|Aide au Rp, Rp Libre|
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Vous désirez apprendre ou enseigner l'art du Rp? Vous êtes sur le bon forum!
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

 

 Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw]

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Olivia

avatar


Messages : 58
Date d'inscription : 01/05/2010
Localisation : Quelque part sur la Terre.

Autre Info'
Défis en cours/ à venir:
Défis accomplis :

Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw] Empty
MessageSujet: Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw]   Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw] Icon_minitimeDim 27 Mar - 21:07

Comment prévu, repostage.

Fin d’études, début d’une nouvelle vie. Fin d’études ? Enfin, pour Tom Peterson, l’université n’est pas vraiment des études, plus le temps de faire de multiples conneries dans les corridors et d’envahir la chambre du voisin. Tom avait toujours rêvé de vider de la crème à raser dans les draps de quelqu’un. Ben quoi ? À 21 ans, on peut bien se le permettre, et puis, c’était le temps ou jamais. Le choix d’université ? Franchement. Comme dit plus haut, l’université était plus l’occasion pour Tom de faire différentes conneries en tout genre que d’étudier.



Bref, un beau matin frisquet et rempli… d’air plus ou moins pure - la circulation matinale n’aidant pas -, le sac rempli d’objets en tout genre - plus ou moins louches -, Tom gravit les marches agréablement ornées de gommes de multiples couleurs qui menaient à la porte d’entrée principale du bâtiment universitaire, ou plus précisément, le dortoir communautaire. Pour lui et ses muscles, les 6 étages à gravir jusqu’à son nouveau domaine ne furent pas un problème. Enfin si, mais par dignité il n’oserait jamais l’avouer. Finalement arrivé devant sa chambre, le 636, Tom ne se cassa pas la tête et d’un magnifique coup de pied orné de toute nouvelle running shoes blanche, il ouvrit la porte de ladite chambre. Ou plutôt, il tenta, sans succès. Son entrée ‘’remarquée’’ venant d’échouer lamentablement, il se décida à utiliser une clé qu’on lui avait passé à l’accueil et la porte s’ouvrit, magiquement. L’intérieur semblait très modeste. Les murs étaient d’une couleur brun-beige défraîchi sur laquelle on semblait avoir vomi régulièrement, et les quelques meubles se résumaient à un lit, deux fauteuils, trois armoires et un bureau.



‘’Home sweet home.’’



Tom lança son sac sur son lit qui heureusement, était en bon état et semblait fort moelleux - allez savoir avec quoi ou qui il avait été rembourré - et fini d’inspecter sa petite chambre minable. Il sortit de son gros sac de voyage - enfin, gros, pour une fille il aurait été considéré minuscule mais c’est bien connu, les filles ont toujours besoin de plusieurs valises même pour un court séjour - ses différents vêtements, ses trucs de toilette, son nouveau parfum qui rendait la plupart des filles dingues, quelques cahiers et en gros, ce fut tout. Alors qu’il finissait de s’installer, une voix un peu trop connue retentit.




‘’- DING DONG TOMICHOU OUVREEEEUH MOIIII!’’



Kathy. Évidemment. Incroyablement, Tom était heureux de la voir, car elle lui avait promis de l’aider à redécorer sa chambre. Il lui ouvrit donc la porte et la laissa inspecter les environs. La différence entre lui et sa sœur l’avait toujours marquée. Les cheveux de Kathy semblaient virer de plus en plus blonds-roux alors que ceux à Tom étaient toujours restés… noir. Enfin, on ne verra jamais vraiment quelqu’un avec les cheveux noirs viré blond naturellement, non? Même à ça, Tom ne désirait pas devenir blond aux yeux bleus. Donc, Kathy termina sa visite et en vint à la conclusion que la chambre était un désastre.



‘’- Première étape, peiiiinnntuuuure!



- Gmrh.’’



Eh oui, pas très bavard le Tom. Parfois oui, mais avec sa sœur c’était… compliqué.



Kathy aimait beaucoup les gros sacs pour toujours se promener avec n’importe quoi, et il ne s’était jamais posé de questions. Mais quelque ne fut pas son étonnement lorsque cette dernière sortit victorieusement un pot de peinture rouge vin avec un pinceau dudit gros sac. Peut-être qu’il devrait la forcer à faire une évaluation psychologique, car qui à part elle se promène avec des pots de peinture dans sa ‘’sacoche’’?




‘’- Kathy… ‘’



Sa belle voix grave se fit entendre pour la première fois de la journée, car Tom savait que c’était seulement en la sortant que sa sœur daigneraient cesser de courir à droite et à gauche. Difficile de croire que c’était l’aînée. Bref, il allait commencer à argumenter lorsque Kathy le coupa court.



‘’- Tooooom, je suis sûre que tu as de trèèèès gentils voisins. Et si tu allais leur rendre visite? Ça te fera de la compagnie. Allez oust, dégage d’ici.’’




Et c’est ainsi que notre ami Tom se ramassa dans le corridor, la porte de sa chambre fermée à clé - qui était toujours à l’intérieur - et avec sa sœur qui chantait à tue-tête de l’autre bord de la porte. N’ayant plus le choix, Tom partit visiter le bâtiment et bavarder avec le garde de sécurité. Remontant au sixième peu après, le garde de sécurité s’étant avéré gay et essayant de tripoter Tom, ce dernier remarqua que la porte de chambre voisine, la 639, était ouverte. Curieux de nature et pas gêné pour un sous, il cogna nonchalamment à la porte et n’entendant pas de réponse, entra. Oui, dans la tête de Tom, s’il n’y a pas de réponse vous pouvez entrer. Donc, personne dans la chambre, évidemment. Peut-être que l’occupant n’était pas encore arrivé? En attendant que sa sœur daigne ouvrir de nouveau la porte du 636, il s’installa et attendit, tout bêtement.


EDIT Chibi~ Mauvaise admin! Les règles disent, justification. *oD
Revenir en haut Aller en bas
Chibi
x-Admin Graph' Chibi Totalement Sadique-x
Chibi


Messages : 196
Date d'inscription : 24/01/2010
Age : 28
Localisation : Muhuhu~ Sur Terre... Enfin, la plupart du temps.

Autre Info'
Défis en cours/ à venir:
Défis accomplis :

Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw] Empty
MessageSujet: Re: Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw]   Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw] Icon_minitimeLun 28 Mar - 20:36


    Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw] 110329024053635735

    C’est que, voyez-vous, je n’avais jamais été le genre de garçons à aller vers les autres, à me mêler aux gens. Pour moi, l’université se résumait en cours de sciences, cours de sciences, cours de sciences, cours de français et, ah oui, cours de sciences. Vous comprendrez que ma moyenne de 96% avait poussé mes parents à me forcer à aller sur le chemin de la médecine, qui ne me déplaisait guère, mais qui ne me plaisait pas pour autant. Moi, mon monde, c’était la musique. Ma vie, c’était mon piano et mes guitares. Mon art me définissait entièrement, et lorsque je le pratiquais, on me voyait briller, on me voyait à mon meilleur. Le simple fait de caresser les touches contrastées de mon piano me faisait rayonner, d’une manière qu’on ne me connaissait pas. Tous ont ce domaine pour lequel ils vivraient : moi, c’était ma musique. Et, sans vouloir me vanter, j’aurais eu tout pour percer : beauté et talent. Par talent, je ne veux simplement pas parler de la caractéristique banale qu’ont tous les garçons de jouer de la guitare –sans offense à mes amis musiciens que j’adore, respect les gars xD-. Non, moi j’avais, et j’ai toujours, la voix en plus du jeu. Une voix rauque, qui accroche un peu. Une voix qui peut aussi être plus haute, un voix qu’on peut pousser à son maximum. Une voix de chanteur. Que toutes les filles rêvaient d’entendre murmurer des mots doux à leurs oreilles.

    Jusqu’ici, je paris que toutes les filles sont en extases et que les garçons sortent des choses dans le genre de « pauvre type ». Sauf qu’il y a toujours un mais. Il est vrai que j’aurais été le genre de garçon attentionné qui est adorable avec les demoiselles sauf que, malheureusement, non je n’étais pas gay, mais j’étais horriblement timide et je ne parlais qu’à peu de gens. Les travaux d’équipes se résumaient souvent à faire tout le travail sans parler à l’autre. Les oraux, j’y arrivais. Mais je n’étais simplement pas doué en relations humaines. Moi, parler aux gens, ça ne faisait pas partie de ma nature. J’étais un grand solitaire et sous l’effet de l’émotion, je perdais souvent mes mots. C’était ici qu’entrait en jeu la musique. Lorsque je souhaitais parler à quelqu’un je lui écrivais de paroles. Mais j’étais bien souvent trop gêné pour lui remettre. Je crois bien que la solitude me pesait.

    Enfin, il faut bien avouer que certaines personnes étaient venues me voir et m’avaient quasiment forcée dans une amitié, pour la plupart des filles, parce qu’à ce qui parait, je n’en laissais aucune indifférente. Il faut dire qu’à l’époque, j’ignorais que les musiciens sensibles exerçaient un attrait non négligeable sur la bande de jeunes femmes en chaleur qui peuplaient les universités. Et puis, même sans mon côté d’artiste, j’avais tout pour moi : j’avais des cheveux noirs rebelles, toujours en bataille qui me donnaient un air sauvage, en plus de grands yeux bleus électriques à l’éclat sans tâche. Mon sourire était aussi une chose ensorcelante : lorsqu’il illuminait mes traits, il me donnait un air horriblement craquant. Et puis, il y avait simplement le fait que j’avais le look simple que toutes les filles adoraient : jeans un peu déchirés, t-shirt foncé, généralement de concerts que j’étais allé voir, boucles de ceintures larges et bracelet de cuir. Si j’avais été moins timide, j’aurais eu toutes les femmes que je voulais. Sauf que moi, ce n’était pas mon style : je voulais une seule copine avec qui partager ma vie et mon art. Je rêvai d’une relation stable, de pouvoir être moi avec quelqu’un que j’aimais et qui m’aimait.

    Enfin, cette journée là, j’entrai dans ma chambre, et je remarquai que j’avais une nouvelle voisine : du moins, je suppose, puisque de l’autre côté, une voix de femme chantait à tue-tête alors qu’une odeur suspecte de peinture emplissait l’air. Enfin, ce n’était pas la première fois que des trucs pas très légaux se fumaient dans le bâtiment, mais de la peinture, c’était de l’innovation. Bref, j’entrai dans mon appartement et ne fus-je pas surpris de trouver, assis au sol contre mon piano, un garçon d’environ mon âge. Je fronçai les sourcils et m’approchai d’un pas gracieux, l’air perplexe.

    - Euh… je crois que tu t’es trompé de chambre, parce qu’ici, c’est chez moi.

    Et d’autres bruits de pas arrivaient.

Revenir en haut Aller en bas
https://x-kawaii-rpg-x.forumsrpg.com
Myrtille

Myrtille


Messages : 7
Date d'inscription : 29/09/2010
Localisation : Perdue dans sa propre tête...c'est qu'il y en a des choses la dedans

Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw] Empty
MessageSujet: Re: Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw]   Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw] Icon_minitimeSam 9 Avr - 1:06

-Pardon, ça serait possible de marcher encore plus lentement? Dit Lawan de son ton Ô combien chaleureux à un garçon quelconque qui montait les escaliers tout en le bousculant.

Lawan n’était pas toujours la fille la plus…délicate qu’il soit. Elle savait se montrer cordiale, mais perdait facilement patience. Si vous vouliez qu’elle soit agréable, il ne fallait pas lui chercher des noises, car elle avait tendance à s’enflammer. Elle gardait toujours une certaine distance avec ceux qu’elle connaissait bien, ce qui se résumait principalement à sa famille proche, et était plutôt sur la défensive avec les nouveaux venus. Elle n’appréciait pas d’avoir quelqu’un dans sa bulle, donc elle montrait l’image d’une fille compliquée et hautaine avec un sacré caractère pour éviter que cela n’arrive. Le type qui semble être SPM à longueur d’année. Le type rempli de contradictions. Le type qu’on ne comprend jamais tout à fait tant ses réactions changent vite. Vous savez de quel type de fille je parle, j’en suis sûre. Autant elle pouvait vous peter un plomb pour un commentaire légèrement déplacé, autant vous pourriez lui débiter tout un dictionnaire d’insultes qu’elle vous rirait au nez. Par contre, qu’elle soit difficile, colérique à ses heures, sarcastique, susceptible la moitié du temps et un peu prétentieuse sur les bords n’était vraiment qu’une façade. Au fond, elle était tout à fait charmante, quoiqu’un peu pince-sans-rire. Elle s’était en effet forgé une carapace avec le temps. Comment faire autrement quand on est fille de grand dirigeant d’entreprise et de scientifique renommée? Je peux vous dire que chez les Sakuljarernsuk, on apprenait vite à avoir le physique de l’emploi. Les sentiments, c’était plus que secondaire. Alors voilà ce que ça donne : une Lawan qui préfère disséquer les êtres vivants plutôt que leur parler.

Vous avez peut-être remarqué que Lawan Sakuljarernsuk n’est pas le nom le plus typiquement américain au monde. Si ce n’est pas le cas je dois dire que votre sens de l’observation est bien peu développé. Toujours est-il que, même si elle avait grandi majoritairement en Amérique, Lawan était thaïlandaise. Pas chinoise. Thaïlandaise. Lawan n’avait les yeux que légèrement bridés, le visage de forme assez ovale et les cheveux bruns foncé plutôt que noirs. Par contre, elle avait le même teint et les mêmes lèvres rondes que la majorité des jeunes filles chinoises. Elle était toute menue, courte sur pattes avec une taille très fine et, à son grand damne, très peu…d’atouts. Elle était fière de son ascendance et tolérait mal qu’on s’y méprenne. C’était exactement cette erreur que faisait la majorité des gens qui la faisait le plus sortir de ses gonds. Tout type de généralisation la rendait malade, mais particulièrement celles sur ses origines. Dans le genre de ceux qui assumaient qu’elle ne mangeait que du riz et qu’elle ne savait pas parler français sans accent. Il y avait aussi ceux qui prononçaient mal son nom. Ce qui, vous vous en doutez, arrivait assez fréquemment…

Lawan étudiait à l’université en sciences de la santé et vivait sur le campus, plus parce qu’elle voulait s’échapper de ses parents que par réel désir de tisser des liens avec les autres étudiants. En fait, c’était à peine si Lawan connaissait ceux avec qui elle partageait ses cours. Les seules personnes avec qui elle avait des contacts plus ou moins fréquents étaient son voisin et partenaire de biologie qui ne semblait pas trop traumatisé par elle ainsi qu’un inconnu qui glissait des paroles de chansons sous sa porte depuis quelques mois. Il faut dire que ce dernier l’intriguait beaucoup. Étant de la famille Sakuljarernsuk, elle était tout sauf artistique, mais ces mots avaient éveillé en elle une curiosité nouvelle. Elle avait même composé une mélodie pour certaines des paroles. Évidemment, si elle venait à rencontrer ledit garçon, elle se refermerait comme une huitre, mais tant que son prétendant restait fictif, elle trouvait ces petites attentions terriblement romantiques.

Un jour, alors qu’elle marchait dans le couloir menant à sa chambre, Lawan remarqua la forte odeur de peinture et le brouhaha que seul un nouvel arrivant pouvait provoquer. Elle jeta un coup d’œil curieux vers le 636 en passant devant dans l’espoir d’apercevoir le/la nouveau/nouvelle, mais se heurta à une porte fermée. Entendant des cris, car ce qu’elle entendait ne pouvait simplement pas être qualifié de chants, elle se dit que c’était peut-être bien mieux ainsi. Alors qu’elle passait devant le 639, elle se souvint qu’elle devait parler à Gabriel à propos du dernier labo qu’ils avaient effectué. Elle s’arrêta devant la porte entrebâillée, cogna deux ou trois coups et entra dans la chambre.

-Gabriel? Faut que je te parle à propos de la dissec-

Elle s’arrêta en voyant qu’il y avait un jeune homme inconnu, qui ressemblait d’ailleurs beaucoup à Gabriel, dans la chambre de celui-ci.

-Heuu…Désolée…j’aurais peut-être dû attendre avant d’entrer? Tu pourrais venir me voir quand tu seras libre s’il te plait?

Elle toisa ensuite celui qu’elle ne connaissait pas, tendit la main et eut une certaine hésitation. Finalement, elle dit d’une façon typiquement Lawan, c’est-à-dire très polie, mais distante :

-Salut, moi c’est Lawan. Je suis au 642. T’es nouveau ou visiteur?
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw] Empty
MessageSujet: Re: Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw]   Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Il était une fois un dortoir communautaire - 2 [Chibi, Myrtille, Jas le gwos chaw]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Le crash [Pv Chibi & Gee]
» Melbourne, here i am ! [Pv Chibi]
» Dreamzz breaks in... Il était temps xDD
» x-Chibi-x
» |Les personnages de Chibi

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|Aide au Rp, Rp Libre| :: Le manoir :: Le salon privé-
Sauter vers: