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 Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~

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MessageSujet: Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~   Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~ Icon_minitimeJeu 21 Oct - 17:28

En entendant le son familier du métro cessant sa progression, je levai les yeux vers la seule porte dans mon champ de vision, presque par réflexe.
« Viendrait-il? »
« Me regardera-t-il? »

Mon cerveau formulait jour après jour ces questions dans mon esprit, faisant accélérer les battements de mon cœur dans l’attente et le suspense. Pourtant, comme a chaque fois, je fini par l’apercevoir parmi cette poignée de gens qui entraient dans le wagon, aussitôt mon cœur ratait un battement tandis que sa silhouette disparaissait presque dans la petite foule qui nous entourait. Je n’arrivais pas à cesser de fixer le jeune homme qui devrait avoir environ mon âge, et mon cœur se serra quand des personnes s’interposèrent inconsciemment entre nous, coupant le contact visuel à sens unique que j’avais avait lui. Le seul contact que nous n’ayons jamais eu d’ailleurs.
J’ignorais tout de lui, jusqu’à son nom. Je me demandais encore comment j’avais fait pour tomber amoureux de lui, car oui, je l’étais. J’en étais même fou. Moi qui avais toujours été dégouté par ces histoires à l’eau de rose, des coups de foudres, ou bien ces histoires de gay, « fifes », comme j’aimais bien les appeler avant, j’étais tombé amoureux d’un garçon que je ne connaissais pas.
Je l’avais regardé, si longtemps. Cette impression de solitude qui émanait de lui m’intriguait. Je n’arrivais pas à le cerner en le regardant. Jours après jours, je l’avais regardé, comme pour mieux le comprendre, mieux le connaitre. Quand je me suis rendu compte de ce que je faisais, il était trop tard, l’inconnu hantait toutes mes pensées, tout mes rêves. Les jours où je ne le voyais pas dans le métro le matin, je ne pouvais plus me concentrer de toute la journée.
« Est-il malade? » « A-t-il eu un accident? » « Va-t-il bien? »
Ces seules pensées hantaient ma tête abrutie par ce qu’on appelle l’amour.

Chaque jour, je refrénais l’envie d’aller le voir, de lui parler, de simplement lui demander son nom. Je ne pouvais pas me le permettre, après tout, je n’étais qu’un simple inconnu a ses yeux, et même si depuis quelque mois je voyageais chaque matin dans le même wagon que lui, je doutais fortement que mon visage ne lui dise seulement quelque chose.
Chaque matin, je devais cesser ma contemplation silencieuse et m’en aller, pour ne pas être en retard en cours. Chaque jour je devais le laisser derrière moi, le cœur gros, ne sachant même pas si je le reverrais le lendemain, n’ayant aucune garantie de le revoir ne serait-ce qu’une seule fois.

Je soupirai à cette seule idée. Sortant du même coup de mes pensées, je tournai mon regard vers l’extérieur, reconnaissant avec lassitude l’arrêt auquel je devais débarquer tout les matins.
Encore un peu dans les vapes, je tournai ma tête dans le sens inverse, cherchant l’inconnu des yeux. Du coin de l’œil, je vis la porte se refermer lentement. C’est alors que je réalisai ce qu’il se passait. J’étais tout bonnement en train d’ignorer stupidement mon arrêt.
Pris d’une panique inexpliquée, je courus du mieux que je put vers la porte, entrainant mon sac dans mon sillage et bousculant une dizaine de personnes. Je ne me rendais même pas compte du vague « désolé » qui s’échappait de mes lèvres après avoir heurté quelqu’un, trop concentré sur mon seul objectif : l’ouverture qui n’en finissait plus de s’amincir.

C’est alors que mon pied se cogna violement a un objet non identifié. Un éclair de douleur me submergea soudain mais je n’eus pas le temps de crier que déjà je voyais le sol se rapprocher dangereusement de mon être. Je m’accrochai à la chose la plus proche de moi, l’entrainant dans ma chute.
J’entendis un « pouf » sonore, mais, étrangement, je n’avais pas mal. Je fini par ouvrir les yeux que j’avais fermés par réflexe pour me retrouvé face à face avec un visage familier.
Mon cœur rata difficilement un battement tandis que mes joues prirent une teinte rosée et que je me relevais difficilement. C’est alors que je me rendais compte de la situation.
J’étais à califourchon sur lui. Alors qu’en près de cinq mois je n’avais même pas osé le regarder tandis que son visage était tourné vers moi, alors que je n’avais même pas osé lui adresser une seule parole, j’étais carrément tombé sur un inconnu. Dont j’étais amoureux, qui plus est.
J’eu soudainement l’impression que tout le sang de mon corps s’était accumulé dans mon visage stupéfait. Face a cette soudaine proximité avec lui, je me voyais totalement paralysé, incapable de remuer ne serait-ce qu’un seul doigt, incapable de formuler ne serait-ce qu’un pensée cohérente. À voir ce visage de si près, j’avais soudainement envie de le regarder encore et encore.

C’est donc avec un air de retardé et une couleur cramoisie colorant mon visage que je restai tout bonnement assis sur l’homme que j’aimais.
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MessageSujet: Re: Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~   Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~ Icon_minitimeDim 24 Oct - 18:29

Je me suis levé, comme tous les autres jours, avec difficulté et l’envi d’être seul. J’ai fait les trucs que je faisais normalement, pris mon super iPod et mon couteau, près à le brandir s’il surgirait n’importe où. Toujours avec le pas lourd, je me rendis à l’autobus que je prenais chaque matin pour me rendre au métro. Arrivé à l’arrêt, je mis mes écouteurs sur les oreilles voulant éviter tout contacte social avec les autres. Après environ 5 minutes à attendre se stupide chauffeur plus ou moins médiocre, je montai dans le bus, montrai ma carte au chauffeur et m’installai le plus loin possible des gens, possiblement sur le bord d’une fenêtre. J’avais de la chance de prendre le bus si tôt, si j’avais le malheur de rater cet autobus, la prochaine était bombardée de gens. Lorsque je le manquais, je partais de chez moi pour tout simplement pas aller à l’école. Je passais la journée à l’extérieur au côté de cet arbre, à écouter ma musique en pensant à diverse chose. Bref, je ‘’foxais’’ les cours et sortais de la maison pour ne pas affoler la dame qui me servait de mère adoptive. Mais bon... Aujourd’hui, je n’avais pas ’’foxé’’ se que j’aurais fait si j’avais su que se matin là, un abrutis allait me tombé dessus. Mais bref... Continuons mon matin plutôt sans action pour le moment. Je suis resté environ une demi-heure dans l’autobus pour enfin me rendre au métro. Arrivé là bas, je me suis placé à la place habituelle que je prenais pour attendre le wagon dans lequel j’embarquais. Il est finalement arrivé avec quelques minutes de retard... Bah... En fait... Comme chaque matin, se qui était devenue l’heure normal. Je me suis dirigé vers se wagon qui était toujours moins occupé que les autres; l’une des raisons pourquoi je prenais toujours le même. Je me suis assis sur l’un des banc disponible en ayant toujours mes écouteurs sur les oreilles. Je n’entendais strictement rien tellement la musique était forte. Il faut dire que lorsque nous voulons nous sentir seuls au milieu d’une bande d’imbécile qui cris un peu partout, les pauvre qui essayaient de jouer de la musique à peu prêt écoutable pour faire quelques dollars et aller dépenser ces ‘’bijoux’’ dans l’alcool ou la drogue et les con qui emmène leurs enfants au travail et que ceux-ci se plaignent sans arrêt, nous devons mettre le son au max’ et se briser les tippant, mais bon... Il faut dire que peut importe où j’allais, la musique était toujours à se volume. Mais bon... Je m’égare là. Bon...quelques arrêts plus tard, je me sentis fixer, comme la plupart des jours vers cet heure là. Je relevé la tête, essayant de peut-être voir un abrutit me regarder et être finalement rassuré que se n’étais pas lui, mais, je ne vis rien. Je replongeai dans ma musique et mes pensés. 1 minute... 2 minutes... 5 minutes... 10 minutes... 15 minutes se sont écoulé avant que je ne me sente enfin plus fixé. C’est alors qu’une vielle dame s’approcha et me regarda. Je me suis levé, lui laissant ma place avec regret et alla dans le coin les moins bombardés de personnes. Évidement qu’il n’y avait personne, les gens entraient et sortaient par cet endroit, mais je décidai tout de même d’y allé pour simplement être seul. Je me suis accoté sur le mur et ferma les yeux pour me retrouver seul dans mon esprit ave se bruit de fond qu’était ma musique. À chaque arrêt, je manquais de tomber, mais je m’en foutais. Encore et toujours dans mes pensés, une autre arrête arriva, puis quelque chose me pris le bras, m’embarquant dans une chute non préparé. Je tombai violement sur le sol, et, pour arranger le tout, la ‘’chose’’ qui m’avait pris le bras tomba sur moi, m’écrasant de tout son poids. Je respirai difficilement à cause du poids de cet inconnu J’ouvrit les yeux du plus grand que je le pouvais. Je regardai le visage de se con qui venait de m’écraser et qui ne bougeait toujours pas. C’est alors qu’il se releva un peu pour prendre une position de califourchon sur moi. Ses joues sont devenus étrangement rouge et ne bougea plus. J’avais mal au côtes qui avaient été écrasé sous son poids plutôt lourd. Bon, il faut dire que la gravité avait qu’il était tombé extrêmement violement sur moi. Je le fusillais du regard, attendant impatiemment qu’il se relève, se qu’il n’avait pas l’aire de vouloir faire. J’ai essayé alors de le pousser, mais, n’ayant pas beaucoup de force dans cette position, je décidai plutôt de l’engueuler.
- PAUVRE ATARDER!!!!
Les regards, dont je ne me souciais vraiment pas, se sont tous retournés dans notre direction. Tout le monde nous regardait d’un regard questionneur. Évidement, quelques regards étaient là depuis le début de la chute mais d’autres s’étaient ajoutés après mes deux mots.
-TU VAS TU DÉGAGÉS.
Je réessayai une deuxième fois de pousser pour laisser un peu plus d’aire entrer dans mes poumons. Je réussis finalement par le pousser. J’ai lancé un dernier regard vers lui avant de me relevé et de le regarder sadiquement, puis partis un peu plus loin dans le wagon, attendant impatiemment le prochain arrêt. Quelques regards avaient quitté la scène pour retourner dans leur quotidiens tandis que d’autres me regardaient d’un aire déconcerté. Quelques uns était resté prêt de l’autre qui m’avait entrainé dans se chute. Lorsque le wagon s’arrêta de nouveau, je sortis, mais avant, je le regardai une dernière fois en le fusillant du regard. Je détournai la tête pour finalement partir, l’aire frustrer. Je partis d’un pas plutôt rapide vers je ne sais ou. Tous se qui comptais s’était que je me calme un peu. N’a mais l’espèce de cave qui est simplement reste assis sur moi m’empêchant de respirer. Je suis finalement sortit du métro pour aller a l’extérieur. J’ai cherché au alentour espèrent trouve un endroit ou je pourrais être seul et penser a tous ca. J’ai finalement trouve un coin tranquille avec un arbre, ou je me suis placer pour être dans ma bulle, comme toujours.
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MessageSujet: Re: Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~   Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~ Icon_minitimeLun 25 Oct - 18:53

Il me poussa rudement sur le sol, m’ayant traité d’attardé et m’ayant demandé de dégager d’une façon loin d’être des plus polie. Pourtant, je restai sur le sol, le regardant comme si il était une glace géante, d’un air des plus idiots. On aurait presque pus voir un coulis de substance muqueuse dégouliner de mes lèvres si je ne m’étais pas repris à temps. C'est-à-dire un bon six minutes plus tard.
Les quelque passagers près de moi avaient depuis quelque minutes fini de me dévisager, m’ignorant complètement, comme adaptés à ma présence a leur pieds. J’aperçus mon sac sous un banc, je l’avais probablement lancé quand je suis tombé pour ne pas qu’il encombre mon atterrissage forcé.
Pourtant, je n’avais pas vraiment conscience de tout cela, dans ma tête, je ne voyais que son visage, et je n’entendais que le son de sa voix. Les capacités intellectuelles que j’avais à ce moment ne me permettaient pas de déchiffrer les mots qu’il m’avait lancés, mais ces phrases passaient en boucle dans mon cerveau abrutit. Une chose était sûre, il m’avait parlé. Oui, il m’avait adressé la parole, et, en cet instant précis, alors que j’étais affalé en plein milieu d’un wagon de métro, le contenu de ses paroles m’importait peu. Non, en fait, je m’en fichais complètement. C’était clair, maintenant, je n’étais plus un simple visage inconnu pour lui, et que ce ne soit pas dans le bon sens importait peu pour moi, peut-être même se souvenait-il de mon visage! Rien que cette pensée faisait battre mon cœur un peu plus vite.

Je fini par me dire que je devrais me lever, ce que je fis. Aller à l’école ne me traversait même plus l’idée; je n’avais aucune envie d’expliquer mon retard qui serait de plus d’une heure quand j’atteindrai l’établissement, et c’était plus simple de dire que j’étais tout simplement malade. De toute façon, j’étais hors-service pour quelque heure encore. Si c’était possible de l’être encore plus que d’habitude.
Mon regard se tourna à nouveau vers mon sac que j’apercevais derrière les jambes d’une vielle dame. Trop perdu dans mes pensées, je ne fis que me diriger vers elle et me pencher pour reprendre mon sac, ignorant ses cris et les faibles coups de sacoche qu’elle me donnait en croyant que je regardais sous sa jupe, ainsi que les quelque regards indignés des observateurs inactifs. –Et entre nous, qui regarderait sous la jupe de cette vielle prune ridée, hein?-
Je sortis au prochain arrêt, un air indifférent sur le visage, mais à l’intérieur, j’hésitais entre hurler de joie ou de douleur. Oui, c’était bien beau, il m’avait parlé, m’avais vu…. Mais je lui étais un peu tombé dessus… et « attardé » n’est pas le plus beau des compliments. Un soupire s’échappa de mes lèvres. Si j’avais voulut lui parler, simplement avoir une discussion normale avec lui, c’était peine perdue, il ne m’aurait jamais laissé approcher de lui une seconde fois.
Le moral au plus bas, malgré ma poussée d’adrénaline advenue plus tôt, je remarquai que je ne connaissais pas l’endroit où j’étais. Perdu dans mes pensées, j’avais marché sans regarder où j’allais. Levant mon poignet pour voir l’heure, je notai qu’il me restait cinq heures pour trouver mon chemin et aller a mon travail. Bref, j’avais le temps.

Je décidai qu’une marche me ferait le plus grand bien. Aussi, je déambulai à travers la ville, ignorant les métros alléchants et les arrêts d’autobus qui me narguaient. Quand je levai le regard, je m’aperçus que j’étais devant mon lieu de travail, un petit restaurant, rien de bien bien prétentieux, s’apparentant a un plus snack-bar ou a un café qu’à un simple restaurant. La déco était minable, et l’ambiance assez merdique, mais la nourriture y était exquise. Le personnel aussi, d’ailleurs. –Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas de moi que je parle ici…-
Ayant marre de marcher, après tout, cela faisais un bon quatre heure que je m’usais les semelles, je décidai d’entrer, ne serait-ce que pour prendre un café. Finalement je me dirigeai vers la salle des employés pour me changer et y mettre mes affaires. Je n’avais pas envie de ne rien faire, cela ne ferais qu’aggraver mon cas. En retournant la salle, je m’apprêtai à prendre une commande, quand je le vit. D’un coup, je sentis mon visage se vider de son sang et j’eu une envie d’aller me cacher. Je ne savais si c’était la honte ou la timidité, mais une chose était sure, je ne voulais pas qu’il me voit. Cependant, je n’avais pas le choix; j’avais presque forcé une amie pour qu’elle me donne son heure de boulot. Respirant un bon coup, je m’efforçai de prendre un air sûr de moi, espérant qu’il ne me reconnaisse pas en me voyant sous cet angle. Après tout, la seule fois où il m’avait vu c’était de face avec un air abrutit… non? M’enfin, on peut toujours espérer.

Je vaquai donc à mes occupations habituelles, étant serveur, je déambulais entre les tables. Il était environ 13 heure et le rush de midi était toujours présent, bien que moins persistant. Faisant mon travail malgré Sa présence dans la salle, j’avais presque oublié la mauvaise aventure arrivée un peu plus tôt, mais je prenais toujours soin de contourner sa table si j’avais à passer à coté. Peut-être allait-il le remarquer, puisque j’étais le seul serveur de la salle, mais je devais passer assez vite pour avoir l’air surcharger, ce que j’étais.
C’est alors qu’une voix plus ou moins familière me héla. Je me tournai vers la source du bruit, mon sourire enjoué de serveur aux lèvres et lui envoyant un « Que puis-je pour vous? » automatique avant de me rendre compte que c’était Lui. Mon cœur rata un battement; m’avait-il reconnu?





HRP -
je suis désolée, mon chaton, je me suis permise de faire agir ton personnage... mais bon, NYAH! Puisque t'es pas là pour aprouver ou refuser ><"
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MessageSujet: Re: Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~   Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~ Icon_minitimeMer 27 Oct - 15:57

J’étais là, adossé à cet arbre plutôt confortable, pensant à diverses choses. À chaque jours, mes pensés changeais selon se qui m’étais arrivé, mais un élément y était toujours présent: ma mère. Lorsque je j’essayais de dormir le soir, son visage blême était là, avec les quelques gouttes de sang. Ses cheveux blond devenue rouge. Ce jour là, ou je l’ai perdu, ou ma vie à changé au pire. Dans ses moment là, j ne pouvais m’empêcher de verser quelques larmes emplie de souffrance. J’ai pensé plusieurs fois à cesser ma vie depuis ce jour, aller la rejoindre à l’endroit que nous, simple mortel, nommons ‘’paradis’’. Aller lui dire au moins une dernière fois que je l’aimais. Mais aucune tentatives n’a fonctionné pour le moment, comme si un ange gardien me surveille sans arrêt. J’ai beau essayer, mais j’en suis incapable.

Ou sinon, je rêve d’une personne créant l’une de ses machines pour remonter le temps, mais, malheureusement, nous ne sommes pas dans un de ses dessins animés ou nous pouvons faire se que l’on veut. J’ai aussi déjà pensé retrouver cet ignoble personnage pour venger ma mère, mais à chaque fois que j’y pense, je me vois avec mon minable petit couteau, et lui avec ce flingue. Moi, transit par la peur et lui, le regard sadique fixé sur moi. Il marche lentement en riant sadiquement, le flingue à la main. Il arrive derrière moi, fais un sourire qui fais peur, et me dit ses même mots qu’il ma dit après que j’ai vue ma mère, ajoute un petit ‘’Aujourd’hui, c’est à ton tour de mourir de se flingue’’, me le place derrière la tête et enfonce la détente. Je me revois par la suite, baignant dans mon sang, le couteau à la main. Quand j’y pense... J’ai peur. Peur que cette fin me soit aussi destiné, que c’est ma destiner.

Je crispai les point, quelques larmes sur les joues et la gorge noué. Je me recroquevillai sur moi-même, me sentant plus en sécurité et hors de la vu de tout le monde. J’ai fermé les yeux, me remémorant la scène du métro, étant incapable de juger si se que j’avais fait étais ‘’correcte’’ ou même ‘’normal’’. Oui... Si ma mère était là, elle me l’aurait dit. J’ai finalement essuyé mes yeux et les ouvert. Me sentant de nouveau fixé, je levai la tête pour finalement regarder au alentour, espérant voir une personne impertinente me regarder. Ne voyant personne à l’allure croche, je laissai retomber ma tête sur mes genoux. C’est alors que mon ventre décida de faire des bruit plutôt étrange. Je l’ignorai un moment, mais voyant que celui-ci ne voulais pas se taire. Je me suis levé, ne sachant pas trop où j’irais. Je me suis même demandé un moment si j’avais mon porte feuille. Le mal de ventre s’intensifiais tandis que mes pas me menaient vers je ne sais où. J’ai marché pendant au moins 1h, passant devant plusieurs café qui avait l’aire délicieux, mais mes pas ne s’arrêtaient pas. Mes pas se sont finalement arrêté devant un café, disons, plus ou moins appétissant. J’entrai après avoir regardé le nom du café un moment, n’ayant aucunement lu le nom. Juste voir les quelques pigeons en train de faire leur besoins m’avais ouvert l’appétit. Je suis entré dans le café, puis me suis assis à une table en attendant que quelqu’un vienne me servir. Après une quinzaine de minutes à voir une personne très mal polie détourner ma table sans être venu me servir une seule fois, j’accrochai le serveur.
- Que puis-je pour vous?
Je levai les yeux pour être... Dison... Plus polie avec la personne qui était mon serveur. Voyant la touffe de cheveux blond que j’avais vu dans le métro, je n’eu qu’une idée en tête: partir. Par contre... J’avais trop faim et trop mal au pied pour partir. Je décidai alors de faire comme si de rien n’étais. N’ayant pas envie de parler et aussi, dans l’incapacité de répondre à sa question, je ne fis que pointer sur le menu les fameuse choses que je voulais manger, soit un hambourgeois avec des frites, de l’eau et un désert choisi par le chef... Ensuite, je relaxer avant que cet imbécile ne revienne me porter ma bouffe. Je m’accotai sur le mur, croisai les jambes et fermai les yeux, sachant que ça devais prendre un certain temps. Les écouteur toujours sur les oreilles, j’attendais avec impatience mon repas.
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MessageSujet: Re: Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~   Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~ Icon_minitimeMer 3 Nov - 20:54

Je pris nerveusement sa commande. Un hamburger et des frites… Plutôt étonnant, je l’imaginais plus… je ne sais pas. Moins « Hamburger et Frites », disons. Mon écriture tremblante était totalement illisible, heureusement que l’inconnu n’avait aucun moyen de le savoir. Je l’écoutai d’une oreille plus qu’attentive avec un sourire hésitant mais éclatant, malgré l’irritation qu’il semblait éprouver depuis qu’il avait vu mon visage. Je le savais, il m’avait reconnu. Au fond de moi je souhaitais soudain avoir la capacité de devenir invisible, ou tout simplement d’avoir le courage de partir en courant. Mon cœur se serra un peu face à l’indifférence totale qu’il me portait. Je sentais mon visage balancer entre blêmir et rougir, le seul bon coté du fait qu’il ne semblait pas me regarder, d’ailleurs. Aussitôt la commande passée, je me détournai vivement et me dirigeai d’un pas rapide vers les cuisines. Je passai la commande à vive voix, jetant le papier à la poubelle. Ce qui était écrit dessus aurait autant pus passer pour « Navet aux anguilles » que pour le « hamburger frite » qu’il était.

Lorsque vint le temps de lui apporter sa pitance, je flanchai. Et si je laissais une de mes collègues prendre le relais? Ou bien si je sortais subtilement par l’arrière de l’établissement, ni vu ni connu?
Pourtant, je n’étais pas le gamin dont j’avais l’air, et, malgré mes idées plus qu’alléchantes, je me dirigeai d’un pas qui se voulait assurer vers la table où Il se trouvait, plateau à la main.
Durant mon dur voyage vers sa table, j’entendis une voix derrière moi.
« HÉ! ‘Tit morveux, tasse-twé de loh »
Mon cerveau mis un moment à identifier les mots que quelqu’un semblait avoir prononcé. Bien que cela ressemblait plus à un grognement informe qu’à de vraies paroles. Je fis volte-face pour me retrouver face à un adolescent d’une douzaine d’années, et qui me surplombait d’une bonne tête. Je ne sus si c’était de colère ou de honte, mais je sentis mon visage prendre une teinte pourpre en l’espace de quelque secondes. J’avais une furieuse envie de le lui mettre la où je pense, son morveux. Cependant, je me calmai, n’oubliant pas Sa présence dans la pièce.
J’allais répliquer quand, trop impatient pour attendre que je me pousse, l’adolescent me poussa presque brutalement d’entre deux table et je me sentis propulser un ou deux mètre plus loin. Foutu taille de nain.

Me relevant instantanément, je me tournai pour voir où était cet enfoiré quand je vis l’inconnu. Mon cœur cessa alors de battre un instant.
Je restai bouche bée devant la scène. Non seulement le hamburger avait trouvé la bonne idée d’aller camper sur son t-shirt, mais en plus les frites avaient décidées de se ficher confortablement dans ses cheveux. Je sentis mon sang quitter mon visage à une vitesse phénoménale. Je murmurai un vague « Désolé » presque inaudible tellement j’étais sous le choc. Pouvait-il encore plus me hair?
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MessageSujet: Re: Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~   Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~ Icon_minitimeJeu 4 Nov - 21:19

J’étais là à attendre mon hamburger avec mes frites tandis que j’écoutais ma musique et pendant à pleins de choses du genre : Est-ce que j’ai démoli sa journée?, Est-ce qu’il m’en veut?. Je me suis même demandé si j’allais lui pardonner et lui accorder un peu plus d’importance. NON!!! VOYONS!!! Pourquoi j’accorderais plus d’importance à un cave qui ma bécher dessus qu’un inconnu rencontrer dans la rue?! Pourquoi j’apporterais de l’importance à un gars aussi pitoyable que lui?! Je vais le traiter de la même manière d’on je traite les autres, c’est-à-dire de l’ignorer et de ne jamais l’écouter. Je n’aurai pas de choux-choux et si j’en aurait un, se ne serais certainement pas lui. Inquiétez-vous pas, je vais vous traitez de la même manière que je les traites. Je sentis à se moment mes lèvre se retrousser pour faire un sourire malin imperceptible à l’œil nu. Et oui, cela faisait 5 ans que j’avais perdue l’usage du bonheur, du rire, des sourire remplies de joie et même de la paroles sympathique. Je ne regardais pas les gens, mais lorsque ceux-ci m’y forçaient, je ne faisais que les regarder sans expression faciale jusqu’à se que ceux-ci s’en aille avec questionnement. Et oui, qu’est-ce qu’ils m’avaient fais pour mériter un regard aussi... Aussi... Aussi peu sympathique. La réponse est bien simple et pourtant, plusieurs d’entre
eux ne trouve pas la réponse. C’est plutôt évident?! Non...? Eux, ils se plaignent d’avoir des parents surprotecteur, qui ne leur laisse rien faire ou encore qu’ils sont supposément ‘’méchant’’. Pour moi, un parent méchant c’est mon père. Non... Le mot est beaucoup trop faible. Bon.. Pensons à autre chose.

Entendant une tune assez, disons, étrange, je pris mon iPod et changea la pièce. Voyant que c’était toujours une tune minable, je fermai mon iPod et décida plutôt regarder les comportements étranges des gens au alentour. Je vis alors un ados avec le visage plein de boutons mesurant à peine 3 pommes entrer dans le café. Ses cheveux étaient noir et avaient l’aire plutôt sal. Il avait l’aire d’avoir 12 ans maximums, mais encore. Il avait encore plus l’aire d’avoir 10 ans, mais vu son acné plutôt avancé, il devait avoir au moins 12 ans. Il s’avança puis dit:

-HÉ! ‘Tit morveux, tasse-twé de loh!

Devant cette scène, j’ai voulu aller avoir le boutchou, le mesurer, mesurer l’autre cave, et comparer les grandeur. Bon... Il faut dire que le blond n’avait pas trop son mot à dire... Il était tout de même petit pour un gars de 14 ans... Mais bon... J’avais aussi un bonne envi d’aller voir se p’tit cul et de lui en mettre une, cependant, je me retint. De toute façon, il avait se qu’il méritait. Je regardais la scène attentivement lorsque l’enfant de 3 pommes poussa le supposément ‘’morveux’’. Je n’ai eu que comme réflex de fermer les yeux. Et oui, je n’ai même pas eu la brillante idée de me lever pour aller à une autre table ou de me protéger. Le blond avait un plateau avec mon repas dessus, en plein dans mon champ de vision. Le petit garnement poussa le blond dans ma direction. Trop tard. Les frites dans les cheveux et le hamburger sur la poitrine, je me levai d’un bond et je me dirigeai en leur direction bien décidé à les engueuler. Sachant qu’il n’avait pas fait exprès de m’envoyer les trucs dans la tronche, je décidai plutôt d’engueuler le petit con de 3 pommes. Ma voix était remplis de colère, mais, essayant de ne pas être trop vulgaire avec celui-ci, je pris une approche différente de celle que j’avais pris avec le blond. Le regardant de haut, je lui dit:

-Hey.. Salut toi.. C’est... Toi qui ma envoyé ses choses à la figure.

Je pris le hamburger sur ma poitrine, pris les frites atterris dans mes cheveux m’arrachai quelques cheveux au passage et mit les cheveux et les frites dans le hamburger.

-Bon... Si tu veux pas que je t’égueule et/ou que je me fâche royalement, ou je peux commettre ou dire des choses pas super, tu mange se hamburger au complet.

Je lançai un regard au blond puis rajouta:

-Pas vrai l’blond?!

Le garçon me regarda, regarda le hamburger et n’ayant visiblement pas envi de me voir en colère pris une croqué dans le hamburger.

-Bon. Alors ça ne te dérangement pas que je rajoute un petit ingrédient j’imagine?!


Je pris les hamburger, recueillis un peu de salive et cracha dedans. Je lui redonna et regarda avec grand plaisir son dédain. Il prit une bouché, la mâchonna un peu, puis la recracha sur le sol.

-Bon... Maintenant, fais le ménage de tout se que tu as salis et déguerpi!

J’allai me rassoir, attendant à nouveau mon repas. Je crus sentir quelque regard en ma direction et entendre quelques murmures plutôt déconcerter. Je m’assurai ensuite que le bébé pommier ait bien ramassé et je le vit finalement partir en courant. J’avais évidement changé de place et avais remis mon iPod sur les oreilles, ignorant les remarques soit déconcertés et de critique à mon propos.
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MessageSujet: Re: Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~   Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~ Icon_minitimeMer 10 Nov - 13:03

Je le regardais, bouche-bée. J’aurais cru qu’il m’engueulerait, me jetterait quelque insulte, comme quelque heures plus tôt, ou bien tout simplement qu’il me gratifie d’un regard peu sympathique. Mais non. Rien. Je n’eus même pas droit à un zyeutage. Ne sachant point si je devais me sentir heureux ou bien vexé qu’il ne m’accorde pas d’attention, je cherchai du regard quelque chose pour me donner contenance. C’est alors que je me souvins ; j’étais en plein boulot. Je m’emparai du plateau ou l’adolescent avait laissé les détritus que l’Inconnu lui avait fait ramasser, et déguerpit en vitesse vers les cuisines. J’étais plus honteux que jamais. Non seulement je lui étais tombé dessus –et probablement fait quelque bleus- mais en plus je salissais ses vêtements et lui attirait des ennuis. Tout sa le même jour. Non mais quelle elle première impression…

Une fois arrivé en cuisine, j’expirai de soulagement, me rendant du même coup compte que j’avais retenu ma respiration depuis… une ou deux minutes déjà. Je mis distraitement le plateau sur un comptoir, laissant le sale boulot à quelqu’un d’autre. Commandant une deuxième fois son menu aux garçons en cuisine, je me pris une chaise, pas pressé de retourner servir des clients.

Quelqu’un posa le plateau bien garnit devant moi, j’étais tellement perdu dans mes pensées que je ne me suis même pas rendu compte que le ‘‘quelqu’un’’ en question était en fait un ami a moi… m’enfin, disons plutôt quelqu’un persuadé d’être mon ami qui me fixait avec des yeux inquiets. Prix par surprise, je sursautai et me levai en une fraction de seconde, empoignai la nourriture et repartit, tout sourire, gambadant presque joyeusement à travers les tables. Je n’étais pas particulièrement heureux, mais que voulez-vous, les habitudes reprennent toujours le dessus.
Je parcourus le café en quelque secondes, et je vins déposer le plateau devant lui, n’osant même pas le regarder dans les yeux, j’avais toujours mon sourire de serveur sur les lèvres. Je m’en retournai comme j’étais venu. Le cœur battant encore une fois douloureusement dans ma poitrine. Il devait me haïr. Que pensait-il de moi? Du mal, probablement. Ou rien du tout. Cette pensée me dérangeait encore plus que s’il me détestait. Je n’arrivais pas à concevoir que je ne pouvais être qu’un gamin parmi tant d’autres aux yeux de celui qui comptait le plus pour moi.
Dire que je ne connaissais rien de lui. Rien. Ni son nom, ni son âge. ¬Rien du tout. C’était un inconnu, pourtant, chaque regard qu’il me lançait faisait battre mon cœur un peu plus fort.

J’étais totalement perdu dans mes pensées quand je me rendis compte que j’étais arrivé a mon point de destination, immobile. Mon ami me regardait d’un air plus que septique. Il fini par me pointer un client venant d’arriver. Je dus retourner à mon travail à contrecœur. Je n’arrivais pas à travailler en sentant sa présence dans mon dos.
Je lui lançai un regard à la dérobée. Obsédé par son beau visage, je sentis soudain quelque chose me heurter. Je n’eu le temps que de fermer les yeux avant de me retrouver sur le sol, soudainement mouillé et recouvert de matière glacée non identifiée. Une douleur me traversa soudainement.
J’ouvris les yeux de surprise. J’étais sur le sol et je semblais avoir renversé un serveur. Des verres cassés se trouvaient sur le sol, quelques morceaux s’étaient fichés dans ma peau, d’où la douleur qui augmentait avec les secondes, et leur contenus semblait m’avoir pris en affection puisque par endroit, quelque glaçons finissaient de tomber au sol alors qu’à d’autres d’était plutôt un liquide chaud qui me brulait la peau. J’étais trempé, littéralement, et je sentais quelque gouttes de sang couler sur ma peau par endroit. Je n’eus le temps que je murmurer quelques excuses que l’autre était déjà debout en train d’aller chercher de quoi nettoyer tout cela.

Je restai, hébété, assis sur un sol tout aussi trempé que moi.
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MessageSujet: Re: Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~   Des Homos Dans Le Métro... ~Pv mon chat~ Icon_minitimeMer 1 Déc - 20:31

J’écoutais ma musique tandis que mon ventre grognait de plus en plus. Je n’entendais rien, pas une parole et pas un bruit. Je me sentais un peu fixé, mais je savais qu’il n’était pas dans la pièce (Je regardais attentivement la porte pour être sure de ne pas le voir, et, avant d’entrer dans le restaurant, j’avais inspecter la salle). Après deux à trois tunes, il est finalement arrivé avec mon repas. J’avais quelques étoiles dans les yeux et mon ventre criait sa joie. Je pris le hamburger et commença à le dévorer. J’étais si affamé qu’en 10 minutes, j’avais déjà fini mon repas. Mon ventre grognait encore, mais je n’avais pas assez d’argent pour pouvoir commander quelque chose d’autre. Je me contentai de mon assiette, puis attendis le serveur pour qu’il vienne me débarrasser.

Je relevai la tête de mon assiette, puis inspecta la salle des yeux. Je vis alors le blond assis sur le sol. Un peu de sang coulait de ses membres. Il était trempé jusqu’au os. Je voyais quelques glaçons et des bout de vitre au sol. Je vis alors un autre serveur partir en direction de la cuisine, laissant le blond au sol. Je détournai mon regard avec difficulté. Je n’avais qu’une envie: Aller voir l’autre serveur et lui demander son problème. On ne laisse pas une personne qui a besoin d’aide sur le sol. On l’aide a se relever au moins. Je restai tout de même à ma place pour l’ignorer comme je le faisais au autres. C’est alors que j’entendis une voix. Impossible que celle-ci vienne de mon iPod ou encore de la salle. C’était cette voix féminine, rassurante, chaleureuse. Cette voix que je n’entendais plus depuis 5 ans. Et oui, celle de ma mère. Il m’arrivait de l’entendre parfois, mais pas aussi clairement que cette fois-ci...

«Tu vois bien qu’il a besoin de toi... Ne penses-tu pas qu’il a été assez ignoré pour aujourd’hui...?»

Comme si quelqu’un me poussait, je me suis dirigé vers l’homme (ou plutôt l’enfant) concerné. Pour ne pas avoir l’aire de le connaître, je ne fis que prendre sa main et l’aida à se relever. Toujours sa main dans la mienne, je me suis dirigé vers les toilettes. Tout se que j’avais en tête était ceci : Pourquoi est-ce que je suis là à l’aider? Je ne m’attardai pas sur la question puis, arrivé dans la salle de bain, j’ouvris l’un des plusieurs robinets qu’il y avait. Me demandant intérieurement se que je faisais, je commençai à laver les plais.

Cela fais, je fouilla dans mes poches, trouva l’argent puis la déposa sur le comptoir et parti du café. Je me dirigeai vers je ne sais où, puis m’assis sur le sol, dos à un quelconque commerce. Je mis ma tête dans mes mains, puis me mis à sangloter. Et oui, pour aucune raison apparente, je pleurais.

Je remarquai alors que je n’avais plus mon iPod. Je fouillai dans mes poches, sans résultats. N’ayant pas l’envie de me lever, je restai tout de même là. Je savais que si je me levais, j’allais avoir que peu de force pour marcher. Et oui, je dormais tellement peu que je n’avais que peu de force dans une journée.
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