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| Sujet: Présentation de Choco Jeu 12 Aoû - 7:52 | |
| /|Renseignements généraux\|Pseudo:Choco, ou chocomenthe ^^ |Origine de votre pseudo: c'est parce que mon parfum de glace préféré c'est chocolat menthe (et comme je suis givrée sur les bords *sort*) |Prénom: Margaux |Ville: un petit patelin près de Nancy, dans le Nord-Est, la Lorraine |Âge: 19 ans ^^ |Date de naissance: le 5 mars 1991 |Passe-temps et intérêts: Lire et écrire forcément ^^ Je suis aussi une amoureuse de jeux videos (non je me ronge pas les ongles en attendant le prochain Kingdom Hearts!). En ce moment j'ai réplongé dans ma période yaoï (yaoï powaaaaa *hum, pardon*). J'adore les mangas, forcément, et je m'amuse à inventer des plans diaboliques pour faire sauter l'administration de ma fac, tout un programme donc. /|Du point de vue Rp\|Depuis combien de temps faites-vous du Rp? En gros, sans compter les périodes de vide, un peu plus d'un an. |Indice Niveau: - Spoiler:
Vous connaissez tous ces jours-là. Mais si, ceux qui annoncent une catastrophe à venir dans les heures suivant votre réveil. Ces jours sont fourbes, malins, mesquins, ils se cachent, se transforment, mais leur mode opératoire est toujours même. Immuables, ne souffrant pas des attaques du Temps, ils sont les piliers de l’humanité, la gangrène de chaque être humain, l’épée de Damoclès au dessus de votre tête, vous, misérable bienheureux. Vous pensez être épargné par leurs ruses et leurs noires pensées, mais non, ils sont là, ils vous guettent, ils cherchent leur prochaine victime. Qui parmi ces pauvres mortels sera le prochain à subir leurs foudres? Le malheureux bougre, l’élève lambda qui n’a rien demandé à personne, celui dont la vie est déjà un enfer rien que par la présence de son voisin de chambre, ou l’existence d’un prof, celui-là sera tout particulièrement bien vu par ces jours-là. Et bien lui, oui lui (donc vous), est certain qu’au moment précis où la phrase « ça ne peut pas être pire » traverse son esprit, alors c’est certain, ces jours-là vont frapper. Car ils sont sadiques, ils sont le reflet du monde qui les a façonné. Mais que sont-ils? Châtiment divin? Concours de circonstances? Fruit de l’imagination d’un futur suicidaire ou dépressif? Nul ne le sait. Les plus grands savants du monde se sont penchés sur cette question, ce mystère qui reste aujourd’hui entier. Alors on apprend à vivre avec, on se méfie, on les attend. On sait qu’ils sont là, tout près, qu’ils guettent leur heure, le moment où leur fourberie atteindra des sommets sur le mont de l’Exaspération et du Désespoir. On essaie de les déjouer, de les tromper, d’esquiver leurs attaques. Mais tôt ou tard, ils nous rattrapent, ils se vengent. Car ces jours-là sont susceptibles, il ne faut pas espérer les duper, ils sont les maîtres du déguisement et de la torture. Et ces jours-là, en plus de toutes ces qualités, savent aussi envoyer sur terre, des représentant de leur duplicité. Des êtres fourbes, des mécréants, des gens aux physique banal ou charmeur, aux sourires enjôleurs qui font frissonner. Des Innocents, des Martyrs pour servir la noble cause de ces jours-là. On ne les reconnaît pas immédiatement, et ce n’est qu’après être tombé, genoux dans la poussière, que l’on se rend compte que l’on a face à sois, un suppôt de l’enfer!
Et ce matin était le messager de ces jours-là. Annonciateur d’ennuis, portant la bannière marquée du sceau d’un des pires serviteurs des ces jours-là: le Malentendu. Lui, il jouait dans une autre catégorie, à lui tout seul il pouvait détruire un homme en l’espace de quinze secondes et trois centièmes. Or, aujourd’hui, il avait trouvé sa victime. Un jeune homme, l’Innocence incarnée, perdue dans une école des plus douteuse, et qui s’adonnait à as passion première: la paresse. Oui Calyel dormait, encore. Le visage enfouit sous un oreiller, une jambe rebelle dépassant de la couverture, barrant le lit, la couette remontée jusqu’en dessous des épaules, des mèches brunes qui empêchaient clairement de voir ne serait-ce qu’un bout de visage, et les bras dissimulés par tout un tas de coussins et de peluches. Un angelot tombé du ciel qui cherchait réconfort auprès de son meilleur ami, son lit. Le sien à lui qu’il aime, son amant, son frère, son confident, la créature pour qui son cœur brûlait d’une flamme lumineuse sans égal. Pourquoi donc avoir choisi cet élève? Parce qu’il le fallait. Il devait souffrir au moins une fois par semaine. Et cela commencerait par une envie de sécher les cours tellement forte qu’il s’y plierait sans même chercher à comprendre. Le grec s’agita, signe annonciateur de son réveil imminent. Première paupière…non elle s’est refermée dans la seconde. Bâillement, grognement protestateur, et enfin, une réaction vivante. Il ouvrit les yeux, croisa le réveil et soupira. 9h03. Premier cours de raté, et il n’avait pas l’intention d’aller aux autres. De toute façon, l’Écossais lui passerait ses notes, il lui devait bien ça pour avoir été malade. Donc Calyel pouvait faire semblant d’être malade, genre « j’ai chopé la saloperie de l’autre abruti pendant le week end. » Oui, ça c’était bon comme excuse. Bon, maintenant le plus dur était de quitter le pays des rêves définitivement, et surtout sortir de ce lit. Oh vil tentateur. Le grec se leva enfin, l’esprit embrumé, le regard un peu flou, comme une vieille télévision dont on devait régler l’antenne pour capter l’image. Il gagna la salle de bain, entra dans la cabine de douche et alluma le jet. Le tout par une suite de gestes mécaniques, savamment étudiés pour qu’il fasse un minimum d’effort le temps de se réveiller. Temps relativement long chez lui quand il n’était pas en situation d’urgence dès le matin. Après une douche brûlante, longue, savonneuse, et qui ne le fouetta pas comme il l’espérait, le brun quitta la cabine et passa une serviette autour de ses hanches. Le plus dur maintenant était de s’habiller. En faction devant son armoire, il défiait le meuble de ses deux pupilles émeraudes. Qui allait gagner ce combat? L’emporter de ce choc de titan? Lui, ou l’armoire en bois clair contenant ses vêtements et les draps de son lit? Les paris étaient ouvert. Première attaque du grec qui ouvrit la porte d’un geste vif, ferme, sûr de lui et de sa supériorité. Mais elle ne se laissa pas faire et exposa à sa vue un choix important de vêtements en tissus en tous genres. Vestes, pull, jean, pantalons de toile, cravate et boxer, sans oublier le cauchemar de tout être humain: les chaussettes! Oui, car les chaussettes étaient vicieuses elles aussi. Au lieu de rester sagement avec leur jumelle, elles se séparaient et vous faisaient courir dans tous les sens. Pour finir, trop en retard pour les achever, vous quittez votre chambre avec un ensemble dépareillés sur vos pieds. L’horreur. Mais Calyel l’emporta haut la main. Il opta pour un jean noir assez large, une chemise blanche à manches courtes, et s’empara d’un sous-vêtement et d’une paire de chaussettes avant de refermer la porte de l’armoire, un sourire victorieux aux lèvres. Ce n’était pas aujourd’hui qu’il s’avouerait vaincu devant un meuble! Bien, maintenant que le passage « habillage » était bouclé, restait à faire son lit et à s’attaquer à la dernière ligne droite, la plus périlleuse: dompter cette tignasse! Campé devant le miroir de la salle de bain, le grec fusillait chacune des mèches de cheveux du regard. Tout se jouait entre eux à présent. Les plus terribles des adversaires. Ils emportaient la victoire un jour sur deux en général, mais parfois il y avait des surprises. Après un démêlage calme, le véritable combat commença. Calyel s’empara d’une pince, bien décidé à les attacher. La moitié se laissa faire, mais quatre mèches rebelles s’échappèrent de l’étau de plastique pour venir tomber sur ses yeux et le narguer. Enfer et damnation! Ah elles le prenaient comme ça hein? D’accord, il allait sortir la grosse artillerie. Et soudain, surgissant des méandres du placard sous le lavabo, apparut un flacon de laque! Ah, elle ne l’avait pas vu venir celle-là hein? Et prends ça! Il envoya la sauce, l’index appuyé sur le poussoir, ou truc du genre, vaporisant en quantité cette colle en aérosol censée maintenir ses cheveux en place pour la journée. Fixation extrême, longue tenue 48h. C’était ce qu’indiquait le flacon. Mais après plus d’un quart d’heure de combat féroce, il se rendit à l’évidence, c’était une publicité mensongère. Bon, d’accord, pour cette fois il rendait les armes. Le grec retourna se laver les cheveux pour se débarrasser de la laque et les laissa voler en tous sens, cirant au monde leur joie d’être libre. Ce n’était que partie remise, demain il les aurait, tous!
Calyel se rendit compte que cette journée faisait partie de ces jours-là juste après son petit-déjeuner. Alors qu’il quittait la cafétéria, il se fit la réflexion que peut être il irait profiter de soleil en allant s’installer sur le gazon, et ne rien faire. Sa spécialité donc. Sauf qu’au moment o* il traverse le couloir pour sortir, il avisa le ciel gris, nuageux, menaçant de déverser des litres d’eau dans les heures à venir. Super. Pourquoi donc y avait-il un soleil radieux juste avant? Injustice! Le mauvais temps s’était installé à la vitesse de la lumière, le temps de regarder son assiette de tarte. Impressionnant. Bon, il lui fallait trouver un plan B. Que faire de sa peau? Certainement pas aller en cours, il s’était juré de ne pas y mettre ne serait-ce que l’ombre d’un orteil. Il n’allait quand même pas faillir à se propre parole? Là devant la vitre qui commençait à être assaillit de gouttelettes d’eau, le brun eut soudain une idée lumineuse. La bibliothèque! Il y passerait sa journée. Lire, s’évader un peu, au calme et surtout au sec. Voilà le bon plan. Fier de sa trouvaille, le grec se dirigea donc vers le sanctuaire, le cœur de cette école qui n’était pas les cuisines contrairement à ce que pouvait dire la pub. La bibliothèque de la Sweet était sans nul doute le lieu qu’il préférait, parce qu’il était normal. Bon mit à part le coin consacré à la lecture érotique bien fourni par rapport aux autres bibliothèques. Mais ceci n’était qu’un petit détail sans grande importance puisque l’ouvrage qu’il désirait n’avait strictement rien à voir avec une quelconque série érotique. A moins que il ne soit pas informé de ça, mais c’était peu probable. Alice au pays des Merveilles n’avait rien d’érotique. A la rigueur on pouvait prendre la passion de la Reine de Cœur pour les têtes coupées pour une forme de fétichisme. Et encore, c’était alors dans partie sadomasochiste de la relation sexuelle, forme prohibée à l’école. Allez donc savoir pourquoi. De toute façon, Calyel n’était pas très branché fouet, menotte, cire et autre forme de soumission lus ou moins douloureuses. Lui ne se soumettait pas d’ailleurs, mais cela était une autre histoire. Et d’ailleurs, il s’éloignait du sujet. Passer de Alice au pays des Merveilles aux relations SM, vraiment, il devait être sacrément endormi. Bon alors, Lewis Caroll, Lewis Caroll…Le grec tourna dans une allée déserte et se figea net. Ah. Ce n’était pas Lewis Caroll qu’il avait face à lui. Ni même Alice. Deux jeunes gens visiblement très occupés, et qui ne s’attendaient pas à être découvert. Il fallait bien dire que la bibliothèque était déserte à cette heure. Les fauteurs de troubles virèrent au rouge, sans même prendre la peine de remonter leurs pantalons. Ils devaient avoir dans les 19 ans. Calyel soupira, maudissant ces lieux et ces dépravés qui venaient troubler sa recherche de calme et de paix. Des vrais lapins! Et il était où le surveillant du coin? Il n’y avait pas un espèce de vieux barbu sensé s’assurer que la bibliothèque resta fréquentable en toutes circonstances?
-Ce…c’est pas ce que tu crois! Commença l’un des dépravés, un petit rouquin. Ah tien, un rouquin! -Tu ne sais pas ce que je crois, alors ne dis pas que ce n’est pas ça, répondit Calyel très calmement, totalement blasé. -On pensait, que…enfin, un lieu public… -La bibliothèque est vide. -Oui, eu…se faire surprendre…on s’était dit que ce serait excitant. -Tellement excitant que le disjoncteur à sauté quand tu m’as vu.
Le grec désignait par là la virilité de son cadet aussi plate qu’une limande et qu’il ne prenait même pas la peine de ranger. Lui avait-on dit que c’était dangereux et malpoli de désigner les gens du doigt ou de toute autre extrémité? Cependant cette pensée n’eut pas le temps de germer dans l’esprit du grec qu’il remarqua sous les fesses du blondinet le livre qu’il recherchait. Sacrilège! Alice se faisait souiller par un postérieur de dépravé! Calyel tendit un index accusateur vers l’ouvrage et son violeur puis ordonna dans un grondement menaçant:
-Je veux ce livre! -Quoi? Mais non, je voulais le lire, riposta le blondinet. -Tu lis avec tes fesses toi maintenant? Donnes!
Et sans plus attendre, le grec se jeta sur le blondinet pour récupérer son livre, l’envoyant voler au passage. Le rouquin se fit la belle, abandonnant son amant d’un jour aux mains de l’aîné qui se démenait comme un beau diable pour s’emparer d’Alice. Le boucan ne pouvait passer inaperçu. Et alors que Calyel écrasait son cadet de tout son poids, prisonnier sous lui, le livre dans la main droite, des bruits de pas le firent s’arrêter net. Quelqu’un venait d’apparaître au bout de l’allée. Le gardien de ces lieux vu son air sévère. Soit il venait réprimander les élèves pour le bruit, soit pour leur position équivoque, soit pour maltraitance sur livre. Ou les trois. Quoiqu’il en soit, Calyel su, à l’instant même où son regard croisa celui du nouvel arrivant, que cette journée faisait intégralement partie de ces jours-là.
bon, c'est pas toujours aussi long, mais quand je m'applique et que je suis inspirée, en général j'écris comme ça ^^ |Avez vous lu les règlements? Lu et accepté /|Si tu étais... (totalement facultatif) |Un animal: un félin |Un végétal: un tournesol |Un plat cuisiné: des gnocchis à la crème *ç* |Un légume: un concombre xD |Une boisson: du café! |Un objet du quotidien: un ordinateur xD |Un livre: alors là je sais pas, yen a tellement |Une série télé: docteur house |Un film: L'étrange noël de monsieur Jack |Un acteur: johnny deep |Un groupe de musique: Linkin Park (ou Dead by Sunrise)
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Chibi x-Admin Graph' Chibi Totalement Sadique-x
Messages : 196 Date d'inscription : 24/01/2010 Age : 28 Localisation : Muhuhu~ Sur Terre... Enfin, la plupart du temps.
Autre Info' Défis en cours/ à venir: Défis accomplis :
| Sujet: Re: Présentation de Choco Ven 13 Aoû - 15:36 | |
| Biiieeeenveeeenuuuueee toi! Oh~ Une fangirl et une fan de Kingdom Hearts *w*. Perso' j'suis pas super fan de Yaoi, mais J'suis a 100% pour le Axel/Roxas =3. Doonc le post, premièrement désolée de l'attente mais pour le lire, j'ai du attendre le milieu de la journée parce que pas réveillée, c'est la galère à lire. XD
Enfin bon, t'as un style, les post sont longs, peu de fautes... marie-moi. =D Le seul point négatif que je vois honnêtement c'est la mise en page: attention à mieux diviser les paragraphes parce que là, il font vraiment pavés, c'est gros et on galère à lire. =3
Miew, donc pour moi, c'est Expert aka Dieu Grec.
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