des paroles à doubles sens dont seul un esprit tordu comme le mien peut trouver le vrai sens. Qui pourrait y résister? Alice à priori. Et pourtant, elle était la seule pour qui s’était sincère. La pensé du nom de sa douce rappela à Loth l’époque ou elle n’était pas sienne, mais de toute façon, Alice était un ange qui n’avait été prêté qu’une fraction de seconde au démon qu’il était. Le monstre. Il avait souillé la beauté divine de cette femme en prenant son cœur, et l’avait tout droit conduit à la mort. Les regrets le submergeaient encore.

    ~1557~


    Deux jours. Deux jours qu’Alice avait appris que Loth était un monstre, un vampire et qu’il l’assumait pleinement. Enfin, deux jours qu’elle était partie, et que son souvenir laissait un gout amer sur les lèvres de Loth, lui rappelant désespérément que ses lèvres avaient effleurées celles d’Alice avant qu’il lui avoue deux choses : son amour démesuré pour elle, et la présence des crocs dans sa bouche. Loth avait eu peur, car oui ça lui arrive mais uniquement avec Alice, peur qu’elle le rejette et il était parti. Et Alice qui était introuvable. Elle avait du le prendre en horreur, elle avait du lui reprocher d’être un monstre. Elle était partie. Pour toujours. Il ne rêverait plus jamais le sourire de cette femme, ses cheveux blonds frisés, ses yeux bleus malicieux. Jamais il ne la serrait dans ses bras. Le cœur de Loth se serra, même le monstre qu’il était avait des émotions. Il espérait juste que la bonne nature de sa belle ne reprenne pas le dessus et qu’elle n’ait pas pitié de lui. Vas mon ange, pars, oubli moi. Mais sois heureuse, sinon je ne me pardonnerais jamais de t’avoir blessé. Je vais devoir me planté un pieux au cœur pour avoir osé souiller ta beauté féerique. Je devrais peut-être le faire tout de suite, puisque je suis incapable de te sortir de ma tête.

    Un bruit sourd sorti le vampire de sa rêverie. On cognait à la porte, il alla répondre. Devant lui se tenait un humain trapu, vendeur d’esclaves. Il fournissait à la dynastie Ara des victimes apeurées à vider de leur sang. Derrière lui se tenait droitement une jeune femme aux cheveux châtains, aux yeux rougis par les mauvais traitements de se possesseur, et aux vêtements déchirés. À son cou était attaché un collier de cuir noir, attaché à une laisse par le vendeur. Elle avait les cheveux plats collés à la tête par la pluie battante. Je dois mentionner que Loth était dans son domaine de campagne car, évidement bourgeois, il avait plusieurs maisons et voulait être le plus loin possible de son ancienne ville. L’important de l’histoire, c’est que la jeune fille ressemblait à Alice mais… non il devait juste trop penser à elle. Évidement, comment oublier Alice, fleur s’épanouissant au milieu des innombrable ronces? La transaction se fit dans le silence, Loth envoya quelques pièces dans la main du vendeur et saisit la laisse de la jeune fille. Celle-ci, contre toutes attentes, ouvrit de grands yeux en le voyant la regarder avec un sourire pervers. C’est qu’il avait trouvé ce qu’il allait faire de sa soirée.


    - NIIIIIIIIIIAHHHHHH~ Troooop sexy! Fit-elle et devant la stupéfaction de Loth lâcha un rire aigu. (Veuillez noter que ceci fut vulgarisé pour cause de non fangirlization au 16eme siècle xD)

    Enfin, on fait avec non? Et puis tant mieux si elle ne chiale pas pendant qu’il s’amuse non? Enfin donc, suite à une direction vers la chambre de Loth, la nouvelle venue avait mystérieusement perdu son chandail… Hum… magie non? Ou alors vampire, ça reste à voir. Enfin bon, Loth embrassait mademoiselle dans le cou. Le contact de ses crocs avec la peau nue de la jeune femme fit frissonner notre prince de ténèbres.

    - Loth… Je voulais tellement te revoir…

    Au son de la voix non fangirlisé de la jeune fille, Loth se figea. Il la regarda dans les yeux.

    - Tu… non tu n’es pas…?
    - Tu ne m’avais pas reconnue?
    - Alice..!

    Et il la prit dans ses bras, serrant la jeune fille contre lui, les cheveux blonds d’Alice commençant à sécher et à friser.

    - Oh Alice, je suis tant désolé ma douce. Je n’aurais jamais je… j’étais si fâché de vous voir disparue, je craignais que vous ne m’aimiez pas. Alice, j’étais fâché. Plus jamais je ne traiterais une femme de la sorte. Mais… êtes vous réellement partie? Douce Alice, je vous aime. Ne faites pas attention au monstre que je suis, il s’évapore en voyant votre beauté d’ange.
    - Non mais tu vas arrêter? Loth je… je suis désolée mais non. Je ne peux pas être amoureuse de ça. Tu n’es plus toi Loth. Moi je t’aime au naturel, quand tu es arrogant, quand tu es mauvais. Maintenant, tu es tout juste bon comme chien.

    ~2010~

    Et un cœur brisé d’humain, ça se répare vite. Les humains ont une vie courte, ils n’ont pas le temps de s’en faire. Mais quand ça fait 500 ans que l’on revit la même douleur en pensant à une belle aux yeux bleus, notre cœur est brisé, et à jamais. Mais Loth, tu crois peut-être que personne ne veut de toi, que tous te déteste. Plusieurs filles voudraient te consoler. Mais aucune ne le ferait comme Alice. Jamais personne n’aurait sa douceur, ses beaux traits, sa voix. Jamais personne ne serait Alice. Nous voilà donc. Un cœur brisé de vampire, ça ne guérit jamais. Car les vampires n’ont pas de cœur. Ce sont des bêtes. Des monstres. Des machines à tuer. Facile non? Ils ont des émotions. Ils le croient. Ou alors juste Loth… Et Ian. Ian lui? Son frère, celui qui a tué Alice, il en avait des émotions? Surement. La colère est une émotion non? La colère, c’est mal? 500 ans que Loth en avait. Et comment on évacue la colère? En couchant avec tout ce qui bouge. Enfin, tout ce qui est de sexe féminin. Bien sur, depuis longtemps que la solution est choisie et méticuleusement appliquée. Enfin, je mélange tout là. Non? Où en étais-je?

    Ah oui, donc, Loth avait décidé de paraitre adorable pour une fille. Et les filles, ça aime le sucre. Ah ne me dites pas qu’elle surveille son poids. N’essayez pas. Moi j’aime le sucreuuh. Enfin, ce n’est malheureusement pas moi que Loth veut se taper, je n’ai pas de poitrine que voulez vous? Donc, pour paraitre mignon, Loth avait la merveilleuse technique de faire un gâteau pour « sa douce » mais il ne voulait pas tacher sa chemise blanche donc, il faut un tablier. M’en voici à une nouvelle épopée de notre charmeur Loth. Donc voilà, vous savez, quand des jeunes filles font le relais dans notre lit, certaines oublient des morceaux chez nous, et il en existe un trop collant. On parle d’une fille qui décida d’être gentille et de faire de la lessive pour Loth, pauvre idiote, de toute façon, tout le monde sait que la plupart du temps, Loth est à poil. Mais remarque que depuis la folle des vestiaires, il en aura peut-être moins envie. Ah je m’égare encore, c’est qu’il y a trop à dire. Une devinette peut-être? Un tablier blanc brodé d’orchidées noir et un chandail rose dans la même brasse, ça donne quoi? Un tablier rose brodé d’orchidées.

    Mais pas le temps de le changer car tout cela était arrivé quelques jours au par avant. Donc, voyez dans sa cuisine, le beau Loth et son tablier récemment rose fleurit, en train de cuisiner des pâtisseries. Non mais quelle connerie? Dans le genre, laisser moi vite arrêter ce Rp et aller lui enlever son tablier, et accessoirement le reste de ses vêtements. Ah voyez, même aussi incroyablement vêtu, il est beau. Et voilà, un gâteau au chocolat. Des chandelles. On oublie le tablier sur soit, on l’enlèvera plus tard. Des chandelles rouges. Ah dire que la soirée ne serait pas longue, as-tu oublié que peu de gens sont assez étranges pour accepter une invitation aux danseuses? Mais Fanchon l’était visiblement assez. Donc, ne fut la surprise que Loth éprouva en voyant cet énergumène sonner à sa porte. Au début il pensa que c’était sa compagne de la soirée. Il alla un ouvrir, un sourire charmeur aux lèvres. Pauvre petit Loth, tu as oublié d’enlever ton tablier, si ta camarade de jeu te vois ainsi, tu es sur de ne jamais la trainer dans tes draps. Enfin non, Loth était intelligent, il se serait sorti d’un mauvais pas, de toute façon. Mais le fait est que ce fut l’énergumène de plus tôt qui arriva, la figure barbouillée de merde de chien, ainsi qu’en effectuant une danse étrange. La french Cacan… Vous connaissez? Et bien Loth aurais préféré ne pas connaître. Les seules danses qu’il apprécie lui, c’est les ballets charnels. Et donc, on ouvre la porte. Bonjour… Au revoir. On referme la porte. Une fraction de seconde. Mais de quoi aurait-il l’air, avec cette sorte de personne chez lui? N’empêche, il ne pouvait pas la laisser la, non? Au détrompez vous, il n’avait pas de pitié, il avait peur qu’elle fasse peur aux voisins. Enfin, que pouvait-il faire? Bon, premier lieu, il fallait empêcher cette idiote de mettre le bordel chez lui… Bon tant pis. On ouvre la porte et agrippe la jeune fille par le collet. On l’a traine dans le loft, poupée obéissante. À la salle de bain, la petite. Loth l’envoya valser vers la douche. Et puis dans son cerveau tordu s’échafaudait un plan démoniaque. Pourquoi ne pas se la faire elle? Après tout, il fallait la faire payer, qui résisterait à Loth et… dans tous les cas il était gagnant. Et Loth adorait gagner.

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