Si j'te trouve, j'te tue ~ ♪♫

Aujourd’hui, mon cadran à sonné vers les 6:30. Et oui, cela faisait bien longtemps que mon cadran n’avait pas sonné. Généralement, je me réveillais vers les midis ou encore plus tard. Lorsque mon cadran à sonné, je l’ai assommé pour qu’il se la ferme et que je puisse me rendormir comme un ours le fait l’hiver. Malheureusement, mon chien Jack est venu me réveiller. Je me suis levé, les yeux entre-ouvert pour ne pas avoir trop de lumière dans ceux-ci. Je me suis rendu à la salle de bain et me jetai de l’eau au visage pour me réveiller. Je me redirigeai vers ma chambre pour enfiler un jeans, un T-shirt et des bas. Je pris mon iPod et couteau qui étaient sur mon bureau, de peur de devoir m’en servir contre ce monstre. Je ne sais jamais lorsqu’il sortira ou lorsqu’il s’échappera pour... Tk... J’Me comprend. Ce couteau appartenait à ma mère. Je regardai l’heure. Il était déjà 7:00. Le temps passe beaucoup trop vite. Je devais partir pour les 7:30 max’. Je me suis rendu dans la salle de bain pour me brosser les dents. J’allai réveiller ensuite la femme qui m’avait adopter. En fait, j’ouvris la porte pour que la lumière rentre dans sa chambre, comme elle me l’avait demandée. Je regardai l’heure à nouveau, 7:15. Je décidai alors de partir de la maison pour pouvoir me promener seul pour pouvoir enfin penser à tout se que je voulais et pouvoir écoute ma musique en paix. Je me rendis à un parc ou il y avait un arbre. Je trouvais que cet arbre était majestueux. Je l’admirais. C’était un arbre où nous pouvions lire, écrire et même, faire n’importe quoi. Je suis rester là une quinzaine de minutes avant de marcher jusqu’a l’école. Toute chose me traversaient l’esprit comme: Qu’elle sera la température demain?, Est-ce que la journée va bien se passer?, Vincent sera-t-il présent? et encore Vais-je encore passer pour un con?. Finalement, pour toutes ces questions, je me suis dis que j’allais le voir en classe. Rendu à l’école, j’aperçu Vincent au loin. J’étais heureux, mais depuis ce jour là, mon visage n’avait plus d’expression. Je me rendis à lui en marchant d’un pas normal. Je lui fis un signe de la main et remis mes écouteur sur les oreilles. Je me suis assis non loin de lui sur le bord des cases pensant à n’importe quoi, comme j’avais l’habitude de le faire. Le temps était compter, compter avant que la cloche sonne. Compter pour tous, avant leur fin. Il était compter pour chacun de nous. Nous ne pouvions rien n’y faire. Je suis rester un moment là, à avoir les yeux fermés et à penser avant que la cloche ne sonne. Je me levai et me rendis à la classe ou nous avions cours avec Vincent. J’enlevai mes écouteurs pour ne pas me faire confisquer la chose à laquelle je tenais le plus. 5 min’ après la première cloche, une seconde à sonnée. Étrangement, le prof n’était toujours pas arrivé. Il est finalement arriver une quinzaine de minutes après la cloche. En fait, j’ai su qu’il était arriver quand j’ai entendu les élèves de ma classe applaudir comme si quelque chose d’impressionnant venait de se produire. IL commença par prendre les présences. Lorsqu’il nomma mon nom, mon prof’ m’obligea à lever ma tête pour savoir de quoi j’avais l’aire. Je l’ai finalement lever après m’être un peu obstiner avec ce prof plutôt étrange selon moi. Lorsque je vit le visage de se prof’, je figeai un instant. J’avais peur, très peur. J’me suis lever et enfuie sens rien prendre. Je courrais dans les couloir tout en entendant ce montre me crier dessus.

-REVIEN ICI! TU N,ES PAS AUTORISÉ À SORTIR DE MA CLASSE! ES-TU SOURD OU QUOI?! REVIEN!

J’ignorai c’est parole. Je courrais de plus en plus vite tout en pleurant. Ce ne pouvais tous simplement pas être lui. Non, ce ne pouvais pas être lui. Je ne pouvais pas le croire. Je sortit de l’école et courue jusqu’à me perdre. Je me suis effondrer au sol comme ce jour. Ce jour il m’a promit de me tuer lorsqu’il le pourrait. Je pris mon couteau de la main droite et le serrai le plus fort possible. Je me disais qu’au moins, s’il serait là, je pourrais me défendre, mais j’avais figé. Je pleurais toujours à chaude larmes. Les larmes ne voulaient pas arrêter. Elle ne voulait pas cesser de tomber au sol. Je revoyais la scène en boucle dans ma tête. Cette scène qui m’avais tellement marquer. Je pouvais remarquer quelques passants me regarder d’un aire interrogateur et m’encercler. J’essayais de me relever mais, mes membre tremblaient beaucoup trop. Un gentille dame s’approcha de moi pour m’aider à me relever. Dès que je me suis sentis plus alaise sur mes jambes, je me dirigeai vers un banc où je pourrais m’assoir pour reprendre mes esprits. Il y avait toujours c’est gens qui me regardaient étrangement. Peut-être étais-ce à cause de mon couteau qui les dérangeai ou simplement parce que je m’étais effondrer. Qui sais... Tellement la douleur remontait, je voulais simplement en arrêter là. Enfin, disparaître avant que se sois lui qu’il ne le fasse. Je posai mon couteau sur mon bras. Ma main tremblait et j’entendais des voix. Ils y avaient les voix des passants me disant qu’il pouvait supposément m’aider. Non, ils ne pouvaient pas m’aider. Ils pas m’aider et ils le savaient. Ils disaient simplement cela pour ne pas voir une personne étendue dans son sang. Pour ne pas avoir un traumatisme. Pour ne pas voir quelque chose que j’ai vu quand j’étais si jeune. Un autre voix me disait d’arrêter. Cette voix si douce, si réconfortante. Cette voix, la vois de ma mère. Je l’entendais me dire de ne pas poser ce geste. De ne pas me suicider. Étrangement, je l’écoutai. J’écoutais son fantôme. Ma main à lâcher le couteau et la laisser tomber au sol. Je ne pouvais plus bouger mon corps. Je sentais une présence, cette présence. Oui, ma mère. Je l’ai sentis mettre sa main sur mon épaule. Lorsque je me suis retourner pour la voir, elle était disparue. C’est quelqu’un d’autre qui était à sa place.

Lorsque je me suis enfin retourné pour la voir, j’ai simplement vu Vincent. Plutôt déçu, je me suis retourné pour regarder vers le sol comme je le faisais toujours. Je vit alors que mon couteau n’était plus au sol. Je me suis mis à balayer le sol de mes yeux pour le retrouver. Voyant qu’il n’était pas au sol, je me mis à regarder les passants qui me dévisageaient pour voir si lun d’entre eux ne m’avaient pas volé la chose dont j’avais le plus besoin.

-... On va aller ailleurs d’accord...?
-Non... Non... Mon couteau! Mon couteau n’est plus là!

Je regardai Vincent avec un air détruit. J’avais peur, très peur. J’avais peur d’avoir perdu l’une des seuls choses qu’il me restait de ma mère. Mes yeux s’embrouillèrent à cause des larmes qui ne voulait pas cesser de couler. C’est alors que je pris le bars de Vincent en le serrant le plus fort possible. Je ne voulais pas tomber encore une fois dans cette abysse. Je me cramponnais à lui comme s’il était une roches qui dépassait de cette falaise ou toutes les roches étaient parfaitement droite. C’était la seule personne en qui je pouvais compter. La seul personne à qui je pouvais me cramponner pour ne pas tomber. La seul personne qui pouvait me comprendre et surtout, la seule personne qui était rester là pour moi du début à la fin. Après un moment de panique, je vit le couteau dans ses mains. Je me suis alors laisser guider par Vincent. Les larmes commençaient enfin à arrêter de couler. Nous partions sous les regards perturber des gens. Nous avons marché pendant un moment avant de s’arrêter je ne sais où. J’essuyai mes joues encore mouiller de larmes.

-Où... sommes-nous...?

Ma vois tremblait toujours comme celle d’un enfant qui à pleurer toute une nuit. J’avais toujours envie de pleurer, mais je savais que ça faisait souffrir intérieurement Vincent. J’avais mal. Mal au cœur de revoir ce monstre. Mal à la tête de m’entendre penser. Mal aux membres d’avoir couru. En fait, j’avais mal partout. J’avais pratiquement envie de vomir tellement j’avais pleuré et tellement j’étais dégouter. Je passai ma main sur mon front et ressuyais les larmes qui tombaient sans que je m’en rendre compte. Je regardai Vincent encore une fois.

-Tu... Tu sais... Tu n’as pas à t’en faire pour moi... Mais, merci... D’être venu avec moi.

Je détournai mon regard du sien pour regarder encore et toujours le sol. J’avais finalement réussis à me reprendre en main. En fait, pas totalement, pratiquement. Je me suis ensuite assis au sol puisque nous avions l’aire d’être arrivé à destination. Je voulu sortir mon iPod, mais je ne l’ai pas fais puisque Vincent était là probablement pour me demander pourquoi j’étais partis.

Après avoir demandé à Vincent où nous étions, il m’a répondu que nous étions au parc ou j’allais si souvent pour enfin être seul. Je regardai l’arbre pour être sure que nous étions bien là et je me suis assis au sol. Je regardai Vincent, lui disant qu’il n’avait pas à s’en faire pour moi et je le remerciai.

- Aller, évade-toi. J’te demanderais rien, SI tu veux parler; explique. Mais j’aimerais bien comprendre, aujourd’hui, demain, dans un mois, une semaine...

Je me suis demandé un instant se que je devais faire. Je ne voulais pas dire quelque chose que j’allais regretter par la suite. Je vit du coin de l’œil Vincent sortir un livre de sa poche secrète ou il y cachait toujours un livre. Je me suis remis à penser à se que je pourrais lui. Évidement, il ne savais pas se que ce monstre m’avait dit lors de se jour. Je ne voulais pas qu’il le sache. J’ai bien droit de garder quelques petites choses pour moi. La question étais : Qu’est-ce que je pourrais lui dire sans lui raconter tous se qui c’est passé ce jour. Tout se que ce monstre m’avais dit. J’avais peur, peur que Vincent parte à cause de ça. À cause que je ne lui ais jamais dit. J’avais aussi peur que parce que je l’avais dit à quelqu’un, cet horrible monstre décide d’assassiner cet personne aussi. Je le faisais pour le protéger. Je ne voulais pas qu’il soit avec moi dans cet éternel peur de le croiser sur un chemin et qu’ils nous plante une balle dans la tête. Je me sentais toujours observé. En tout temps. Je me retournais plusieurs fois quand je marchais toujours paniquer de ne pas le voir arriver. C’est pour cela que je ne voulais pas qu’il le sache. Je me suis mis à regarder un peu autour de moi. J’ai remarquer alors que Vincent attendait toujours une réponse puisque celui-ci me regardait sans me quitter du regard. Je me retournai pour regarder encore et toujours le sol qui m’étais si familier. Je pensai encore un moment avant de me retourner encore une fois vers lui. Je le regardai un moment et commençai à parler.

-... J’ai... Juste eu peur... J’ai cru le voir mais je ne le sais toujours pas si c’était lui...

Je repris mon souffle. J’avais toujours eu de la misère à parler alors c’était dure. Je sentis les émotions revenir. Je voulu me contrôler, mais je n’ai pas vraiment réussis. Mes larmes recommencèrent de couler petit à petit. Je les essuyèrent et continua se que j’avais à dire.

-... Les émotions sont revenus... Et c’est ça... C’est pour ça que je suis partit...
Je détournai mon regard du siens tout en essuyant mes larmes. Je regardai à nouveau le sol.

-... Hum... Pardonne moi, mais, j’pourrais ravoir mon couteau...?
Je tendis la main pour qu’il le mettre dans ma main tout en essuyant encore mes larmes au passage. Je me suis mis à respirer par la bouche essayant désespérément de me clamer. Combien de fois j’avais pleurer pour elle? Combien de fois j’avais passer des nuits blanches à penser à elle? Combien de fois je me suis vu le tuant? C’étais toutes des questions auxquelles je ne pouvais répondre.

Il m’a finalement donné mon couteau. Je voulais tant le ravoir pour pouvoir le serrer dans ma main comme je le faisais toujours. Lorsque j’allais serrer mon couteau dans ma main, étrangement, Vincent me tira par le poignet et m’attira dans ses bras. Bizarrement, je ne me suis pas débattu mais je me suis plutôt laissé faire. Je n’avais pas la force nécessaire ni l’envi de le repousser. Nous sommes resté un moment ainsi avant qu’il ne commence à parler.

-Pleur si t’as envie, mais n’ai pas peur. Je suis là. Il te fera rien parce que je vais être là.

Je me retournai vers lui. Il avait les yeux clos. Mes yeux, eux, étaient toujours noyer dans mes larmes. Il avait beau vouloir me réconforter mais ses paroles me paniquait plus qu’autre chose. J’avais toujours peur. Peur qu’il nous ait suivit et qu’il attendent le bon moment pour... J’me comprend... Peur de perdre encore une fois une personne qui m’est chère. Je ne voulais pas faire encore plus souffrir encore plus Vincent. Je me sentais obligé de lui dire tout se qui s’étais passé, mais je ne pouvais tout simplement pas. Je l’ai regarder encore un moment puis je me suis retourner pour regarder tout autour de nous vérifiant qu’il n’était pas là. Pas là pour me faire paniquer encore plus. Pas là pour me faire pleurer de plus belle. Je sentis alors une main me passer dans les cheveux. J’aurais voulu me tasser, mais je ne puis le faire. Ce simple geste fit pratiquement arrêter les larmes de couler. Oui, c’étais la chose que ma mère me faisait pour me réconforter. J’avais beau savoir que se ne pouvais pas être elle, je croyais tout de même que c’était elle. Elle qui était là. Elle qui me réconfortait. Elle qui m’aidait dans cette épreuve. Je suis resté un moment dans ses bras pendant qu’il me jouait dans les cheveux avant de vraiment me rendre compte que c’était lui. Je rougis puis je me suis relevé avec le peu de force qu‘il me restait. J’ai regardé le sol une trentaine de seconde avant de le regarder de nouveau. C’étais la première fois que Vincent faisait quelque chose du genre. J’étais surpris, très surpris. Je dirigeai mon regard vers ma main qui tenait toujours le couteau. Tellement je l’avais tenu fort, j’avais la trace du couteau étamper dans la main.

-... Je te remercie d’être là pour moi...

Avec la pointe du couteau, je traçai les ligne étamper dans ma main sans appuyer sur le couteau et sans émotion. Je ne faisais que regarder la lame faire les lignes. Je ne savais plus comment réagir après se qu’il s’étais passé. Dison que, ce n’était pas tout les jours qu’on me jouait dans les cheveux en m’ayant dans ses bras...

Lorsque Kyle se redressa, j’ai compris au fond de moi que je venais surement de faire une erreur. Une grave erreur. Ayant réalisé le malaise que j’avais installé, par ce simple geste que je voulais réconfortant, je regardai au loin, les joues légèrement rosies. Avais-je dis que je n’en serais jamais désolé? Et bien j’ai menti… Si je pouvais remontrer dans le temps, je le ferais maintenant. Je m.’empêcherais de faire ce geste. Mais bien avant ca j’empêcherais Kyle de se chicaner avec sa mère. Et ensuite, j’empêcherais son père de tuer sa mère. Et je le tuerais lui. Pour éviter qu’il déraille. Pour éviter de Kyle soit triste.

J’avais un étrange sentiment. Mon cœur bâtait fort. J’étais déçu et triste.

-… Je te remercie d’être la pour moi…

Je n’eus même pas la force de sourire en entendant ces mots. En gardant mes yeux rivés vers l’horizon, je lui dis;

-Je suis désolé,… de mon…hm, comportement. J’ai agis sans penser, j’y ai été comme mon cœur me l’a dicté.

M’entendant prononcer les derniers mots je me dépêchai d’ajouter.

-J’déraille…désolé…ça doit être un mélange de tous les sentiments que j’ai vécu depuis ce matin… peu importe Je suis désolée

Oui, désolé. Désolé de ne pas pouvoir t’aider, désolé de ne pas te supporté plus. Désolée de ne pas pouvoir t’aider à ne plus avoir peur. Désole d’être seulement celui que je suis.

Ce simple mec, légèrement nerd, rat de bibliothèque, faible et geek.

Je soupirai en réalisant que je n’étais rien. Rien pour lui. Rien qui puisse l’aider.


-Oui, désolé.

J’étais là, regardant ma main ou plutôt le couteau qui traçait ces lignes. Là à me demander pourquoi il avait fais ça. Au moins, je ne m’inquiétais plus à savoir s’il nous avait suivi. Je revoyais le visage d’ange de ma mère avec ses boucles blonde et ses yeux aussi brun que les miens. C’étais la première fois que je pouvais la revoir dans mes pensée sans me mettre à pleurer. J’l’ai vue, en train de me jouer dans les cheveux comme Vincent l’avait fait. Sans trop savoir pourquoi, mes joues ont rougis de nouveau tandis que mon visage, lui, n’exprimait aucune émotions.

-Je suis désolé,… de mon…hm, comportement. J’ai agis sans penser, j’y ai été comme mon cœur me l’a dicté.

Je l’ai écouté comme toujours, sans émotions et sans être directement touché. J’avais toujours le regard fixer sur ma main où les traces commençaient à s’effacer.

-J’déraille…désolé…ça doit être un mélange de tous les sentiments que j’ai vécu depuis ce matin… peu importe Je suis désolée.

Le visage de ma mère s’effaça soudainement pour laisser place à un noir total. Je me suis fermer les yeux réessayant désespérément revoir le visage de cette ange. Évidement, je ne l’ai point revu. Elle est disparue aussi vite qu’elle est arrivée. J’avais toujours se ‘’mottons’’ dans la gorge qui me faisais vraiment mal mais qui ne voulais pas partir. J’avais beau ne plus avoir de larmes à verser, cela ne voulais pas dire que j’allais bien. Finalement, j’ai entendu murmurer Vincent qu’il était désolé. Je voulais lui dire de ne pas être désolé, mais je n’étais plus capable de produire un seul bruit. Comme si d’une minute à l’autre, j’avais perdu la voix. Je décidai alors de me taire. Me taire pour ne pas dire de conneries et me taire pour ne pas avoir l’air fou. Je suis resté là, assis au sol auprès de Vincent avant de me lever. Je l’ai regardé un moment avant de lui tendre ma main.

-Tu viens...? On va aller... Hum... Je sais pas où...

Je rangeai mon couteau dans ma poche pour être sur de ne pas le perdre en cour de route.

-J’irais bien manger... Tien... Des ramens...

Je le regardais puis, pour la première fois depuis très longtemps, je lui fis un sourire en coin... Rien de très extraordinaire pour quelqu’un de normal quoi?!

J’avais ma main tendu vers lui, attendant qu’il la prenne pour se relever, se qu’il fit quelque seconde plus tard. Son regard s’est aussi tôt illuminé, se que je n’ai pas compris. Je l’ai regarder un moment avant qu’il ne commence à me parler.

-Alors allons manger des ramens! Y’a un resto que tu préfère?

J’ai réfléchis un moment pour trouver dans mon esprit un restaurant que je préférais peut-être mieux mais aucun ne me venu en tête. Ce qui était un peu normal vu le nombre de fois ou j’allais manger à l’extérieur ou simplement que je sortais de chez moi. Je regardai au alentour pour peut-être voir un restaurant qui avait peut-être l’aire plus appétissant mais, il n’y en avais pas dans le coin. Je l’ai regarder d’un regard voulant démontrer qu’il me suive puis je partis en direction de la ‘’zone’’ des restaurant. Évidement, se n’étais pas vraiment loin de où nous étions. Nous avons marchés une quinzaine de minutes avant d’arriver où nous nous dirigions. J’ai regardé les nom des restaurants essayant de trouver le restaurant qui avait le titre le plus accrocheur. Sushi shop.

-On pourrais aller au sushi shop... Ça l’air... Bon? Tu connais?

Je me suis retourné vers lui avec un regard questionneur. Tout en attendant sa réponse, je suis entrer dans ce ‘’restaurant’’ si je puis le dire. Il y avait une variété de sushi pour tous les goûts. Il y en avait autant au fruit qu’au poisson inconnu. Je me retournai pour le regarder, encore et toujours.

-Bon... Que veux-tu manger...?

Je dirigeai mon regard de nouveau sur le menu pour y voir tous se que je pouvais manger. En regardant le menu, je sentis pratiquement une goute de bave couler de ma bouche. Je l’essuyai puis, regardai toujours. Tout avait l’air si bon que je ne pouvais pas me décider. Il y avait quelques trucs qui avaient l’aire... Dison... Pratiquement empoisonner. Le nom pouvait le montrer. J’ai vu alors sur le menu quelque chose appelé ‘’onigiri’’. Mon regard est rester fixer sur se mots. Ça l’avait l’aire plutôt appétissant. Là encore, il y avait plusieurs saveur pour se machin. Je regardai de nouveau Vincent, attendant impuissamment sa réponse.

Quand, de ces yeux profonds, il me demanda de le suivre, je ne me suis pas fait prier. Peu importe où il ira,je le suivrais. Du plus profond des ténèbres au bonheur qu’il pourrait avoir à fréquenter une fille. Tant que je suis a ces côtés, rien ne me manquerait.
On arriva sur une rue, celle que j’appelais la rue des restaurants. Il regarda un peu partout avant de dire.
- On pourrait aller au sushi shop... Ça l’air... Bon? Tu connais?
Il s’est retourné vers moi avec un regard interrogateur. Je me contentai de sourire et de le suivre. Une fois entré, je constatai que j’aimais bien l’endroit. Blanc et bleu. C’était un endroit calme, comme je les adore. Je me demandai si il le savait que j’aimerais cet endroit, ou si il l’avait choisi au hasard, n’aimant que le fait qu’il y ait Sushi dans le nom. Il me regarda de nouveau.
- Bon... Que veux-tu manger...?
Mon regard suivi le sien qui était pari rejoindre le menu. Je regardai tout les noms. Je ne savais pas quoi choisir.
- La même chose que toi…
Je souri bêtement et me retourna vers l’aquarium plutôt gros. Je regardai les poissons. J’ai ris dans ma tête envoyant deux poisson a part des autres. L’un qui suivait l’autre. Une image qui m’a faite penser à nous. J’ai glissé mon regard vers Kyle quelque secondes avant de retourner aux poissons, J’entendis la voix de Kyle, croyant qu’il avait commandé je le regardai.
- Alors ta choisi quoi?

Après lui avoir demandé se qu’il allait manger, avec l’intention de prendre la même chose que lui, il me devança.

-La même chose que toi…

Dans ma tête, je me suis dit qu’il n’avait pas le droit de prendre la même chose que moi puisque je voulais faire de même. J’ai donc décidé de continuer de lire le menu. Mon regard était toujours attirer vers les ‘’origini’’. J’ai donc décidé de regarder les sortes qu’il y avait. Il y en avait aux choux rouges, aux poissons, et autre chose qui avaient l’aire plus ou moins appétissant. J’ai hésité un moment ne sachant pas qu’elle sorte prendre. J’ai décidé alors de prendre celui aux choux rouge et aux épices divers. Je me suis retourné vers Vincent pour lui proposer mon choix. Celui-ci avait le regard fixé sur l’aquarium plutôt grand. Étrangement, je ne l’avais pas vu en entrant.

-V…
- Alors ta choisi quoi?

Je n’ai pas eu le temps de dire son nom qu’il s’était déjà tourné pour me demander se que j’avais choisi. J’avoue, j’ai un peu sursauté. Je ne m’attendais pas qu’il se retourne aussi vite.

-J’pensais prendre un ‘’origini’’ au choux rouge… Ça l’aire pas si pire que ça…

Je sortis mon porte feuille en me dirigeant vers la caisse. Je sortit acer d’argent pour en payer deux, un pour moi et un pour Vincent. Je n’ai même pas attendu qu’il me dise s’il en voulait un ou pas ou s’il voulait payer le sien ou pas. J’ai juste sortis l’argent dont j’avais besoin pour moi et lui. La dame à la caisse me donna ma commande et je me retournai vers Vincent.

-Tu viens, on va allés s’assoir. J’ai le repas.

Je me dirigeai vers une des tables qui était libre. Je me suis assis puis j’ai tendu la boite destiné à Vincent vers lui. J’ai finalement ouvert ma boite et commença à manger ce superbe Origini. C’était la chose la meilleur que j’ais jamais mangé. Mais, mon visage qui était figé depuis ce jour-là, m’empêcha de le démontrer d’avantage. J’ai simplement fait un bruit de ’’hummmm’’ comme les gens le faisaient pour dire qu’il aimait quelque chose. Je l’ai engloutit en quelque minutes. Je voulais aller m’en chercher un autre.

-T’en veux un autre?

J’attendis sa réponse impatiemment ayant hâte d’aller m’en chercher un autre.

Lorsque j’ai proposé un autre Onigiri à Vincent, il s’est mit “a rire. Rire de quoi? Ça je ne le sais pas. Je l’ai regardé d’un regard questionneur mais, je crois qu’il ne la pas vu. Ensuite, il s’est levé pour aller en chercher un autre. J’étais content. Content de pouvoir encore mangé l’une de ces merveilles culinaires. Qui ne peut pas aimer une chose pareille? Peut-être ceux qui n’aime pas les algues ou encore ceux qui n’aime rien à rien ou encore, simplement quelqu’un qui n’as plus le sens du gouter... Ça reste à voir… Faudrait faire le test un jour… Par après, juste un peu avant que Vincent ne revienne à la table, j’ai remarqué que j’avais un peu de riz autour de la bouche. Je me suis dépêché à l’enlever. On aurait dit que je ne savais pas manger. Il y avait quelques Grains de riz qui étaient tombé sur la table. J’ai prit ma manche puis je les aie poussé sur le sol. Il est finalement revu avec deux autres boîtes.

-Voila ( :

Il m’en donna une que je m’empresser d’ouvrir. Je n’étais pas affamer, mais j’en avais l’aire. J’ouvris la boîte puis commençai à manger l’onigiri qui y était. Je le regardai un moment puis, je commençai à manger moins vite me disant que le monde devait me trouver acer étrange. Bon, je me foutais un peu du monde mai, je l’ai fait pour ne pas mettre la honte à mon cher ami. Je me suis dit aussi que si je ne mangeais pas trop vite, je n’allais pas avoir du riz un peu partout. Je me retournai pour regarder les poissons, me demandant pourquoi Vincent les regardaient quelques minutes avant. Il y en avait de toute sorte, des bleus, des vert, des jaune, des gros, des petits, des solitaire et des populaire. Comme une école quoi. Il y en avait un qui, je trouve, était particulièrement joli. Il était beau, tellement beau. C’était le poisson le plus coloré. Je me suis demandé un moment s’il allait eux aussi servir de repas pour quelqu’un. Tout comme quand on va à l’épicerie dans la section des poissons. Il y a des homards vivant que les gens achètent pour les manger. Mais bon… Que voulez-vous… Il allait peut-être être mangé… C’est la vie… Après avoir malheureusement fini cette chose si bonne, je me lever de la chaise ou j’étais assis.

-Bon… Qu’est-ce qu’on fait maintenant?

Je me dirigeai vers l’extérieur tout en regardant une dernière fois ce joli poisson et en attendant la réponse de Vincent.

-Bon qu’est-ce qu’on fait maintenant?
Je me suis diriger vers la porte et je regardai ma montre elle indiquait 11h07.
-Et bien, tu choisis, si on retourne à l’école. Si tu veux retourner je vais aller chercher nos choses qu’on a laissées en classe
Et mon livre. Celui que j’ai lancé pour venir te rejoindre.
-Sinon on trouvera quelque chose à faire…
J’étais certain qu’on allait se coller… une colle. Si on y retournait. J’espérais seulement que Kyle réaliserais que ce n’étais pas son père ou qu’il le reconnaissait parfaitement. Et que je le tue. Simplement. Mais je ne veux plus revoir Kyle dans cet état la. Il avait si peur. Et je n’ai pu rien faire.
Je repensai à une discussion que j’avais eue, plus jeune, avec mes parents. Nous étions à table et ma mère remarqua que je semblais plutôt joyeux. Elle en fut étonnée puisque ce matin là elle m’avais vu à l’hôpital avec Kyle et j’étais très triste. Elle me demanda d’où venait cette joie. Je lui répondis Parce que j’ai un but. Mon père était fier de moi, mais son sourire se crispa un peu et disparu légèrement quand je lui ai dit que mon but c’était de protéger Kyle. Il m’a seulement dit :
-Bien,si tu as un but atteint-le.
J’avais ajouté que je resterais toujours aux cotés de Kyle. Je l’ai toujours fait. Du mieux que j’ai pu. Mes parents on sourit et tout les deux m’ont embrassé les cheveux.

Je repensais aux divers poissons que j’avais vu, en me disant qu’un jour ils allaient tous être mangé par une personne. Peut-être comme moi ou comme cette dame que je regardait marché. Mon esprit s’était perdu en attendant la réponse de Vincent, mais je suis revenu à moi même quand il m’a répondu.
-Et bien, tu choisis, si on retourne à l’école. Si tu veux retourner je vais aller chercher nos choses qu’on a laissées en classe.
Dès que j’ai entendu le mot ‘’école’’, mes yeux se sont agrandi, revoyant la scène de tout à l’heure. Ma main c’est immédiatement dirigée vers la poche droite de mon pantalon, voulant prendre le couteau qui reposait dans celle-ci. Tout en laissant ma main dans la poche, j’ai serré le couteau un moment avant de laisser le couteau retomber dans la poche. Il a ensuite proposer d’aller chercher nos choses qui étaient resté en classe. Mon cœur à commencé à battre la chamade, repensant que cet ignoble personnage serait surement encore en classe. Repensant à se qu’il s’attaque à Vincent pour simplement me faire plus souffrir que je ne souffre déjà. Retenant à nouveau les larmes de couler, il ajouta quelque chose.
-Sinon on trouvera quelque chose à faire…
Mes yeux ont alors repris grandeur normal et mon cœur commença à ralentir le rythme qui était beaucoup plus rapide un instant avant. J’ai pris un moment pour ne pas avoir cette voix étrangler par la peur. J’ai pris se temps pour essayer de chercher quelque chose que nous pourrions faire. Mes yeux brun se sont dirigé vers le sol, celui que je regardais toujours. Le sol me démontrait que j’étais toujours là et non plus haut dans le ciel. J’ai alors pensé que je pourrais demander à quelqu’un de la classe d’aller chercher nos choses, mais j’étais sur qu’il n’allait pas vouloir lui donner. Ensuite, je me suis dit qu’il pourrait peut-être s’attaquer à cette autre personne. J’ai alors cherché autre choses que nous pourrions faire. Je n’avais pas vraiment d’idée et je savais que Vincent devait avoir hâte de pouvoir se replonger dans son livre ou d’avoir une réponse de ma part.
-Nous pourrions peut-être aller au parc... Mais bon... On peut faire autre chose aussi. Je sais que tu dois avoir hâte de lire ton livre... Mais... J’ai pas très envi d’aller là bas...
J’ai relevé la tête puis le regarda d’un regard désolé pendant un moment. J’aurais bien voulu aller à l’école, mais j’avais encore la peur de voir que se soit vraiment lui. Peur de le voir pointer son arme en ma direction ou encore en direction de Vincent. Ensuite, j’ai baissé honteusement la tête. Je m’en voulais d’impliquer Vincent. De l’avoir toujours impliqué en fait.

Mes yeux exposèrent une exclamation extrême lorsque j’entendis ces paroles. J’ai répondu du tac au tac. Sans réfléchir à ce que j’allais dire.
- Mon livre il est moins important que toi. Il n’a qu’à rester où il est!
Ma bouche est restée ouverte un moment avant que je ne la ferme. Oui, je venais de poser ces mots. J’hésitais à la rouvrir, de peur de dire encore quelque chose du genre. Mais son regard désolé m’y obligea.
- Ce n’est pas grave Kyle.
J’ai posé ma main sur son épaule après qu’il ai baissé la tête. Cette image de lui me donnait l’impression de ne pas accomplir cette promesse. Et je détestais penser que je ne l’effectuais pas.
- Je comprends que tu n’aille pas envie d’y aller.
Je ne pouvais pas vraiment, parfaitement comprendre. Mais j’essayais du mieux que je pouvais. Je lui fis un sourire que je voulais réconfortant.
- Allons au parc, si c’est ce que tu veux.
Combien de fois ai-je répété cette phrase? Ce petit : ‘’ Si c’est ce que tu veux’’. Ca sonnait comme si… j’étais à sa demande. Mais c’était mon choix…
C’était idiot penser à ça.
Je croyais me rappeler qu’il y avait un parc pas très loin d’ici et donc entrepris d’ouvrir la marche.
- Tu sais… je suis désolé de te faire penser à cette journée là. Mais tu sais, le jour où tu étais à l’hôpital, le jour où… enfin tu sais. Quand je suis revenu chez moi, j’avais pris des décisions, ou plutôt, je me suis faite une promesse. Mon père m’a dis, si tu as un but, atteints-le. Ce jour-là, je me suis juré … de… ne plus te voir… dans l’état dans lequel tu étais. J’ai juré d’être toujours à tes côtés, de te protéger…
J’ai pris une pause.
- Pourtant… même si je reste à tes côtés, oh et j’en suis énormément heureux, je suis bien avec toi, mais j’ai l’impression que… que je ne t’aide pas vraiment… Et j’m’en veux…

J'ai baisser la tête...

Je lui ais dis se que j’avais à dire. En fait, se que je pensais. Je n’avais pas vraiment la capacité à penser aux choses que j’allais dire. Cette expression que l’on dit : «Tourne ta langue sept fois avant de parler», je ne la connais pas. En fait, je la connais comme n’importe qui mais, je ne suis pas capable de la respecter. Et bien, pour une fois, j’ai remarquer que Vincent, lui qui pense deux fois plutôt qu’une à se qu’il va dire, ne la pas appliquer cette fois-ci.
- Mon livre il est moins important que toi. Il n’a qu’à rester où il est!
Je l’ai vu dans sa façon dont il est rester un moment. La bouche entrouverte un moment, puis fermer d’une seconde à l’autre. Malgré tout, je le regardais de ce regard désoler. J’était sure qu’il voulait tout de même lire son livre. En fait, il en avait toujours un. Depuis un moment, il lisait sans arrêt. Mais, je n’avais pas vraiment le droit de nommer ses défauts puisque j’étais cents fois pire. Lui, il avait beau lire, moi j’ai toujours mon iPod sur les oreilles. Je peux comprendre qu’il veuille lui aussi faire quelque chose lorsque je me renferme. Il s’est écouler un moment avant qu’il reparle pratiquement seul. J’avais beau l’écouter, je ne parlais pas ou pratiquement.
- Ce n’est pas grave Kyle.
J’ai baissé la tête honteusement lorsqu’il a prononcé ces mots. Il me disait que se n’était pas grave... Voir que se n’était pas grave. Mais non, je te laisse parler dans le beure et je t’empêche de faire les choses que tu aimes, mais c’est pas grave. J’avais de la misère à me dire que pour lui, qu’il parle seul, que je ne lui parle jamais, ne sois pas grave. J’ai alors sentis quelque chose se déposer sur mon épaule. Cette même chose qu’il y a un moment sur le banc, lorsque je n’étais plus vraiment moi même. Je voulais m’assurer que se soit bien lui mais, je n’avais pas envie. Je l’ai laissé pour une fois essayer de me réconforter.
- Je comprends que tu n’aille pas envie d’y aller.Il avait toujours cette voix. Une voix douce, tout le contraire de moi. Il ne voulait pas m’offenser ou dire des choses qui pourrais me blesser. Il pesait chaque phrases, chaque paroles. Il avait beau avoir peser chaque mots, je savais malheureusement qu’il ne pouvait pas comprendre le pourquoi j’avais peur. Il devrait avoir une idée, mais il ne savait pas les mots qui résonnaient chaque jour, chaque minute, chaque seconde, ces paroles que ce monstre m’avait dit. Peut-être qu’un jour il le sera, mais j’en doute. Se n’est pas que je n’y i jamais pensé, au contraire, mais plutôt que je ne voulais pas qu’il le sache. Qu’il sache que je lui cache ces mots depuis ce jour là.
- Allons au parc, si c’est ce que tu veux.
Je me suis retourné pour voir son visage. Ce sourire, je l’aimais beaucoup. Il était pure et il voulait tout dire. J’ai toujours trouver que son sourire me parlait, qu’il me disait : «Bon, regarde se que je fais pour toi, je souris. Fais moi confiance.» Il se mit à marcher en direction d’un parc non loin d’ici. Je le suivi, me disant qu’il savait où il allait. Me rappelant toutes les choses qu’il laisse tomber juste pour que je puisse me sentir mieux. Toutes les choses qu’ils à changer pour moi, voyant que je n’étais pas alaise avec.
- Tu sais… je suis désolé de te faire penser à cette journée là. Mais tu sais, le jour où tu étais à l’hôpital, le jour où… enfin tu sais. Quand je suis revenu chez moi, j’avais pris des décisions, ou plutôt, je me suis faite une promesse. Mon père m’a dis, si tu as un but, atteints-le. Ce jour-là, je me suis juré … de… ne plus te voir… dans l’état dans lequel tu étais. J’ai juré d’être toujours à tes côtés, de te protéger…
À ses mots, je ne savais plus comment réagir. Mon cœur recommença à battre un peu plus rapidement et à se serrer. Mes mains commencèrent à trembler pour aucune raison apparente. En fait, si, elles tremblaient probablement à cause de se souvenir douloureux. Ma gorge, elle, devenait de plus en plus douloureuse. Je retenu, encore une fois, les larmes de couler. J’avais beau revoir cette scène pratiquement chaque jour, j’avais toujours se goût amer qui se faisait sentir. J’avais mal compris la suite. Tous se que j’avais compris, et se, si j’avais vraiment bien entendu, il avait promis à son père qu’il allait me protéger. J’ai voulu dire un mot, le mot qui décrivait les ‘’gay’’. Oui, j’ai voulu le traiter de fife. Lorsque j’allais prononcer ces mots, ma gorge était tellement douloureuse qu’aucun mot pu en sortir. Il continua alors la discutions seul.
- Pourtant… même si je reste à tes côtés, oh et j’en suis énormément heureux, je suis bien avec toi, mais j’ai l’impression que… que je ne t’aide pas vraiment… Et j’m’en veux…
Lui, il s’en voulait de ne pas m’aider et moi de ne pas pouvoir prononcer se mot qui hantait mon esprit. C’est alors que j’ai repensé à la scène dans la parc, lorsqu’il m’a prit dans ses bras. J’ai alors arrêter de marcher. Mon cœur recommença à battre normalement, ma gorge, se desserrer les paroles me monter à la tête. Je me suis mis à rire plutôt diaboliquement. Non, plus ‘’méchamment’’. Un sourire c’est alors afficher à mon visage. Se n’était peut-être pas le sourire que je recherchais à réapprendre, mais j’avais réussis à en faire. Je l’ai regarder un moment en riant puis, mon regard est devenu plus en dégout. Il me levait le cœur.
-Alors... Maintenant, t’es fife!? Étrange non?! La scène, je sais pourquoi tu as fais ça dans le parc maintenant. Ark... Tu me dégoute. Tu es tellement, pas normal. Comment peux-tu être comme ça!? Dégage de ma vue!Je recommençai à rire sous le regard interrogateur des passants. Je me suis retournai puis je courus jusqu’au parc où le saule de mes rêves y était. Je me suis assis puis j’ai repris ma respiration. J’avais se sourire en coin qui partait de plus en plus. Ce rire qui s’estompait lui aussi puis les larmes qui commencèrent à couler. J’avais les jambes replier sur le torse en position de petit bonhomme, la tête dans les mains. La scène du parc continuais puis ensuite, lorsque je l’ai engueuler. L’une après l’autre, elle repassait. Mes larmes coulaient de plus en plus, me demandant se que je venais de faire.

J’étais là, assis au pied de l’arbre. Tandis que mes rires et mon sourire diaboliques disparaissaient, les larmes se sont misent à couler. J’étais recroqueviller sur moi-même, tout comme ce jour-là, à pleurer comme une madeleine sans me soucier de personne. J’avais honte. Honte de la manière d’on j’avais agis, de comment je lui avais parlé. Pourquoi j’avais agis ainsi? Pourquoi l’avais-je insulté? J’avais agis comme se monstre que j’avais eu comme père. Ses deux scènes revenaient sans arrêt. J’avais beau vouloir les quitter mais j’en étais incapable.

Un moment après, j’entendis quelqu’un me parler, plus précisément, celle d’une femme. Sa voix était douce et chaleureuse. Je la connaissais que trop bien. Cette voix que je n’avais pas entendu depuis 5 ans. Cette voix qui appartenait à cette femme, ma mère. C’était tellement réaliste que j’en avais peur. Je voulais que cette voix disparaisse même si je voulais tellement l’entendre avant. Je savais qu’elle n’était plus là mais je l’entendait tellement bien que ça faisait peur. Mon corps s’est crisper en entier, puis, un moment après, cette voix commença à disparaitre pour laisser place à ce souvenir amer. Cette journée ou Vincent m’avait prouvé à quel point il serait là peu importe les circonstances. Lorsque le policier était sortit de la chambre me laissant seul dans mon lit, je me rappelle que j’étais recroqueviller sur moi-même en pleurant sans arrêt. Je suis rester un moment ainsi avant de le voir au côté du lit, me regardant tristement. Je me rappelle qu’à se moment là, j’ai pris en vitesse son bras puis le sera contre moi. Il n’avait tout simplement pas réagit. Je suis rester ainsi un moment, le moment que je calme un peu. Finalement, j’ai lâché son bras puis je me suis assis sur le lit. Quelques larmes avaient laissés leur trace sur mes joue. Je l’ai regardé un moment avant de le remercier d’être venu pour moi. Suivi de se souvenir douloureux mais à la fois chaleureux, la voix à redit quelques fois mon nom avant de dire celui de Vincent. Cette voix est finalement partit tout en me laissant sur le choc.

Je me demandais ce que ça voulait dire les larmes coulant toujours sur mes joues. Celle-ci partaient petit à petit. Je me suis demander un moment se que j’allais faire. Devais-je rester ici ou aller le voir. Aller lui dire que je n’avais pas voulu dire ses mots. Lui dire que je ne voulais pas qu’il parte, mais allait-il vraiment revenir après ces mots plutôt blessant. Je lui avais dit tant de choses méchantes. Je suis resté un moment, pensant à se que j’allais faire. Les jambes replé sur le torse, la tête sur les genoux, les yeux fermé, je me suis assoupit.

* *
*
J’étais `là, au pied de l’arbre, recroquevillé sur moi-même les yeux fermés, J’entendais une voix, cette voix douce qu’était celle de ma mère. J’ai relevé la tête avec difficulté, puis, ouvrit lentement les yeux. Je vis alors un visage flou. J’ai frotté mes yeux avec mes poing, puis, aperçu finalement un visage. J’eux peur en voyant le visage de Vincent plutôt que celui de ma mère. Il me regardait avec son sourire d’ange, celui que je préférais à tous ses sourires. Se sourire remplie d’innocences, celui qui dit: «Mais non... Tout va bien!» Ou encore: «Regarde! Je sourit». Je le regardais, intrigué de ne plus entendre la voix de cette femme. C’est alors que Vincent prononça mon nom avec la voix de ma mère. Mes yeux se sont agrandis, puis, le décor changea. Je le revoyait me jouer dans les cheveux et, juste à côté, je revoyais ma mère faire de même lors d’une quelconque blessure. Le décor changea encore pour laisser place à Vincent qui me prenait sans ses bras d’un côté, puis ma mère qui me prenant dans ses bras de l’autre. Je frottai mes yeux pensant que je me réveillerais, mais en vain. Nous sommes alors revenus au premier décor. Je regardais Vincent avec cette chaleur au cœur.
-Tu comprend désormais!?
Une larme à roulé sur ma joue, puis j’ai regardé Vincent un moment. J’étais enfin heureux, une chose qui n’étais pas arrivé depuis 5 longues années. J’ai alors tendu mon bras pour atteindre Vincent mais celui-ci se volatilisa lorsque je parvins à le frôler. Le décor fit de même pour me laisser seul dans le noir, le bras tendu devant moi.

* *
*

Mes yeux se sont finalement ouvert. J’était agenouillé, le bras devant moi et une larme pratiquement sèche sur la joue. J’ai baissé mon bras en me remémorant ce rêve. Je voulu courir aller rejoindre Vincent, mais je me rappelai alors de la dernière chose que je lui avais dit. J,ai alors regardé l’heure, bien décidé d’aller le rejoindre le plus rapidement possible. Il était vers les 3 heures. Il était trop tard pour que je puisse allé le rejoindre à l’école. Je perdis espoir pendant quelques secondes avant de me dire que je savais où il habitait. Je me suis levé, puis, je me suis dirigé vers la maison de Vincent. Je marchai d’un pas rapide jusqu’à sa maison. Quelques minutes plus tard, je suis arrivé à destination et perdis le courage de frapper à sa porte. Mon courage s’était envolé de peur qu’il ouvre la porte, me regarde et la referme aussitôt. Je suis resté une moment devant sa porte avant de reprendre mon courage à deux mains. J’ai levé mon bras et cognai à sa porte. J’attendis qu’on vienne m’ouvrir. Lorsque la porte s’est ouverte, je n’ais tout simplement pas regarder qui l’avait ouverte et je perdis le contrôle.
-MAMAN!!?? <3
J’ai fais un petit sourire puis ouvrit les yeux.

Lorsque je vis qui était à la porte, je rougis de gène. Mon sourire disparaissait en même temps que mes joues se coloraient. Elle me fit alors un sourire qui ressemblait énormément à celui de Vincent. Évidement, s’était sa mère, mais j’aimais quand même voir se sourire.
-Bonjour Kyle. Tu es venu voir Vincent je suppose? Il n’avait pas l’air très bien quand il est rentré. Il s’est tout de suite enfermé dans sa chambre. Je ne comprends pas. Est-ce qu’il s’est passé quelque chose? Enfin, je te fais confiance mon grand. Il est dans sa chambre. Je suis certaine qu’il va être heureux de te voir.
Elle me fit entrer tandis que je me rappelais se qui s’était produit quelques heures avant. Après m’avoir dis se mini discourt digne d’une mère, elle petit un peu plus loin dans la maison, me laissant seul dans l’entré. Je me suis alors dit qu’il serait peut-être préférable que je parte en le laissant seul, mais, en même temps, j’étais sure que ça mère serait du genre à dire: «EH! Mon chéri! Comment ça s’est passé avec Kyle?!» Il était alors imprudent de partir sans allé le voir. Je ne savais tout de même pas quoi faire: Disparaitre ou rester. Et si je restais, comment Vincent réagirait-il? S’il savait que j’était venu mais aller le voire, il m’en voudrait surement. J’ai regarder un moment au alentour, puis fit un pas hésitant vers la chambre de Vincent. Toujours en me demandant comment il allait réagir, j’ai fait un deuxième pas encore plus hésitant. Je me suis arrêté un moment me demandant se que j’allais dire. Je reculai d’un pas.
‘’Aller, fait pas le timide! Vas-y! Qu’est-ce que tu attends?!’’
Je crispai les points puis marcha toujours lentement mais beaucoup plus assurément jusqu’à destination. Je regardai la porte pendant un moment, ne sachant toujours pas se que j’allais dire, comment il allait réagir et si je ne devais pas fuir. Je posais ma main sur la poigner, toujours hésitant à l’idée d’entrer. Je pris mon autres mains pour finalement cogner timidement à sa porte. J’ouvrit la porte petit à petit, toujours près à fuir. Je laissai un filet de lumière entrer dans la chambre.
-Hum... C’est moi... J’peux entrer...?!
Je fermai les yeux puis rebaissa ma main avec laquelle j’avais cogné la porte. Je rouvrit les yeux après un moment, puis, décida d’entrer pour de bon. Il était là, coucher sur son lit avec un oreiller sur le visage. Je l’ai regardé, ne sachant plus du tout quoi faire. J’étais dans l’entrée de sa chambre, attendant qu’il se relève, qu’il m’engueule, qu’il me demande de sortir. Je m’attendais à la pire des réactions. Ne parlant pas souvent, je ne savais plus quoi dire. Pour la première fois, se n’étais pas moi qui était plus déprimer, mais lui. J’ai essayer de faire un peu comme lui: dire les mots qui l’apaiserais, mais je n’avais pas les mots. Je fis de mon mieux.
-S’cuze pour tantôt... J’ai... Perdu le contrôle... Je ne voulais pas dire ça...
Une larme à roulé sur ma joue. Je l’ai essuyé en faisant le moins de bruit possible.
-Ça me dérange pas que tu sois... Tu vois... Mais... J’aimerais vraiment te garder comme ami... Tu es le seul en qui j’ai confiance... J’veux pas te perdre.
]Je détournai mon regard puis rougit. Je n’étais habitué à faire se genre de chose. J’ai vu un chaise et me suis assis dessus. Je regardai le sol, attendant peut-être un petit mots de sa part.

Je relevai la tête lorsque j’entendis un bruit venant de la direction de Vincent. Il avait des larmes plein les yeux, l’une des seuls fois que je l’ai vue ainsi. Je savais que se que j’avais dis l’avais surement blesser mais j’en étais complètement désolé. Je n’ai jamais voulu agir ainsi. Je ne savais même pas pourquoi j’avais dis ses mots blessant. Il me regardait tout autant que moi je le regardais. Nous avions l’aire de deux personnes identique malgré les quelques différences.
-Malgré tout, tu l’as dis… Tu l’as pensé à cet instant. Te dire que je ne t’en veux pas serais mentir. Mais je m’en veux encore plus. Je n’aurais jamais du te le dire. C’est vrai… Ce n’était pas le moment. J’ai été idiot…
Mon cœur c’est serré tandis que quelques larmes se sont jetés sur mes joues. Je l’ai regarder attentivement, le regard remplis de regret. Il cacha finalement son visage dans ses mains. J’ai détourné le regard pour fixer le plancher de bois. Les mots que j’avais prononcé résonnaient sans cesse dans ma tête. Je ne pu empêcher une fois de lus les larmes de coulé. J’avais mal. Comment lui dire que je n’avais pas voulu dire ses mots. Je ne l’ai avais pas pensé. Dans un sens, se n’étais pas moi qui les avaient prononcés.
-Et puis, ça ne te dérange pas que je sois gay… que fais-tu du fait que…. Que tu sois le seul gars que je côtoie…?!
Mon cœur s’arrêta un instant. Je relevé la tête un peu surpris. Une autre larmes roula sur ma joue. J’étais contrarier. Je ne savais pas quoi. Oui, je n’étais pas spécialement à l’aise avec la situation mais comment pouvait-il pensé que je ne serais plus ami avec lui à cause de ça? Ah... Oui... C’est vrai... À cause de moi... Mon regard changea tristement tandis que lui fermait les yeux. Je le regardais toujours, cherchant les futur mots que j’allais peut-être dire un jour.
-... Ça me dérange pas que je sois le seul... Je vais vivre avec... Comme je vais vivre avec le fais que tu m’en veux... Je peux comprendre... Je sais que j’ai beau dire que ses mots n’étaient vraiment pas voulu, je sais que tu ne peux pas vraiment le croire. Je m’excuse vraiment... Et si... Si seulement un jour... Je revenais à dire des choses du genre qui te blesseraient... Sache que se ne sera pas vraiment moi qui les dira...
Je me suis levé de la chaise tout en essuyant l’une des dernière larmes roulant sur mes joues, puis, resta debout au milieu de se chambre en le regardant. Je suis resté ainsi un moment, puis, me retourna pour finalement prendre la porte de sa chambre. Je me suis arrêté devant la porte.
-Si tu ne me pardonne pas, je vais faire avec aussi.
Une dernière larme indiscrète roula sur ma joue avant que je ne prenne la poigné, bien décidé à partir pour le laisser seul. Finalement, j’étais venu en oubliant le point que je voulais vérifié, mais, me disant que j’allais pouvoir le vérifié plus tard, j’ai ouvert la porte.