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 Kei

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MessageSujet: Kei   Kei Icon_minitimeMar 15 Juin - 16:43

Kei Fnjhbskjhv651-1

    /|1.|RENSEIGNEMENT GÉNÉRAUX\
    |Nom: Kervan
    |Prénom: Keita
    |Âge: 12 ans
    |Sexe: Masculin
    |Orientation sexuelle: Homosexuel
    |Date de Naissance: 21 janvier
    |Origine: Japonaise et Irlandaise (Irlande du Nord)

    /|2.|DEscriptIONS\
    >Description psychologique: Étant atteint de MPD, soit ‘Multiple personality disorder’, il va sans dire que son caractère change parfois du tout au tout. Si la plupart du temps, cela est centré sur un seul grand axe, il arrive que ses autres ‘personnalités’ émergent, agissant alors de leur propre volonté.


    The First One

    La première, que l’on voit le plus souvent, est celle de ‘Keita’, ou Kei. Celui qu’il serait en tout temps s’il ne se faisait pas parfois envahir par ses autres personnalités. D’un naturel calme, réservé, rêveur, il fuit la compagnie des autres, par peur, de même que par manque d’envie de les connaître. Souvent dans son monde intérieur, dans sa ‘bulle’, il préfère la solitude, et n’aime pas tenir de longs discours. Évitant les contacts directs, que ce soit physiquement, par les paroles ou simplement par le fait de regarder quelqu’un dans les yeux, il donne souvent l’impression d’être ‘ailleurs’, en marge du monde, comme déphasé, ne se rendant pas compte de se qui se passe autour de lui. Détestant les conflits, il n’aime pas non plus les gens violents, trop agités ou qui se prennent pour quelqu’un d’autre.

    Il ne fait non plus jamais vraiment confiance aux gens; on ne savait jamais quand ils pourraient nous trahir, et dans le doute, il vaut mieux s’abstenir. Comme une armure, existant dans le seul but de le protéger du monde extérieur et des gens qui l’entourent. Renfermé sur lui même, il ne s’ouvre pratiquement jamais; presque toujours triste, mélancolique, ce n’est pas quelqu’un de particulièrement attaché à la vie; il continu, tout simplement.


    The mysterious reflection

    La seconde, que l’on voit plus rarement, se surnomme elle-même ‘Kagami’; elle se voit comme le double de Kei, et cherche par tous les moyens à protéger son hôte de tout ce qui pourraient le blesser, et principalement des gens qui souhaiteraient se rapprocher de lui. Mystérieux, cynique, moqueur, il parle souvent par énigme, ou de manière trouble, presque incompréhensible, comme s’il ne voulait jamais vraiment être totalement comprit par les autres. Sûr de lui, il aime tester les limites des gens, les énerver pour son propre plaisir; un esprit follet, souvent énervant et insaisissable, qui aime jouer avec les gens.

    Son but premier est d’empêcher quiconque de faire du mal à Keita, quitte à les faire fuir s’il le faut; calculateur et manipulateur, il ne recule devant aucun coup bas pour s’assurer de faire son ’travail’ comme il faut. Ressemblant parfois à un enfant ayant grandit trop vite, il est souvent imprévisible, pouvant agir de façon totalement immature un instant, avant de vous fixer de son regard qui semble avoir vu trop de chose, un sourire calme, mystérieux, peint sur les lèvres.


    The Devil Child


    La dernière, ’Kusari’, est sans aucun doute la plus violente de toutes; ne suivant aucunes règles, il a une vue étrange, tronquée du bien et du mal. Il n’apparaît que peu souvent, mais laisse toujours sa marque lorsqu’il le fait. Cruel, blesser les gens, psychologiquement et physiquement, est pour lui un passe-temps, un moyen de s’amuser. Fonctionnant selon un principe très primaire, à savoir ‘je veux tout, tout de suite et maintenant‘, il fait ce qui lui plaît, et tant pis pour les dommages collatéraux. La mort ne lui fait pas peur; tuer des gens? Pourquoi pas? Si cela peut-être utile à Keita, il le fera sans se poser de question. Parce que si c’est bon pour son hôte, c’est que c’est la chose à faire, par vrai?

    La destruction et le chaos sont ses mots d’ordres. Parce qu’il ne sait pas faire autrement, et que, pour lui, ce n’est pas mal, seulement nécessaire. Et les autres? Tant pis; il les détestes. Tous, sans exception; s’ils pouvaient tous crever, il n’en serait que plus heureux. Un sourire sadique, méchant ornant souvent ses lèvres, il ne rit que d’un rire effrayant, froid, chantonnant souvent une comptine pour enfant, une lueur presque folle dans le regard.

    ~ Promenons-nous dans les bois
    Pendant que le loup n’y est pas

    Loup, y est-tu?
    Oui...

    Que fais-tu?
    J’arrive... tu ne m’entend pas?

    Oú es-tu?
    Juste ici... ne me vois-tu pas?

    Trop tard...
    Je suis là... ~




    >Goûts: La tranquillité, la solitude; il n’aime pas être dérangé lorsqu’il réfléchit. Il aime aussi beaucoup dormir, ayant l’habitude de le faire dans les moments et les endroits les plus incongrus. Il aime bien dessiner, se perdre dans ses pensées. Il déteste le froid, et devoir rester seul chez lui.


    >Descriptions physique: Un corps fin, délicat, voir fragile même, quand on le regarde, on a souvent l’impression de voir un enfant. Petit, plus que la moyenne, il passe facilement inaperçu, chose dont il profite pour éviter les gens. Sa peau, pâle, semble presque blanche, contrastant avec la couleur de ses cheveux. Ces derniers, mi court, d’un noir corbeau, possédant souvent des reflets bleutés sous plusieurs éclairages, sont habituellement ébouriffés, partant dans tous les sens, accentuant ainsi son air de gamin. Ses mèches rebelles, encadrant son visage enfantin, innocent, cachent ses yeux à la vue des autres, des yeux sombres, d’un bleu foncé, presque noir, qui dégagent un expression de tristesse et de mélancolie, pour ceux étant capable de les déchiffrer.

    S’habillant de couleurs sobres, telles que le noir, le blanc ou le bleu foncé, il ne cherche pas à attirer l’attention avec ses vêtements. Il ne porte que des vêtements simples, et toujours longs; premièrement parce qu’il déteste le froid, et deuxièmement, parce qu’il veut cacher les nombreuses cicatrices, la plupart assez vielles, qui marquent sa peau.



    /|3.|HISTOIRE\


    Keita, The beggining

    Parce que tout le monde a une histoire, et que celle-ci doit bien commencer quelque part. Et que la sienne débuta ainsi. Une rencontre, tout simplement. Entre un homme et une femme; deux personnes, deux pays, deux univers différents. Destinés l’un a l’autre? Peut-être. Ou peut-être pas; l’avenir ne nous le laissa jamais vraiment savoir.

    Sa mère, une japonaise originaire du pays du soleil levant; son père, un homme venant d’Irlande du Nord. Tombant amoureux sur le coup, ils commencèrent à se fréquenter, avant de partir, ensemble, en Irlande. Pour commencer une autre vie.

    Puis un enfant. Oh, pas lui, assurément. Pas encore, pas maintenant. Akira, son frère, celui qui, plus tard, allait être, dans un sens, la seule personne sur laquelle il pourrait véritablement compter. Ou presque; car, après tout, on ne peut toujours compter que sur soi-même. Une loi de la vie, que plusieurs on tendance à oublier.

    Et neuf ans passèrent. Et il naquit, à son tour, lors d’une froide journée d’hiver. Une vie venait de naître, une autre venait de s’éteindre; comme ça, tout simplement. Si facilement... Il était venu au monde, et sa mère, elle, l’avait quitté. Ce sont des choses qui arrivent, mais qui laissent des traces. Invisibles. Indélébiles, comme marquées dans la chaire.

    Son père ne le supporta pas; c’était trop, pour lui, de perdre la personne qu’il aimait, celle pour qui il aurait donné sa vie; la perdre sans avoir pu y changer quoi que ce soit. Délaissant son premier fils, ignorant son second, il s’enfonça dans sa douleur, jusqu’à s’y noyer. Ce n’était sans doute pas facile de vivre avec un père qui préférait que vous n’ailliez jamais existé, mais l’ignorance est parfois un moindre mal.

    Oui, un moindre mal... Il ne se souvenait pas de l’âge qu’il avait quand son père commença à se montrer violent; si on le lui avait demandé, peut-être aurait-il répondu que cela en avait toujours été ainsi, mais peu d’entre nous se souviennent réellement de leurs jeunes années. Semblait-il qu’un jour, son père avait atteint le fond; probablement qu’agir de la sorte lui permettait de passer au travers de la disparition de celle qu’il aimait; peut-être était-ce tout simplement sa nature la plus profonde. Sans doute ne le saura-t-il jamais.

    Akira, son frère, n’y pouvait pas grand chose, lui même ayant à faire face aux accès de colère de leur père lorsqu’il tentait de s’interposer, ou simplement lorsqu’il se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment. Il s’efforçait de prendre soin de son petit frère du mieux qu’il pu; il était le seul à pouvoir le faire, qu’il l’ait voulut ou non.

    Et la vie continua. Pourtant, lentement, doucement, inexorablement, une cassure. Une rupture, peu à peu, commençait à se former dans l’esprit de Kei. Un moyen de faire comme si de rien n’était, ou tout simplement pour oublier ce qui se passait autour de lui, oublier la peur que son géniteur lui inspirait.



    Kagami, The Other inside of me

    Il avait six ans, la première fois qu’il apparu. Kagami. C’était lui, sans être lui; un double, différent, comme une flamme insaisissable, agissant selon son bon vouloir. Apparaissant le plus souvent lorsque son père devenait particulièrement violent, comme pour le garder de subir plus qu’il ne pourrait le supporter. Son reflet, vivant à sa place quelques uns des moments les plus pénibles de sa vie. Prenant, sans cesse, de plus en plus de place, venant lorsqu’il en avait envie.

    Pourquoi?

    Mais pour protéger son hôte, le protéger du reste du monde. Parce qu’il n’y avait personne d’autre pour le faire. Son frère? Malgré tout ses efforts, il ne pouvait rien changer. Rien du tout.

    Mais personne ne voyait rien. Jamais. Ou presque... Valait-il donc si peu au yeux des autres? Si peu qu’ils ne remarquaient même pas que, parfois, il n’était plus lui-même? Mais son grand frère, lui, le vit. Et il en fut effrayé, un temps. Mais finit par comprendre, par accepter. Après tout, il avait toujours aimé son petit frère, et Kagami n’était qu’une manifestation extrême du seul mécanisme de défense qu’il avait pu trouver pour se protéger. La matérialisation totale, presque physique, de son déni extrême face aux agissement de leur père. La version de ce qu’il aurait pu être, peut-être. Ou pas. Mais une chose était sûre.

    Kagami le protégeait. De sa manière à lui.


    Kusari
    , The awakening - Because I have no control

    Puis un jour, lorsqu‘il eut neuf ans, tout s’arrêta. Tout. Comme quoi, la vie ne tenait qu’à un fil, et qu’il en prenait peu pour que ce dernier ne soit coupé; tout d’un coup, Kusari fut là. Signe du destin, qui lui permettait de prendre sa revanche sur le monde? Ou alors, un autre malheur à ajouter à sa liste, trop longue? Qui le saurait...

    De ses pensées, de ses émotions les plus noires, les plus sombres, violentes, il émergea. Un monstre, incontrôlable, un psychopathe enfermé dans un corps d’enfant. Son père ne vit rien venir.

    Et une nuit, le fil fut coupé. Une ombre, un éclat argenté, une lame entaillant la chaire, puis un hurlement. Et le silence. Silence vite brisé par un rire à en glacer le sang.

    Le couteau, cette lame si belle mais si froide, et le sang, tout ce sang, partout, sur les murs, sur le sol, et sur lui. Du sang, dans ses cheveux, sur sa peau trop pâle, sur ses vêtements, et encore et toujours, ce rire, froid, fou, presque hystérique. Puis un bruit; celui d’une porte qui s’ouvre, d’une exclamation, mêlant l’horreur et la surprise. Une silhouette, sombre, sur le pas de la porte.

    Le rire cesse. Brusquement. Un son métallique, celui d’une lame frappant le sol. Son sourire s’agrandit, et puis une chanson.

    ~ Promenons-nous dans les bois
    Pendant que le loup n’y est pas...

    Un pas, deux pas, trois pas.

    Loup, y est-tu?
    Oui...

    Que fais-tu?
    J’arrive... tu ne m’entend pas?

    Oú es-tu?
    Juste ici... ne me vois-tu pas?


    Il chancelle, comme une poupée désarticulée.

    Trop tard...
    Je suis là... ~


    Tendant la main, cette main souillée de sang, il agrippe le poignet du désormais dernier membre de sa famille, l’obligeant à se pencher vers lui; un murmure, amusé.

    -Game over...

    Puis il recule, ouvrant les bras comme pour montrer l’étendu du chaos sanglant qui règne dans la pièce. Il penche la tête sur le côté; le rire reprend.

    -Wanna play with me?

    Puis le noir. Kusari est parti. Mais pour combien de temps?


    And after all, the End


    Ils ne surent jamais qui avait commit ce meurtre. Son frère, afin de le protéger, inventa une histoire de cambriolage dans lequel son père fit office de victime collatérale, faisant disparaître du mieux les preuves qui incriminait Keita. Mais après tout, qui pourrait bien croire qu’un enfant de son âge ait pu commettre un tel acte?

    Ils déménagèrent. Plusieurs fois, dans les endroits où son frère, alors âgé de 18 ans, pouvait être considéré comme une personne majeure. Akira du se mettre à travailler, mais avec ce qui leur avait été légué à la mort de leur père, ce n’était pas aussi terrible que cela pouvait le sembler. Et toujours, son grand frère lui cacha ce qui était arrivé, ce qu’il avait vu, ce que lui avait fait.

    Mais ce que son frère n’avait pas comprit, c’est que Keita savait. Comment? Allez savoir... Mais quelque part, au fond de lui, les événements de cette nuit là restaient gravés dans sa mémoire, revenant encore et encore dans ses cauchemars, l’image du visage mort de son père le regardant de ses yeux vides le hantant sans cesse.







    /|4.|AUTRES\

    Rien qui ne vaille la peine d'être dit.
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Kei
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