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 Ne vous a-t-on jamais dit que les apparences étaient trompeuses? - Maxime

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Ne vous a-t-on jamais dit que les apparences étaient trompeuses? - Maxime Empty
MessageSujet: Ne vous a-t-on jamais dit que les apparences étaient trompeuses? - Maxime   Ne vous a-t-on jamais dit que les apparences étaient trompeuses? - Maxime Icon_minitimeJeu 21 Oct - 20:46

Ne vous a-t-on jamais dit que les apparences étaient trompeuses? - Maxime Maxime10


    /|1.|RENSEIGNEMENT GÉNÉRAUX\
    |Nom: Fournier
    |Prénom: Maxime
    |Âge: 17 ans
    |Sexe: Homme
    |Orientation sexuelle: Hétéro à la base... mais letemps réserve bien des surprises.
    |Date de Naissance: 23 Novembre
    |Origine: Québécois - Canadien - Terriens - Humain

    /|2.|DESCRIPTIONS\
    >Description psychologique:
    Un sourire éclaira mon visage en une expression des plus réalistes, pourtant je sentais mon cœur se déchirer. Lançant quelque parole rieuse en signe d’aurevoir, je me détournai en vitesse, réprimant les larmes qui faisaient déjà briller mes yeux. J’ignorai ce vague grognement qui me servait comme toujours de réponse, mon air enjoué quittant lentement mes traits, pour faire face a une mine imperturbable. Je ne voulais pas pleurer. Après tout, depuis quand avais-je ce droit?
    Tous les jours, c’était pareil. Je riais aux lieux de pleurer, gardant cet air abrutit en toute circonstance, même quand je ne le devrais pas. J’avais l’impression de ne jamais rien ressentir, sauf la douleur qui hantait quelque fois ma poitrine. Il m’avait toujours semblé plus facile de rire, de jouer et de faire comme si rien ne me touchait, cela semblait tellement mieux que regarder la vie dans les yeux, affronter la réalité en face.

    C’était surement un mauvais choix, mais je n’avais pas envie d’avoir l’air de cet être déprimé et sombre que je me sentais trop souvent être. Mais maintenant il est trop tard, l’écart entre la réalité et ma semi-fiction s’agrandit de jours en jours, l’équilibre est toujours plus fragile et le poids pesant sur mon cœur toujours plus grand… pourtant, je n’ai pas le courage de sortir de cette bulle qui m’abrite, pas le courage suffisant pour m’aventurer dans ce monde pour moi hostile sans la moindre protection.

    Fermant la porte derrière moi, je soupirai. Je fini par continuer ma route, écartant ma douleur tel un énième objet que l’on jette dans un garage déjà plein, sachant toutefois que l’on devrait en assumer le chaos plus tard.
    Il m’arrive parfois de me demander comment j’en suis arrivé la, en ayant parfois l’impression que ce corps n’est pas le mien mais une coquille vide que j’hante, vivant une vie qui n’est pas la mienne, jouant un rôle qui ne me ressemble pas.
    Comme chaque personne, je craque. Je craque de ne plus en pouvoir agir librement, de ne pas le vouloir. D’être clôturé par mes propres barrières. C’est dans ses moments que je veux être seul, parcourant parfois la ville ou bien simplement m’arrêtant dans un parc pour me plonger dans mes souvenirs.
    Craquer, avoir une envie folle de me venger contre le monde entier, sans aucune raison ni aucun moyen d’y parvenir. Peut-être est-ce pour cela que je ces soirs où je n’en peu plus je n’arrive pas a supporter les provocations des quelque voyous que je croise, et le lendemain c’est lui ou moi que l’on retrouve en sang dans une benne a ordures. Car non, bien que j’en ai l’air, je suis loin d’être un gamin pacifique.


    Je fini par continuer mon chemin, la mort dans l’âme et une chanson joyeuse au lèvres, car, après tout, c’était une journée comme les autres.
    >Goûts:
    C’est bien loin d’être a contre cœur que j’englouti toutes ces sucreries, et ces pâtisseries. J’ai beau dire avoir dix-sept ans, j’ai beau broyer du noir, je reste encore un gamin pour ce qui est de mes goûts, me gavant de bonbon, chocolat et tout ces trucs qui font engraisser mais qui sont tellement bon dès que j’en ai l’occasion.
    Coté musique, je me sens immanquablement touché par les mélodies douces et les paroles tristes, même si je ne refuse jamais un peu de rock voir de métal devant les autres. Pour tout dire ce genre de chaos me brise les oreilles.


    >Descriptions physique:
    J’allais passer une fois de plus la porte de mon cegep quand je vis un homme d’une trentaine d’années m’intercepter avec un regard dur. Ne voyait pas où il voulait en venir, je le suivis docilement un peu à l’ écart du flot de gens qui allaient et venait. C’est alors qu’il se pencha pour me regarder directement dans les yeux et j’eu soudainement l’impression d’être un enfant à qui l’on fait des remontrances.
    - Tu sais que l’entrée n’est permise qu’aux étudiants?
    J’eu un instant de doute… cela faisait un bon mois que je venais dans cet établissement. Je penchai la tête pour montrer mon incompréhension, ce qui eu pour effet de lui faire froncer les sourcils encore plus qu’auparavant.
    - Eh bien tu n’as pas l’autorisation d’être ici, petit . Aller, retourne dans ton école! D’ailleurs, qu’est-ce que tu fais ici à cette heure?
    Je me sentis blêmir pendant quelque seconde. L’homme se releva tout en me fixant d’un air entendu. J’eu soudain l’inspiration de lui lancer mon sac dans la tronche, cependant un éclair de bon sens me traversa alors que j’empoignais plus fermement mon sac.
    Finalement je pris un bon cinq minutes pour expliquer que j’étais bien un étudiant ce cette école, carte étudiante et permis de conduire à l’appui.

    Emplis de rage, je me dirigeai d’un pas lourd vers mon casier. C’était la cinquième fois que cela m’arrivait dans cette école. J’y étais depuis moins d’un mois. J’ouvris la porte métallique en me regardant dans le miroir rose que ma « colocataire » avait eu l’envie de coller dans Notre casier.
    Bon, je devais donner raison à cet idiot de professeur. Mes traits étaient encore enfantins, ma voie semblait n’avoir pas mué et ma coupe de cheveux blonds en bataille n’arrangeait rien mon air jeune. J’avais même dut descendre considérablement le miroir pour pouvoir y voir mon reflet. Non seulement j’avais l’air d’un garçon de 14 ans, mais en plus, j’avais l’air d’un gamin de 14 ans trop petit pour son âge. Continuant mon inspection déprimante, je remarquai ma peau éternellement pâle, munie de très rares taches de rousseurs. Même mes yeux étaient d’un bleu trop brillant pour me donner un air mature.
    Jetant un coup d’œil au reste de mon anatomie, je fini par admettre que mon corps était trop fin, trop légers et ne semblait pas assez musclé pour appartenir a quelqu’un de plus de 14, voir 13 ans. Au moins on pouvait dire que les apparences sont trompeuses… J’étais en pleine réflexion quand j’entendis le son familier du début des cours. Jurant intérieurement, j’attrapai mes affaires et partit en vitesse vers une heure interminable.

    /|3.|HISTOIRE\
    (Tout ce que contient le passé de votre personnage)

    /|4.|AUTRES\
    (Quelque chose à ajouter?)
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